La série de condamnatio n'en finie pas à Tizi-Ouzou. PH/DR
La corruption au sein de l’administration et des instances élues n’épargne aucune institution en Algérie. Apparemment aucun responsable n’est sain. Les quelques révélation rendues par la justice font déjà froid au dos. Et ce n’est là que la partie visible de l’iceberg.
Un ex-maire, Belhadj Mohand Mouloud, son vice-président, tous issus de l’éternel parti au pouvoir, le Front de Libération National (FLN), ont été condamnés aujourd’hui, par la cour d’appel de Tizi Wezzu à deux années de prison ferme en plus du versement d’une amende de 100.000 dinars chacun. Une autre personne, un agent administratif a écopé, lui aussi, et dans cette même affaire d’une peine de 18 mois de prison ferme.
Les griefs retenus contre les trois accusés sont : « détournements de matériaux de construction, pièces détachées, équipements sportifs et appareils de chauffage d’une valeur de plusieurs milliards de centimes ». Les inculpés ont détourné des matériaux de construction, pièces détachées, équipements sportifs et appareils de chauffage d’une valeur de plusieurs milliards de centimes. Des preuves irréfutables sont présentées contre eux. C’est le cinquième maire, pour rappel, à être condamné par la justice pour corruption à Tizi Wezzu en l’espace de quelques jours. Ils ont tous été aux commandes de la commune de Tizi Wezzu.
La semaine passée, le juge du tribunal de la ville d’Azuguen, a prononcé des peines allant de 7 à 10 années de prison ferme à l’encontre de quatre anciens maires du parti dit d’opposition , le Font des Forces Socialistes (FFS). Ils sont poursuivis pour dilapidation de deniers publics et passation de marchés contraires à la réglementation. Trois des accusés présents au procès, Cherak Omar, Ait Ahmed Chrif et Bensalem Arezki, ont écopé de 7 ans de prison ferme pour chacun. Le quatrième ex-maire, qui est toujours en cavale, Ahmed T, est, quant à lui, condamné par contumace à une peine de 10 années de prison ferme. Une amende d’un million de dinars est aussi infligée aux quatre accusés. La question qui de pose, ces cinq anciens maires condamnés à des peines de prison ferme sont-t-ils les seuls coupables ? Et les autres directeurs, chefs de daïras, walis sont-ils sains ? La réponse est claire : rares sont les responsables intègres de nos jours.
YI /tamurt.info
SIWEL 19 1254 MARS 13
Un ex-maire, Belhadj Mohand Mouloud, son vice-président, tous issus de l’éternel parti au pouvoir, le Front de Libération National (FLN), ont été condamnés aujourd’hui, par la cour d’appel de Tizi Wezzu à deux années de prison ferme en plus du versement d’une amende de 100.000 dinars chacun. Une autre personne, un agent administratif a écopé, lui aussi, et dans cette même affaire d’une peine de 18 mois de prison ferme.
Les griefs retenus contre les trois accusés sont : « détournements de matériaux de construction, pièces détachées, équipements sportifs et appareils de chauffage d’une valeur de plusieurs milliards de centimes ». Les inculpés ont détourné des matériaux de construction, pièces détachées, équipements sportifs et appareils de chauffage d’une valeur de plusieurs milliards de centimes. Des preuves irréfutables sont présentées contre eux. C’est le cinquième maire, pour rappel, à être condamné par la justice pour corruption à Tizi Wezzu en l’espace de quelques jours. Ils ont tous été aux commandes de la commune de Tizi Wezzu.
La semaine passée, le juge du tribunal de la ville d’Azuguen, a prononcé des peines allant de 7 à 10 années de prison ferme à l’encontre de quatre anciens maires du parti dit d’opposition , le Font des Forces Socialistes (FFS). Ils sont poursuivis pour dilapidation de deniers publics et passation de marchés contraires à la réglementation. Trois des accusés présents au procès, Cherak Omar, Ait Ahmed Chrif et Bensalem Arezki, ont écopé de 7 ans de prison ferme pour chacun. Le quatrième ex-maire, qui est toujours en cavale, Ahmed T, est, quant à lui, condamné par contumace à une peine de 10 années de prison ferme. Une amende d’un million de dinars est aussi infligée aux quatre accusés. La question qui de pose, ces cinq anciens maires condamnés à des peines de prison ferme sont-t-ils les seuls coupables ? Et les autres directeurs, chefs de daïras, walis sont-ils sains ? La réponse est claire : rares sont les responsables intègres de nos jours.
YI /tamurt.info
SIWEL 19 1254 MARS 13