dimanche 7 octobre 2007 - Autun
AUTUN
http://www.lejsl.com/actu/setl/20071007.JSA0120.html
Consciente que l'action de Garibaldi à Autun le 1er décembre 1870 a été déterminante dans la guerre contre les Prussiens, la ville d'Autun a voulu, hier, rendre un hommage soutenu à la mémoire du chef franco-italien. Ainsi, c'est à la ferme de Couhard, surplombant la vieille ville qu'une plaque commémorative a été solennellement posée en présence de Madame Garibaldi-Jallet, arrière-petite-fille du héros ainsi que de nombreuses personnalités civiles et militaires. Au discours de remerciements du maire, Rémy Rebeyrotte, qui saluait à travers ce geste « l'amitié entre deux peuples et deux républiques », M. Ivano Marchi, porte-parole du consul d'Italie disait l'importance de ce devoir de mémoire : « Garibaldi, un nom qu'on prononçait en tremblant. Ce n'est pas seulement le nom d'un homme, c'est le nom d'un mythe, d'une légende, d'une épopée ». Le soir, le professeur Raymond Guillot, évoquait dans le salon d'Honneur de l'Hôtel de ville, le déroulement de la bataille d'Autun, où tout se joua. Reprenant, pas à pas, les moindres détails de ce moment décisif, le conférencier fit revivre à un auditoire captivé les péripéties d'une victoire qui, à force de faits d'armes judicieusement menés, sauva la France tout entière.
Jérôme L.
AUTUN
http://www.lejsl.com/actu/setl/20071007.JSA0120.html
Consciente que l'action de Garibaldi à Autun le 1er décembre 1870 a été déterminante dans la guerre contre les Prussiens, la ville d'Autun a voulu, hier, rendre un hommage soutenu à la mémoire du chef franco-italien. Ainsi, c'est à la ferme de Couhard, surplombant la vieille ville qu'une plaque commémorative a été solennellement posée en présence de Madame Garibaldi-Jallet, arrière-petite-fille du héros ainsi que de nombreuses personnalités civiles et militaires. Au discours de remerciements du maire, Rémy Rebeyrotte, qui saluait à travers ce geste « l'amitié entre deux peuples et deux républiques », M. Ivano Marchi, porte-parole du consul d'Italie disait l'importance de ce devoir de mémoire : « Garibaldi, un nom qu'on prononçait en tremblant. Ce n'est pas seulement le nom d'un homme, c'est le nom d'un mythe, d'une légende, d'une épopée ». Le soir, le professeur Raymond Guillot, évoquait dans le salon d'Honneur de l'Hôtel de ville, le déroulement de la bataille d'Autun, où tout se joua. Reprenant, pas à pas, les moindres détails de ce moment décisif, le conférencier fit revivre à un auditoire captivé les péripéties d'une victoire qui, à force de faits d'armes judicieusement menés, sauva la France tout entière.
Jérôme L.