U raportu si chjama "L’ordre et la force : enquête sur l'usage de la force par les représentants de la loi en France" è ùn ci hè micca di chè esse fieru.
U bilanciu hè abbastanza spaventosu. L'ONG hà studiatu 89 casi di ferite grave, trà u 2005 è u 2015. Frà quessi, 26 morti, 21 persone chì anu persu un ochju.
L'utilizazione di u Taser, ma sopr'à tuttu di u Flash-Ball sò messi in causa. Parla Aline Daillère chì hà fattu l'inchiesta :
« on glisse d’une conception où l’on maintenait à distance des manifestants à une conception où l’on vise ces manifestants. C’est flagrant avec le Flash-Ball »
Vi rammenta qualcosa ?
U bilanciu hè abbastanza spaventosu. L'ONG hà studiatu 89 casi di ferite grave, trà u 2005 è u 2015. Frà quessi, 26 morti, 21 persone chì anu persu un ochju.
L'utilizazione di u Taser, ma sopr'à tuttu di u Flash-Ball sò messi in causa. Parla Aline Daillère chì hà fattu l'inchiesta :
« on glisse d’une conception où l’on maintenait à distance des manifestants à une conception où l’on vise ces manifestants. C’est flagrant avec le Flash-Ball »
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Ma l'ONG s'inchieta dinù di l'impunità è di l'assenza di trasparenza in st'affari. Si parla di « opacité profonde », di « manque de volonté des autorités françaises à être transparentes » è di « graves défaillances dans les enquêtes administratives et judiciaires effectuées à la suite de plaintes pour violences policières ».
Per Christian Mouhanna, circadore à u "Centre de recherche sociologique sur le droit et les institutions pénales" (Cesdip) : « C’est une question de culture, la police française ayant toujours l’idée que plus c’est caché, plus c’est efficace. Elle n’a pas la culture de l’évaluation, de l’ouverture à la société civile. Elle ne s’appuie pas sur les citoyens. »
Nant'à i 89 casi studiati, solu 7 sò sbuccati nant'à cundannazione. L'ONG parla d'un risicu d'impunità.
Per leghje u raportu.
Per Christian Mouhanna, circadore à u "Centre de recherche sociologique sur le droit et les institutions pénales" (Cesdip) : « C’est une question de culture, la police française ayant toujours l’idée que plus c’est caché, plus c’est efficace. Elle n’a pas la culture de l’évaluation, de l’ouverture à la société civile. Elle ne s’appuie pas sur les citoyens. »
Nant'à i 89 casi studiati, solu 7 sò sbuccati nant'à cundannazione. L'ONG parla d'un risicu d'impunità.
Per leghje u raportu.
Casca bè, u 15 di marzu hè a ghjurnata mundiale contr'à e viulenze pulizzere.
Da leghje :
Le Monde : Violences policières : un rapport dénonce un risque d’impunité des forces de l’ordre
La Croix : L’Acat réclame plus de transparence sur les abus de la police
France Inter : Les violences policières, un tabou à lever
Libération : «On ne comprend pas l'acharnement à nier la réalité des violences policières»
Les Echos : Les violences policières entraînent un décès par mois
Nant'à u situ di l'ACAT, a campagna "Violences policières : brisons le silence"
Le Monde : Violences policières : un rapport dénonce un risque d’impunité des forces de l’ordre
La Croix : L’Acat réclame plus de transparence sur les abus de la police
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