Quand la censure touche même le web. PH/DR
Ainsi, depuis une semaine, le site est inaccessible au public, qui s’informe depuis sa création sur les affaires scabreuses des dignitaires du régime algérien. Le site algerie-express a publié récemment une information selon laquelle le secrétaire particulier, Mohamed Rougab, de Bouteflika est impliqué, avec Djezzy, dans de scabreuses affaires de détournement d’argent.
La fille de l’actuel premier ministre, Abdelmalek Sellal n’a pas été épargnée par les investigations de nos confrères d’algerie-express qui ont rendu public ses liens avec British Petroleum. Le site a révélé aussi l'implication de l'actuel ministre des Affaires religieuses, Abou Abdellah Ghlamallah, dans des affaires de corruption.
Depuis la publication de ces affaires, la télévision et le journal Ennahar ont consacré, durant deux jours, des émissions et des articles contre le site et ses gérants, et ce sur demande des services du Premier ministère algérien.
De leur coté, nos confrères d'algerie-express promettent d’autres révélations plus détaillées sur plusieurs affaires de corruption qui impliquent des responsables et des proches de Bouteflika, lesquels, adeptes de la censure, s'attaquent même aux sites internet qu'ils qualifiaient jadis de "tintamarre".
dm
SIWEL 231347 AVR 13
La fille de l’actuel premier ministre, Abdelmalek Sellal n’a pas été épargnée par les investigations de nos confrères d’algerie-express qui ont rendu public ses liens avec British Petroleum. Le site a révélé aussi l'implication de l'actuel ministre des Affaires religieuses, Abou Abdellah Ghlamallah, dans des affaires de corruption.
Depuis la publication de ces affaires, la télévision et le journal Ennahar ont consacré, durant deux jours, des émissions et des articles contre le site et ses gérants, et ce sur demande des services du Premier ministère algérien.
De leur coté, nos confrères d'algerie-express promettent d’autres révélations plus détaillées sur plusieurs affaires de corruption qui impliquent des responsables et des proches de Bouteflika, lesquels, adeptes de la censure, s'attaquent même aux sites internet qu'ils qualifiaient jadis de "tintamarre".
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