Ainsi selon des proches d’El Hachemi Assad, commissaire du festival, c’est Khalida Toumi Toumi, her self, qui a pris la décision d’interdire toute participation des délégations marocaines et libyennes au festival. « C’est "Khalida" qui a intimé l’ordre de ne pas les inviter », a confié un proche d’Assad à Siwel et Tamurt.
Selon cette personne, qui ne peut rien faire mais qui refuse néanmoins d'endosser la responsabilité d'une telle forfaiture, Khalida Toumi « fait dans le zèle pour paraître comme la gardienne du temple de Bouteflika et du clan d’Oujda, en interdisant tout contact entre la Kabylie et les autres amazighs de l’Afrique du nord ». Il faut rappeler que la délégation algérienne avait été reçue à Agadir (sud Maroc) en grande pompe par les organisateurs du Festival international du film amazigh. Des contrats de coopération ont été signés par les festivals algérien et marocain mais un rapprochement entre les peuples amazighs n'est pas du goût du régime algérien.
Il n’est donc pas étonnant que la ministre, issue pour rappel du RCD, ait eu l’audace d’interdire à des artistes amazighs de venir assister à un festival de cinéma justement d’expression amazighe. Pra ailleurs, afin de mettre en évidence les "orientation culturelles" auxquelles aspirent le ministère de la culture et la direction de la culture de Tizi-ouzou, il est utile de rappeler que c'est la même Khalida qui avait invité le Cheikh El Qaradaoui en 2007 pour animer une conférence à Tizi-Ouzou. Cet acte subversif à l'encontre de la culture et de l'identité amazigh, qui n'a pas d'autre objectifs que de bien modeler les enfants de la région dans un islamisme ravageur a été organisé par l’entremise indigne du bachagha Ould Ali-Lhadi qui a mis à sa disposition la maison de la culture portant le nom de l'illustre Mouloud Mammeri.
Il n'est pas étonnant que des individus qui ont eu l'audace de ramener le chef spirituel de l'islamo-terrorisme international pour animer des "conférences spirituelles" à Tizi-ouzou, ait de quelconques scrupules a s'interdire toute atteinte à l’art et à l’amazighité. Ils sont dans leur rôle.
aai
SIWEL 26 1302 MARS13
Selon cette personne, qui ne peut rien faire mais qui refuse néanmoins d'endosser la responsabilité d'une telle forfaiture, Khalida Toumi « fait dans le zèle pour paraître comme la gardienne du temple de Bouteflika et du clan d’Oujda, en interdisant tout contact entre la Kabylie et les autres amazighs de l’Afrique du nord ». Il faut rappeler que la délégation algérienne avait été reçue à Agadir (sud Maroc) en grande pompe par les organisateurs du Festival international du film amazigh. Des contrats de coopération ont été signés par les festivals algérien et marocain mais un rapprochement entre les peuples amazighs n'est pas du goût du régime algérien.
Il n’est donc pas étonnant que la ministre, issue pour rappel du RCD, ait eu l’audace d’interdire à des artistes amazighs de venir assister à un festival de cinéma justement d’expression amazighe. Pra ailleurs, afin de mettre en évidence les "orientation culturelles" auxquelles aspirent le ministère de la culture et la direction de la culture de Tizi-ouzou, il est utile de rappeler que c'est la même Khalida qui avait invité le Cheikh El Qaradaoui en 2007 pour animer une conférence à Tizi-Ouzou. Cet acte subversif à l'encontre de la culture et de l'identité amazigh, qui n'a pas d'autre objectifs que de bien modeler les enfants de la région dans un islamisme ravageur a été organisé par l’entremise indigne du bachagha Ould Ali-Lhadi qui a mis à sa disposition la maison de la culture portant le nom de l'illustre Mouloud Mammeri.
Il n'est pas étonnant que des individus qui ont eu l'audace de ramener le chef spirituel de l'islamo-terrorisme international pour animer des "conférences spirituelles" à Tizi-ouzou, ait de quelconques scrupules a s'interdire toute atteinte à l’art et à l’amazighité. Ils sont dans leur rôle.
aai
SIWEL 26 1302 MARS13