Eclat de rire à la CASE
Le grand plaisir de MAJ : faire la courbette devant les puissants de ce monde
Farouche adversaire de Cosmetic Valley hier, président de Cosmetic Valley aujourd'hui ! Marc Antoine Jamet vient de prendre la présidence du pôle de compétitivité, alors que ses séides de Val de Reuil dénoncent régulièrement le soutien des collectivités à Cosmétic Valley.
L’événement plonge dans la perplexité tous ceux qui accordent l’importance qu’elle mérite à la success story du pôle de compétitivité que Jean-Luc Ansel et Alban Muller, respectivement fondateur et président, ont largement contribué à mettre sur pieds.
Rappelons que Cosmetic Valley a pour but dès l’origine de profiter de l’excellente image dont profitent les produits français dans le domaine de la parfumerie cosmétique pour favoriser l’industrie nationale et permettre le développement des petites et moyennes entreprises parallèlement à celui des grandes marques.
A force de travail et de conviction exemplaire, ce projet économique a reçu un accord général de l’ensemble du corps politique, des services de l’Etat des acteurs économiques.
Dans la communauté d’agglomération, l’ensemble des élus a soutenu dès le départ ce projet… on n’a rencontré que deux exceptions : l’une, classique, venant de l’extrême gauche et l’autre de Marc-Antoine JAMET, précisément ! Pour quelles raisons ? On s’est perdu en
conjectures.
Marc Antoine Jamet nous a habitués à ses vertigineuses volte-faces... qui s'expliquent toujours par sa boulimie de sièges. Son moteur est l'ambition personnelle, sa volonté d'ajouter à tout prix une ligne de plus à une carte de visite, aussi longue qu'un menu de restaurant.
L’événement plonge dans la perplexité tous ceux qui accordent l’importance qu’elle mérite à la success story du pôle de compétitivité que Jean-Luc Ansel et Alban Muller, respectivement fondateur et président, ont largement contribué à mettre sur pieds.
Rappelons que Cosmetic Valley a pour but dès l’origine de profiter de l’excellente image dont profitent les produits français dans le domaine de la parfumerie cosmétique pour favoriser l’industrie nationale et permettre le développement des petites et moyennes entreprises parallèlement à celui des grandes marques.
A force de travail et de conviction exemplaire, ce projet économique a reçu un accord général de l’ensemble du corps politique, des services de l’Etat des acteurs économiques.
Dans la communauté d’agglomération, l’ensemble des élus a soutenu dès le départ ce projet… on n’a rencontré que deux exceptions : l’une, classique, venant de l’extrême gauche et l’autre de Marc-Antoine JAMET, précisément ! Pour quelles raisons ? On s’est perdu en
conjectures.
Marc Antoine Jamet nous a habitués à ses vertigineuses volte-faces... qui s'expliquent toujours par sa boulimie de sièges. Son moteur est l'ambition personnelle, sa volonté d'ajouter à tout prix une ligne de plus à une carte de visite, aussi longue qu'un menu de restaurant.
Le roi... de la Chaise Vide
Socialiste avec Fabius, 3ème couteau de Sarkozy en affaires...
S'il fallait un emblème pour les armoiries du roi MAJ, ce serait une chaise vide. Certes, sa carte de visite ressemble, par la taille, à un menu de restaurant chinois : une liste interminable de sièges, tant locaux qu'internationaux. Le revers de cette boulimie de postes aussi variés que la Tour Eiffel, le Jardin d'acclimatation ou le conseil d'administration du lycée de Louviers ?
Les journées n'ont que vingt-quatre heures et, même s'il le croit, MAJ n'est pas un surhomme. Prétendant à être partout, MAJ ne travaille nulle part, bien qu'il n'oublie jamais de collecter jetons de présence et indemnités. Cosmetic Valley ne peut que pâtir d'une présidence fantôme.
En tout cas, je m'interroge sur la nécessité, pour la CASE, de continuer à financer une association devenue l'outil politique d'un candidat cumulard.
Les journées n'ont que vingt-quatre heures et, même s'il le croit, MAJ n'est pas un surhomme. Prétendant à être partout, MAJ ne travaille nulle part, bien qu'il n'oublie jamais de collecter jetons de présence et indemnités. Cosmetic Valley ne peut que pâtir d'une présidence fantôme.
En tout cas, je m'interroge sur la nécessité, pour la CASE, de continuer à financer une association devenue l'outil politique d'un candidat cumulard.
Perte de crédibilité pour Cosmetic Valley
Groupement d'entreprises au service des entreprises, un pôle de compétitivité ne peut être gouverné par un politicien sans perdre sa crédibilité. Il est clair que Cosmetic Valley, plutôt que d'être au service des entreprises qui la composent, est désormais au service d'une ambition politique. J'avais pris soin d'en avertir les administrateurs. Avertissement resté lettre morte.
Maire de Val-de Reuil, candidat socialiste déclaré aux législatives de 2012, Marc-Antoine Jamet est vice président, chargé des finances, de la Région Haute Normandie et vice président de la CASE. Il est donc responsable de la gestion de collectivités qui financent largement Cosmetic Valley : cette nouvelle présidence est, de toute évidence, l'enjeu et l'otage d'un conflit d'intérêts, qui peut aller jusqu'à la gestion de fait... Curieuse façon de promouvoir la filière cosmétique.
L'employeur de MAJ, la société de luxe LVMH ( Louis Vuitton Moet Hennessy ) aurait pu prendre le contrôle de Cosmetic Valley en y déléguant un véritable cadre de l'entreprise et non l'entremetteur politique de Bernard Arnauld. L'avertissement que j'avais adressé à LVMH est resté vain... Pourquoi ? Le but caché de Bernard Arnauld, qui n'a pas l'habitude de commettre de telles fautes, ne serait-il pas, précisément, d'affaiblir Cosmetic Valley par une gouvernance déjà contestée et à coup sûr, inefficace ?
Maire de Val-de Reuil, candidat socialiste déclaré aux législatives de 2012, Marc-Antoine Jamet est vice président, chargé des finances, de la Région Haute Normandie et vice président de la CASE. Il est donc responsable de la gestion de collectivités qui financent largement Cosmetic Valley : cette nouvelle présidence est, de toute évidence, l'enjeu et l'otage d'un conflit d'intérêts, qui peut aller jusqu'à la gestion de fait... Curieuse façon de promouvoir la filière cosmétique.
L'employeur de MAJ, la société de luxe LVMH ( Louis Vuitton Moet Hennessy ) aurait pu prendre le contrôle de Cosmetic Valley en y déléguant un véritable cadre de l'entreprise et non l'entremetteur politique de Bernard Arnauld. L'avertissement que j'avais adressé à LVMH est resté vain... Pourquoi ? Le but caché de Bernard Arnauld, qui n'a pas l'habitude de commettre de telles fautes, ne serait-il pas, précisément, d'affaiblir Cosmetic Valley par une gouvernance déjà contestée et à coup sûr, inefficace ?