C’est une lésion rare mais que l’on retrouve chez les sprinteurs. Sa rupture se fait en général dans les mouvements à forte vélocité excentrique comme à la réception d’une haie en sprint ou lors du démarrage sur plat chez les sprinteurs.
On retrouve cette pathologie dans les sports pratiquant le « tiroir » comme au rugby (attaque : avance en ligne, défense: replacement sans cesse derrière la ligne de hors-jeu.
La douleur est vive : une sensation de coup de fouet ; puis s’installe une douleur qui peut s’apparenter à une tenosynovite calcanéen.
Dans le suivi de joueurs professionnels, il serait intéressant de savoir si le joueur possède un plantaire grêle afin d’inclure la possibilité d’une rupture de ce tendon lors du diagnostic différencié.
Dans tous les cas, il est conseillé d’envisager une rupture du grêle seulement après avoir éliminé toutes les autres pathologies inhérentes à la flexion plantaire comme par exemple la rupture partielle du tendon calcanéen, bien plus complexe et conséquente sur les performances futures de l’athlète.
C’est tout le paradoxe d’une lésion du tendon plantaris. Elle provoque des douleurs, une gêne, mais n’a aucune conséquence sur la fonctionnalité et les qualités élastiques futures de la cheville de l’athlète. Autrement dit « ça fait mal, c’est embêtant », mais ce n’est pas grave.
Cette phrase me paraît importante car nous savons comme les blessures dans la zone du tendon d’Achille sont redoutées par les athlètes.
On retrouve cette pathologie dans les sports pratiquant le « tiroir » comme au rugby (attaque : avance en ligne, défense: replacement sans cesse derrière la ligne de hors-jeu.
La douleur est vive : une sensation de coup de fouet ; puis s’installe une douleur qui peut s’apparenter à une tenosynovite calcanéen.
Dans le suivi de joueurs professionnels, il serait intéressant de savoir si le joueur possède un plantaire grêle afin d’inclure la possibilité d’une rupture de ce tendon lors du diagnostic différencié.
Dans tous les cas, il est conseillé d’envisager une rupture du grêle seulement après avoir éliminé toutes les autres pathologies inhérentes à la flexion plantaire comme par exemple la rupture partielle du tendon calcanéen, bien plus complexe et conséquente sur les performances futures de l’athlète.
C’est tout le paradoxe d’une lésion du tendon plantaris. Elle provoque des douleurs, une gêne, mais n’a aucune conséquence sur la fonctionnalité et les qualités élastiques futures de la cheville de l’athlète. Autrement dit « ça fait mal, c’est embêtant », mais ce n’est pas grave.
Cette phrase me paraît importante car nous savons comme les blessures dans la zone du tendon d’Achille sont redoutées par les athlètes.