Abdelaziz Belkhadem, secrétaire général du FLN (Photo Rio - Siwel)
« Le droit international permet de protéger les populations mais il ne permet pas de changer les régimes », a déclaré dans une interview à la radio Chaine 3, le haut responsable politique du Front de Libération Nationale (FLN), au pouvoir, majoritaire au Parlement algérien.
En outre, réagissant à l’appel de Sarkozy à la Turquie de reconnaître ses génocides perpétrés en Arménie, durant la première guerre mondiale, Abdelaziz Belkhadem a indiqué qu'« il ne peut exister des relations bilatérales solides, durables et stables entre l’Algérie et la France si cette dernière ne reconnaitra pas ses crimes perpétrés en Algérie ».
Abdelaziz Belkhadem, islamo-conservateur, ministre d'Etat à plusieurs reprises et ancien Premier ministre du 24 mai 2006 au 23 juin 2008, secrétaire général du FLN depuis février 2005, a ironisé sur les révolutions arabes en affirmant notamment que "la Libye ne doit son salut qu'à l'intervention étrangère", en référence à l'intervention de l'Otan.
Dès 1972, le président Houari Boumédiène le nomme directeur adjoint aux relations internationales à la présidence de la République.
Le Front de Libération Nationale (FLN) d'Abdelaziz Belkhadem fait partie de l’« alliance présidentielle » avec le Rassemblement National Démocratique (RND) du premier ministre Ahmed Ouyahia et le Mouvement pour la Société et la Paix (MSP) d'Aboudjerra Soltani.
wbw
SIWEL 091230 OCT 11
En outre, réagissant à l’appel de Sarkozy à la Turquie de reconnaître ses génocides perpétrés en Arménie, durant la première guerre mondiale, Abdelaziz Belkhadem a indiqué qu'« il ne peut exister des relations bilatérales solides, durables et stables entre l’Algérie et la France si cette dernière ne reconnaitra pas ses crimes perpétrés en Algérie ».
Abdelaziz Belkhadem, islamo-conservateur, ministre d'Etat à plusieurs reprises et ancien Premier ministre du 24 mai 2006 au 23 juin 2008, secrétaire général du FLN depuis février 2005, a ironisé sur les révolutions arabes en affirmant notamment que "la Libye ne doit son salut qu'à l'intervention étrangère", en référence à l'intervention de l'Otan.
Dès 1972, le président Houari Boumédiène le nomme directeur adjoint aux relations internationales à la présidence de la République.
Le Front de Libération Nationale (FLN) d'Abdelaziz Belkhadem fait partie de l’« alliance présidentielle » avec le Rassemblement National Démocratique (RND) du premier ministre Ahmed Ouyahia et le Mouvement pour la Société et la Paix (MSP) d'Aboudjerra Soltani.
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