Pour vivre heureux, vivons discrets !
Je déplore profondément que certains aient choisi la voie de la manipulation politique, en étalant sur la place publique des griefs qui leur sont strictement personnels. Cette tentative de manipulation n'apportera rien de bon à personne. Mais le monde réel n'est pas celui des bisounours. Dans une collectivité qui compte maintenant 240 membres, il serait illusoire de tabler sur un monde parfait et les comportements irréprochables de tous.
Ainsi, je m'apprête à sanctionner, après avoir saisi le procureur de la République, le chef de file d'un petit réseau qui s'autorise à utiliser les ordinateurs de la CASE pour diffuser des appels à la haine raciale particulièrement virulents. Un intolérable accroc à l'image de la fonction publique, atteinte qui ne saurait rester impunie.
Mais faut-il en parler ici, dans ce Bloc-Notes ? Faut-il parler de ce "misérable petit tas de secrets", pour parler comme Malraux, qu'est aussi la vie d'une collectivité ? Je répugne toujours à le faire. Pour que les difficultés personnelles, les tensions internes s'apaisent, la discrétion est essentielle. Rester discrets et parfois secrets est la condition de la protection de la dignité de tous, ce que la publicité de certains débats rend plus qu'aléatoire.
Mais voilà que de cas individuels, on tente de faire l'amalgame public, à des fins politiques, avec d'autres sujets qu'il s'agisse de la fusion avec Seine-Bord avec les inquiétudes que tout changement suscite, la très banale négociation autour des fameux " tickets-restaurant ". On mélange tout et l'on confie à l'inénarrable journaliste retraité le soin de faire monter la mayonnaise pour s'attaquer aux politiques, qui n'ont rien à voir avec ces bisbilles.
Du coup, les rumeurs commencent à déferler dans les couloirs. Il est donc temps, au risque de froisser quelques plumes, de mettre les points sur les i et les barres sur les t.
Ainsi, je m'apprête à sanctionner, après avoir saisi le procureur de la République, le chef de file d'un petit réseau qui s'autorise à utiliser les ordinateurs de la CASE pour diffuser des appels à la haine raciale particulièrement virulents. Un intolérable accroc à l'image de la fonction publique, atteinte qui ne saurait rester impunie.
Mais faut-il en parler ici, dans ce Bloc-Notes ? Faut-il parler de ce "misérable petit tas de secrets", pour parler comme Malraux, qu'est aussi la vie d'une collectivité ? Je répugne toujours à le faire. Pour que les difficultés personnelles, les tensions internes s'apaisent, la discrétion est essentielle. Rester discrets et parfois secrets est la condition de la protection de la dignité de tous, ce que la publicité de certains débats rend plus qu'aléatoire.
Mais voilà que de cas individuels, on tente de faire l'amalgame public, à des fins politiques, avec d'autres sujets qu'il s'agisse de la fusion avec Seine-Bord avec les inquiétudes que tout changement suscite, la très banale négociation autour des fameux " tickets-restaurant ". On mélange tout et l'on confie à l'inénarrable journaliste retraité le soin de faire monter la mayonnaise pour s'attaquer aux politiques, qui n'ont rien à voir avec ces bisbilles.
Du coup, les rumeurs commencent à déferler dans les couloirs. Il est donc temps, au risque de froisser quelques plumes, de mettre les points sur les i et les barres sur les t.
Avenue des Métiers ou Dallas-sur-Eure ?
Ainsi, une secrétaire a saisi la commission de réforme de la fonction publique. Sa demande : requalifier en "accidents du travail" les altercations qu'elle a déclenché, tant avec ses collègues de travail que ses supérieurs hiérarchiques. Aussi ahurissante soit-elle, cette demande est recevable en droit et le commission jugera...
Dans le cadre de cette procédure, la mise en cause de Philippe Le Gal, directeur des services, fonctionnaire d'exception et homme d'une profonde humanité, toujours à l'écoute de ses collègues, toujours ouvert au dialogue et soucieux du bien-être de tous m'est particulièrement odieuse.
Philippe Le Gal a un coeur d'or, tous ceux qui le connaissent le savent. Et il a été le premier à proposer que la personne " en souffrance " ne soit plus sous ses ordres. Reste qu'aucun chef de service n'a accepté de la prendre dans son équipe.
D'autant plus que les explosions de violence verbale dont elle est coutumière ont pris pour cible, naguère, des hommes aussi pondérés, humanistes que Jean Laversanne et d'autres qui avaient le tort, à ses yeux, d'être ses supérieurs directs.
Ces éclats dont résonnent les couloirs démontrent par leur caractère répétitif, que l'origine de la "souffrance au travail" ressentie relève aussi du comportement de l'agent, tant envers ses collègues qu'avec la hiérarchie. La semaine dernière, encore...
Dans ce genre d'affaire, la manipulation médiatique, à des fins politiques, est pratiquement inévitable.
Sorti de son trou après une longue hibernation, le fameux " serpent à sonnettes " est à la manoeuvre ! Il se moque bien du sort des employés, son seul dessein, obsessionnel, est « d'allumer » le président de l'agglomération. Tout lui est prétexte et c'est pain bénit pour lui que de pouvoir gonfler cette minuscule histoire, concernant une seule personne, en drame sociale, prélude à la grande révolution prolétarienne qu'il appelle de tous ses couinements essouflés.
Je serai fort surpris que le personnel de la CASE soit assez naïf pour se laisser manipuler par une bien étrange alliance entre l'imprécateur « socialiste» et la «syndicaliste» qui veut ajouter un S à la CASE. Madame X. confond la paisible avenue des Métiers avec Dallas. Mais son alliance avec le serpent à sornettes ne cassera rien.
Dans le cadre de cette procédure, la mise en cause de Philippe Le Gal, directeur des services, fonctionnaire d'exception et homme d'une profonde humanité, toujours à l'écoute de ses collègues, toujours ouvert au dialogue et soucieux du bien-être de tous m'est particulièrement odieuse.
Philippe Le Gal a un coeur d'or, tous ceux qui le connaissent le savent. Et il a été le premier à proposer que la personne " en souffrance " ne soit plus sous ses ordres. Reste qu'aucun chef de service n'a accepté de la prendre dans son équipe.
D'autant plus que les explosions de violence verbale dont elle est coutumière ont pris pour cible, naguère, des hommes aussi pondérés, humanistes que Jean Laversanne et d'autres qui avaient le tort, à ses yeux, d'être ses supérieurs directs.
Ces éclats dont résonnent les couloirs démontrent par leur caractère répétitif, que l'origine de la "souffrance au travail" ressentie relève aussi du comportement de l'agent, tant envers ses collègues qu'avec la hiérarchie. La semaine dernière, encore...
Dans ce genre d'affaire, la manipulation médiatique, à des fins politiques, est pratiquement inévitable.
Sorti de son trou après une longue hibernation, le fameux " serpent à sonnettes " est à la manoeuvre ! Il se moque bien du sort des employés, son seul dessein, obsessionnel, est « d'allumer » le président de l'agglomération. Tout lui est prétexte et c'est pain bénit pour lui que de pouvoir gonfler cette minuscule histoire, concernant une seule personne, en drame sociale, prélude à la grande révolution prolétarienne qu'il appelle de tous ses couinements essouflés.
Je serai fort surpris que le personnel de la CASE soit assez naïf pour se laisser manipuler par une bien étrange alliance entre l'imprécateur « socialiste» et la «syndicaliste» qui veut ajouter un S à la CASE. Madame X. confond la paisible avenue des Métiers avec Dallas. Mais son alliance avec le serpent à sornettes ne cassera rien.