Les 12 islamistes ont quitté leurs domiciles respectifs entre le 1er et le 30 août 2014, rapporte le quotidien algérien. Certains avaient disparus du jour au lendemain sans rien dire, tandis que d’autres avaient dit qu’ils allaient en Turquie pour faire du tourisme.
L’alerte a été donnée par le père de l’un des djihadistes qui aurait découvert la destination de son fils et de ses collègues dans l’ordinateur familial. Le contact avec des djihadistes basés en Syrie aurait été établi par Internet. Un citoyen de la ville de Bouadouaou a affirmé que “Ce groupe est connu de tout le monde ». D’autres estiment que « leur départ en Syrie n’étonne guère » mais ne comprennent pas « comment autant de jeunes “salafistes” ont pu s’envoler à destination de la Turquie en l’espace d’un mois sans attirer l’attention des parents et de l’entourage »
Le journal algérien rapporte que « Les services de sécurité ont commencé à travailler depuis plusieurs mois pour relever des indices qui vont certainement conduire à identifier les réseaux de recrutement installés ici ou à l’étranger ». Quand on connait le zèle des services algériens à pister et à débusquer les internautes qui dévoilent les actes de délinquances de la police algérienne, dans l’exercice de leurs fonctions (en particulier à Ghardaia et en Kabylie), on ne peut que s’étonner d’une telle lenteur.
Le journal estime qu’il y a « 200 à 300 Algériens, y compris les binationaux », qui sont allés rejoindre les « combattants » (sic !) en Syrie et en Irak aux côtés de Daech (Etat islamique) et le front Nosra. Pour conclure, Liberté termine en apothéose et affirme que « les Algériens, comparés avec les autres ressortissants des « pays arabes », sont moins nombreux ».
Le journal « oublie » juste de dire que l’AQMI est composée à 99% d’algériens et que seuls les laïcs et les amazighs ont des difficultés de circulations entre ce « pays arabe » qu’est l’Algérie et le monde extérieur, contrairement à ceux qui se rendent en Afghanistan et en reviennent sans aucun problème…
Source Liberté
mma,
SIWEL 101358 OCT 14
L’alerte a été donnée par le père de l’un des djihadistes qui aurait découvert la destination de son fils et de ses collègues dans l’ordinateur familial. Le contact avec des djihadistes basés en Syrie aurait été établi par Internet. Un citoyen de la ville de Bouadouaou a affirmé que “Ce groupe est connu de tout le monde ». D’autres estiment que « leur départ en Syrie n’étonne guère » mais ne comprennent pas « comment autant de jeunes “salafistes” ont pu s’envoler à destination de la Turquie en l’espace d’un mois sans attirer l’attention des parents et de l’entourage »
Le journal algérien rapporte que « Les services de sécurité ont commencé à travailler depuis plusieurs mois pour relever des indices qui vont certainement conduire à identifier les réseaux de recrutement installés ici ou à l’étranger ». Quand on connait le zèle des services algériens à pister et à débusquer les internautes qui dévoilent les actes de délinquances de la police algérienne, dans l’exercice de leurs fonctions (en particulier à Ghardaia et en Kabylie), on ne peut que s’étonner d’une telle lenteur.
Le journal estime qu’il y a « 200 à 300 Algériens, y compris les binationaux », qui sont allés rejoindre les « combattants » (sic !) en Syrie et en Irak aux côtés de Daech (Etat islamique) et le front Nosra. Pour conclure, Liberté termine en apothéose et affirme que « les Algériens, comparés avec les autres ressortissants des « pays arabes », sont moins nombreux ».
Le journal « oublie » juste de dire que l’AQMI est composée à 99% d’algériens et que seuls les laïcs et les amazighs ont des difficultés de circulations entre ce « pays arabe » qu’est l’Algérie et le monde extérieur, contrairement à ceux qui se rendent en Afghanistan et en reviennent sans aucun problème…
Source Liberté
mma,
SIWEL 101358 OCT 14