Il est temps de passer à l'action
Pour Gaëtan Levitre, maire d’Alizay et Jacky Fleith, maire de Montaure, le temps des intentions est révolu. Leurs conseils municipaux ont voté pour l’intégration de leur commune à la Communauté d’agglomération Seine-Eure.
Un choix réaffirmé devant la presse ce vendredi matin, à la mairie d’Alizay, en présence de Franck Martin, président de l’Agglomération Seine-Eure. « L’adhésion à la Case que nous voulons rapide a été décidée au regard d’une situation économique dramatique. Avec la fermeture de M-real et des autres entreprises du secteur, ce sont 700 emplois qui sont rayés de la carte. Une revitalisation du site de M-real est possible, mais il manque une cohérence, une force pour porter ce projet » martèle Gaëtan Levitre, maire d’Alizay.
Pour lui, l’Agglomération Seine-Eure plus que la communauté de communes Seine-Bord, a les reins suffisamment solides pour mener la revitalisation industrielle à son terme.
Pour Gaëtan Levitre comme pour Jacky Fleith, il y a urgence. « Le dossier M-real est un dossier capital. C’est la réindustrialisation du site, associée à l’adhésion à la Case qui permettront de recréer de l’emploi, de faire vivre les familles du territoire. Il n’est pas question d’attendre 2016 pour cela » s’accordent-ils à dire.
Un choix réaffirmé devant la presse ce vendredi matin, à la mairie d’Alizay, en présence de Franck Martin, président de l’Agglomération Seine-Eure. « L’adhésion à la Case que nous voulons rapide a été décidée au regard d’une situation économique dramatique. Avec la fermeture de M-real et des autres entreprises du secteur, ce sont 700 emplois qui sont rayés de la carte. Une revitalisation du site de M-real est possible, mais il manque une cohérence, une force pour porter ce projet » martèle Gaëtan Levitre, maire d’Alizay.
Pour lui, l’Agglomération Seine-Eure plus que la communauté de communes Seine-Bord, a les reins suffisamment solides pour mener la revitalisation industrielle à son terme.
Pour Gaëtan Levitre comme pour Jacky Fleith, il y a urgence. « Le dossier M-real est un dossier capital. C’est la réindustrialisation du site, associée à l’adhésion à la Case qui permettront de recréer de l’emploi, de faire vivre les familles du territoire. Il n’est pas question d’attendre 2016 pour cela » s’accordent-ils à dire.
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Lire la suite de l'article de Barbara Rouyer sur le site de l'agglomération Seine Eure
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