En guise d'hommage aux générations de militants qui ont combattu les pouvoirs arabo-islamiques de Tamazgha. PH/DR
Par : Smail Medjeber
Pour que le combat amazigh, un combat qui n’est malheureusement pas encore terminé et qui continue, reste gravé, à bon escient, dans notre Mémoire commune inter-amazigh, dans l’Histoire, il est important, utile, nécessaire, juste, par reconnaissance, par devoir, d’instaurer, au moins une fois par an, un Jour de Mémoire.
Pour commémorer la révolte du peuple Amazigh contre le criminel déni identitaire et linguistique qu’il a subi et continue de subir, un crime commis par les pouvoirs dictatoriaux nationaux ; pour rendre hommage à toutes les victimes de la répression ; pour se donner une tradition, de nous rappeler les noms de ceux et celles qui ont donné de leur vie, de leur jeunesse, de leur sang ; ceux et celles qui ont combattu, par leurs actes ou par leurs écrits, pour cette noble cause identitaire et culturelle Amazighe. Des revendications légitimes et naturelles interdites, réprimées implacablement, violemment, sauvagement, outrancièrement : par des arrestations, des tortures, des condamnations à mort et des emprisonnements, voire des disparitions comme fut le cas de Ouarab Madjid, un militant kidnappé par des éléments de la sécurité militaire algérienne, porté disparu jusqu’en 1977, où son cadavre, en état de décomposition avancée sera découvert. Ce douloureux exemple nous impose, à nous tous et toutes, un digne devoir de mémoire.
Ce Jour de Mémoire Amazighe sera, comme je le propose, un jour de Mémoire, un Jour de Souvenir de tous et pour tous les Amazighs. Il sera commémoré dans toute l’Amazighie, l’Afrique du nord. Et ce, de génération en génération. Pour ne pas oublier nos Militants (tes) et nos Martyrs (yres). Car, les oublier c’est les renier. Je propose, pour ce faire, humblement :
qu’un recensement des Militants (tes) et Martyrs (yres) soit fait ; qu’ils (elles) soient, de fait, reconnus (es) comme tels (les), et ce faisant, s’en souvenir, les graver et les immortaliser ;
que la date du 20 avril* ou une autre date à choisir, soit reconnue symboliquement, retenue uniquement et adoptée communément, comme Jour de Mémoire Amazighe, As Usmeki Amazigh, inter-Amazigh, dans toute l’Amazighie, et ce, chaque année ;
qu’un hommage soit rendu, le jour de cette date symbolique, solennellement, aux Militants (tes) et Martyrs (yres) connus (es), qui ont lutté et souffert, moralement et physiquement pour cette naturelle et légitime revendication identitaire et linguistique amazighe ;
que, ce jour-là, leurs noms soient affichés, lus, cités dans la rue, dans nos familles, dans nos écoles, dans nos lieux de travail, sur scènes, sur les sites Internet et les antennes radio et télévision… ;
qu’un hommage soit rendu, le jour de cette date symbolique, par reconnaissance aux milliers de Militants (tes) et Martyrs (yres) anonymes, inconnus (es), qui ont lutté et souffert, moralement et physiquement, également pour cette même et juste revendication amazighe ;
que, ce jour-là, il y ait divers gestes symboliques : éteindre des lumières ; allumer des bougies ; mettre des drapeaux en bernes ; déposer des gerbes de fleurs sur les tombes des Martyrs (yres) ; appliquer, en tous lieux, une minute de silence, un moment de recueillement et d’hommage ;
que le chant Ekker a Mmi-s Umazigh, (Debout Fils d’Amazigh), premier chant nationaliste composé par le défunt Aït-Amrane Idir, en janvier 1945, soit reconnu, adopté et chanté comme Hymne Amazigh, dans toute l’Amazighie, lors de cette commémoration. Il suffira seulement de remplacer le nom de Ledzayer (Algérie), du septième couplet, soit par le nom de chaque Pays : Iles Canaries, Lybie, Mali, Maroc, Mauritanie, Niger, Siwa, Tunisie. Soit, uniquement, par Tamazgha, car, comme c’est dit dans le dernier vers de ce chant : « Du Hoggar à Siwa, Le même sang nous unit, Enfants. ».
