Communiqué de la fédération de l’Eure du parti radical de gauche
Olivier Taconet, président de la fédération de l'Eure du PRG
Moins large que les sondages ne le laissaient espérer, la victoire de François Hollande est nette. Les républicains engagés derrière le vainqueur des élections peuvent savourer une victoire méritée. Celle-ci ouvre à la France les moyens de répondre aux défis nationaux, européens, et mondiaux d’un monde en recomposition.
La victoire du nouveau président de la République, à la suite d’une campagne exemplaire
n’est que la première étape nécessaire à la reconstruction du pays. Dans cinq semaines, les législatives doivent donner à la France un parlement stable, conforme à son choix présidentiel, outil indispensable pour construire l’avenir. Dans cette perspective, le parti radical de gauche invite tous ceux qui ont soutenu François Hollande à travailler ensemble au parachèvement de la victoire historique du 6 mai 2012.
La situation dans l’Eure est particulière. Le département a placé en tête Nicolas Sarkozy, après qu’il a mené la campagne la plus réactionnaire menée par un candidat de droite traditionnelle. Tous les acteurs de la gauche doivent faire en sorte de donner à la majorité présidentielle les moyens d’agir.
Elle doit aussi éviter l’humiliation de proposer aux électeurs un choix de deuxième tour mortifère entre l’extrême droite et la droite extrême. C’est ce qui risque de se produire dans notre département, à l'exception de la circonscription de Louviers.
La France a besoin de changement. Nous n’avons pas le droit de briser l’élan du 6 mai.
La victoire du nouveau président de la République, à la suite d’une campagne exemplaire
n’est que la première étape nécessaire à la reconstruction du pays. Dans cinq semaines, les législatives doivent donner à la France un parlement stable, conforme à son choix présidentiel, outil indispensable pour construire l’avenir. Dans cette perspective, le parti radical de gauche invite tous ceux qui ont soutenu François Hollande à travailler ensemble au parachèvement de la victoire historique du 6 mai 2012.
La situation dans l’Eure est particulière. Le département a placé en tête Nicolas Sarkozy, après qu’il a mené la campagne la plus réactionnaire menée par un candidat de droite traditionnelle. Tous les acteurs de la gauche doivent faire en sorte de donner à la majorité présidentielle les moyens d’agir.
Elle doit aussi éviter l’humiliation de proposer aux électeurs un choix de deuxième tour mortifère entre l’extrême droite et la droite extrême. C’est ce qui risque de se produire dans notre département, à l'exception de la circonscription de Louviers.
La France a besoin de changement. Nous n’avons pas le droit de briser l’élan du 6 mai.