que les œuvres amazighes des auteurs, des artistes et des créateurs, tous ces talents émergeants qui font sortir notre langue de l’oral vers l’écrit, nos arts et notre culture du désert artistique et culturel, soient exposées et mises en valeurs, pour informer le public lors de cette commémoration ;
que tout cela soit fait : par devoir, traditionnellement, individuellement ou collectivement. En attendant que cela soit instauré par décret officiel, à application nationale ;
Voici une première proposition de liste des Militants (tes) et Martyrs (yres), connus (es) qui se sont sacrifiés (es) pour notre noble et juste cause, tous Pays de l’Amazighie confondus, par ordre alphabétique :
Pour que le combat amazigh, un combat qui n’est malheureusement pas encore terminé et qui continue, reste gravé, à bon escient, dans notre Mémoire commune inter-amazigh, dans l’Histoire, il est important, utile, nécessaire, juste, par reconnaissance, par devoir, d’instaurer, au moins une fois par an, un Jour de Mémoire.
Pour commémorer la révolte du peuple Amazigh contre le criminel déni identitaire et linguistique qu’il a subi et continue de subir, un crime commis par les pouvoirs dictatoriaux nationaux ; pour rendre hommage à toutes les victimes de la répression ; pour se donner une tradition, de nous rappeler les noms de ceux et celles qui ont donné de leur vie, de leur jeunesse, de leur sang ; ceux et celles qui ont combattu, par leurs actes ou par leurs écrits, pour cette noble cause identitaire et culturelle Amazighe. Des revendications légitimes et naturelles interdites, réprimées implacablement, violemment, sauvagement, outrancièrement : par des arrestations, des tortures, des condamnations à mort et des emprisonnements, voire des disparitions comme fut le cas de Ouarab Madjid, un militant kidnappé par des éléments de la sécurité militaire algérienne, porté disparu jusqu’en 1977, où son cadavre, en état de décomposition avancée sera découvert. Ce douloureux exemple nous impose, à nous tous et toutes, un digne devoir de mémoire.
Ce Jour de Mémoire Amazighe sera, comme je le propose, un jour de Mémoire, un Jour de Souvenir de tous et pour tous les Amazighs. Il sera commémoré dans toute l’Amazighie, l’Afrique du nord. Et ce, de génération en génération. Pour ne pas oublier nos Militants (tes) et nos Martyrs (yres). Car, les oublier c’est les renier. Je propose, pour ce faire, humblement :
qu’un recensement des Militants (tes) et Martyrs (yres) soit fait ; qu’ils (elles) soient, de fait, reconnus (es) comme tels (les), et ce faisant, s’en souvenir, les graver et les immortaliser ;
que la date du 20 avril* ou une autre date à choisir, soit reconnue symboliquement, retenue uniquement et adoptée communément, comme Jour de Mémoire Amazighe, As Usmeki Amazigh, inter-Amazigh, dans toute l’Amazighie, et ce, chaque année ;
qu’un hommage soit rendu, le jour de cette date symbolique, solennellement, aux Militants (tes) et Martyrs (yres) connus (es), qui ont lutté et souffert, moralement et physiquement pour cette naturelle et légitime revendication identitaire et linguistique amazighe ;
que, ce jour-là, leurs noms soient affichés, lus, cités dans la rue, dans nos familles, dans nos écoles, dans nos lieux de travail, sur scènes, sur les sites Internet et les antennes radio et télévision… ;
qu’un hommage soit rendu, le jour de cette date symbolique, par reconnaissance aux milliers de Militants (tes) et Martyrs (yres) anonymes, inconnus (es), qui ont lutté et souffert, moralement et physiquement, également pour cette même et juste revendication amazighe ;
que, ce jour-là, il y ait divers gestes symboliques : éteindre des lumières ; allumer des bougies ; mettre des drapeaux en bernes ; déposer des gerbes de fleurs sur les tombes des Martyrs (yres) ; appliquer, en tous lieux, une minute de silence, un moment de recueillement et d’hommage ;
que le chant Ekker a Mmi-s Umazigh, (Debout Fils d’Amazigh), premier chant nationaliste composé par le défunt Aït-Amrane Idir, en janvier 1945, soit reconnu, adopté et chanté comme Hymne Amazigh, dans toute l’Amazighie, lors de cette commémoration. Il suffira seulement de remplacer le nom de Ledzayer (Algérie), du septième couplet, soit par le nom de chaque Pays : Iles Canaries, Lybie, Mali, Maroc, Mauritanie, Niger, Siwa, Tunisie. Soit, uniquement, par Tamazgha, car, comme c’est dit dans le dernier vers de ce chant : « Du Hoggar à Siwa, Le même sang nous unit, Enfants. ».
que les œuvres amazighes des auteurs, des artistes et des créateurs, tous ces talents émergeants qui font sortir notre langue de l’oral vers l’écrit, nos arts et notre culture du désert artistique et culturel, soient exposées et mises en valeurs, pour informer le public lors de cette commémoration ;
que tout cela soit fait : par devoir, traditionnellement, individuellement ou collectivement. En attendant que cela soit instauré par décret officiel, à application nationale ;
Voici une première proposition de liste des Militants (tes) et Martyrs (yres), connus (es) qui se sont sacrifiés (es) pour notre noble et juste cause, tous Pays de l’Amazighie confondus, par ordre alphabétique :
Smail Medjeber. PH/DR
A) Aadi Slimane, Abbout Arezki, Abdesselam Abdenour, Achab Tahar, Achour Youssef, Addour Malek , Adghirni Ahmed, Agag Salah, Aherdan Mahdjoubi, Afulay A., Aïche Mohand-Saïd, Aït-Ali Belaid, Ait-Ameur Saïd, Ait-Amrane Mohamed Idir, Aït-Larbi Arezki, Aït-Medri Belaïd, Aït- Menguellat Mbarek, Aït-Ouakli Rachid, Aït-Ouali Smaïl, Aggoun Ahmed, Akhiat Brahim, Allam Djamal, Amroun Ali, Ammour Abdenour, Amrouche Jean-Mouhoub, Amrouche Marguerite-Taos, Dr Aissani , Aouchiche Mestapha, Ayt Bahssin, Azem Slimane, Amzal Kamel, Akli (homme de forte corpulence portant une barbe), Arezki (surnommé El belbala), Ahcène Salah...
B) Bacha Mustapha, Bahbouh Lahcène, Belghezli Achour, Bellili Tahar, Ben Amara Hassane, Benmouhoub Nadia, Bennai Ouali, Benanoune Djamal, Ben Mohamed, Bensedira Belkacem, Ben Yadali Louli, Berdous Maammar, Berkouk Ahmed, Bessaoud Mohand-Arab, Bouaziz Tahar, Boudaoud Ali, Boudhan Mohamed, Boudris Belaid, Bouguermouh Abderrahmane, Boukouss Ahmed, Boukrif Salah, Boulifa Amar-Saïd, Boumekla Madjid, Bounabe Mustapha, Brahimi Ali ; Braïk Karim, Brinis Youcef...
C) Cerbah Rabah, Chabane Slimane, Cadi Kaddour, Chafik Mohammed, Chaker Salem, Chami Amrane, Chami Mohamed, Cheikh Amar, Chemime Mokrane, Cheradi Hocine, Cherifi Ahcène, Cherifi Ali, Chihab Amrane, Chiramik Ali, Cubillo Antonio...
D) Daoud Ali, Derriche Amar, Djaber Nadia...
E) El Hadj Salem, El Mâakchaoui M’hammadi...
F) Farid Ali, Farida (L’étudiante qui portait souvent un burnous), Feraoun Mouloud…
G) Guemghar Mouloud…
H) Haïfi Ramdane, Halet Rachid, Hamadouche Ali, Hamaz Mohand, Hamici Hamid, Hammiche Mohend-Saïd, Hammiche Rachid, Hammouche Tahar, Hanouz Mohand-Saïd, Haroun Mohamed, Hasnaoui Amejtouh, Heroui Mohamed, Hireche Hassane…
I) Iamoudene Amar, Iamrache Saïd, Id-Belkacem Hassan, Idjekouane Belkacem, Imache Amar, Imekhlef Saïd, Issiakhem Arezki...
K) Kadoum Madjid, Kateb Yacine, Keffous Hocine, Kenzi Rachid, Khacer Mohand-Ouramdane, Khadaoui Ali, Khelifati Mohand-Amokrane, Khelili Rachid, Khellil Amar, Khellil Saïd, Khimouzi Boudjemâa, Koli Brahim,...
L) Laïmeche Ali, Lahbib Fouad, Lamari Idriss, Lembrouk Ahmed (dit le barbu), Lounaouci Mouloud, Lounés Kaci…
M) Maames Ali, Madjour Saïd, Mammeri Mouloud, Matoub Lounés, Medjeber Mohamed-ou-Salem, Medjeber Smaïl, Mehenni Ahmed, Mehenni Ferhat, Metref Latamen, Mohand (un chanteur-musicien Non-voyant), Mohya Abdallah dit Muḥend u Yeḥya, Mostephaï Mouloud, Mouffok Omar, Moukhlis Moha, Mouloud (un barbu, originaire d’Azazga)...
N) Naït-Abdellah Mohand, Naroun Amar, Neggadi Amar, Nekkar Ahmed...
O) Ouarab Madjid, Oudadess Mohamed, Ouidja Boussad, Oulamara Messaoud, Ould-Hamouda Amar, Ould-Slimane Salem, Oulhaj Lahcen, Ourabah Ali-Cheikh, Ouzegane Amar, Ouskounti Heddou…
R) Rachedi Mhamed, Raha Rachid, Rahmani Abdelakader, Redjala M’barek, Roudjane Mokrane...
S) Sadi Hand, Sadi Saïd, Saadaoui Salah, Saïdj Mohand, Salmi Mohamed, Sebti Muhend, Stiet Mohamed, Soula Madjid...
T) Tari Abdelaziz....
Y) Yefsah Smaïl, Yennek Mokrane…
Z) Zaïd Ahmed, Zaïd Malika, Zenati Djamel, Zirem Kamel...
La présente liste, spontanée, est non exhaustive. Elle doit être complétée ou corrigée si nécessaire, moralement, intègrement, sincèrement, sérieusement ; des témoignages corroborant y seront utiles.
Tout solidaire soutien, toute fraternelle adhésion, toute généreuse contribution, positive et constructive, individuelle ou collective, à cet humble proposition seront les bienvenus. Soit, sur les sites des quotidiens d’informations via Internet où sera publié ce texte, et qui accepteront, soit par courriel, directement à l’auteur, à : memoireamazighe@hotmail.fr
En attendant la création d’un site Internet dédié à ce Jour de Mémoire Amazighe.
S.M
*Journée de révolte estudiantine et populaire en Kabylie (Algérie) du 20 avril 1980, suite à l’interdiction, par le pouvoir dictatorial algérien, d’une conférence sur la poésie amazighe ancienne que devait donner Feu Mouloud Mammeri, le 10 mars 1980, à l’université de Tizi-Ouzou.
Sources des faits et noms suscités :
Abc Amazigh : une expérience éditoriale en Algérie, volume 1 et 2, La Grande Poubelle, Journal d’un ancien détenu politique en Algérie, de Smaïl Medjeber, parus aux Editions L’Harmattan ;
Revue Abc Amazigh qui paraissait en Algérie aux Editons Tizrigin Youba Wissine ;
Article Témoignage : mouvement Amazigh après l’indépendance, de Muhend Sebti, paru le 06/04/2013 sur Berberes.com. Et diverses autres sources via Internet.
SIWEL 14 1818 AVR13
B) Bacha Mustapha, Bahbouh Lahcène, Belghezli Achour, Bellili Tahar, Ben Amara Hassane, Benmouhoub Nadia, Bennai Ouali, Benanoune Djamal, Ben Mohamed, Bensedira Belkacem, Ben Yadali Louli, Berdous Maammar, Berkouk Ahmed, Bessaoud Mohand-Arab, Bouaziz Tahar, Boudaoud Ali, Boudhan Mohamed, Boudris Belaid, Bouguermouh Abderrahmane, Boukouss Ahmed, Boukrif Salah, Boulifa Amar-Saïd, Boumekla Madjid, Bounabe Mustapha, Brahimi Ali ; Braïk Karim, Brinis Youcef...
C) Cerbah Rabah, Chabane Slimane, Cadi Kaddour, Chafik Mohammed, Chaker Salem, Chami Amrane, Chami Mohamed, Cheikh Amar, Chemime Mokrane, Cheradi Hocine, Cherifi Ahcène, Cherifi Ali, Chihab Amrane, Chiramik Ali, Cubillo Antonio...
D) Daoud Ali, Derriche Amar, Djaber Nadia...
E) El Hadj Salem, El Mâakchaoui M’hammadi...
F) Farid Ali, Farida (L’étudiante qui portait souvent un burnous), Feraoun Mouloud…
G) Guemghar Mouloud…
H) Haïfi Ramdane, Halet Rachid, Hamadouche Ali, Hamaz Mohand, Hamici Hamid, Hammiche Mohend-Saïd, Hammiche Rachid, Hammouche Tahar, Hanouz Mohand-Saïd, Haroun Mohamed, Hasnaoui Amejtouh, Heroui Mohamed, Hireche Hassane…
I) Iamoudene Amar, Iamrache Saïd, Id-Belkacem Hassan, Idjekouane Belkacem, Imache Amar, Imekhlef Saïd, Issiakhem Arezki...
K) Kadoum Madjid, Kateb Yacine, Keffous Hocine, Kenzi Rachid, Khacer Mohand-Ouramdane, Khadaoui Ali, Khelifati Mohand-Amokrane, Khelili Rachid, Khellil Amar, Khellil Saïd, Khimouzi Boudjemâa, Koli Brahim,...
L) Laïmeche Ali, Lahbib Fouad, Lamari Idriss, Lembrouk Ahmed (dit le barbu), Lounaouci Mouloud, Lounés Kaci…
M) Maames Ali, Madjour Saïd, Mammeri Mouloud, Matoub Lounés, Medjeber Mohamed-ou-Salem, Medjeber Smaïl, Mehenni Ahmed, Mehenni Ferhat, Metref Latamen, Mohand (un chanteur-musicien Non-voyant), Mohya Abdallah dit Muḥend u Yeḥya, Mostephaï Mouloud, Mouffok Omar, Moukhlis Moha, Mouloud (un barbu, originaire d’Azazga)...
N) Naït-Abdellah Mohand, Naroun Amar, Neggadi Amar, Nekkar Ahmed...
O) Ouarab Madjid, Oudadess Mohamed, Ouidja Boussad, Oulamara Messaoud, Ould-Hamouda Amar, Ould-Slimane Salem, Oulhaj Lahcen, Ourabah Ali-Cheikh, Ouzegane Amar, Ouskounti Heddou…
R) Rachedi Mhamed, Raha Rachid, Rahmani Abdelakader, Redjala M’barek, Roudjane Mokrane...
S) Sadi Hand, Sadi Saïd, Saadaoui Salah, Saïdj Mohand, Salmi Mohamed, Sebti Muhend, Stiet Mohamed, Soula Madjid...
T) Tari Abdelaziz....
Y) Yefsah Smaïl, Yennek Mokrane…
Z) Zaïd Ahmed, Zaïd Malika, Zenati Djamel, Zirem Kamel...
La présente liste, spontanée, est non exhaustive. Elle doit être complétée ou corrigée si nécessaire, moralement, intègrement, sincèrement, sérieusement ; des témoignages corroborant y seront utiles.
Tout solidaire soutien, toute fraternelle adhésion, toute généreuse contribution, positive et constructive, individuelle ou collective, à cet humble proposition seront les bienvenus. Soit, sur les sites des quotidiens d’informations via Internet où sera publié ce texte, et qui accepteront, soit par courriel, directement à l’auteur, à : memoireamazighe@hotmail.fr
En attendant la création d’un site Internet dédié à ce Jour de Mémoire Amazighe.
S.M
*Journée de révolte estudiantine et populaire en Kabylie (Algérie) du 20 avril 1980, suite à l’interdiction, par le pouvoir dictatorial algérien, d’une conférence sur la poésie amazighe ancienne que devait donner Feu Mouloud Mammeri, le 10 mars 1980, à l’université de Tizi-Ouzou.
Sources des faits et noms suscités :
Abc Amazigh : une expérience éditoriale en Algérie, volume 1 et 2, La Grande Poubelle, Journal d’un ancien détenu politique en Algérie, de Smaïl Medjeber, parus aux Editions L’Harmattan ;
Revue Abc Amazigh qui paraissait en Algérie aux Editons Tizrigin Youba Wissine ;
Article Témoignage : mouvement Amazigh après l’indépendance, de Muhend Sebti, paru le 06/04/2013 sur Berberes.com. Et diverses autres sources via Internet.
SIWEL 14 1818 AVR13