Illustration empruntée à "RALLY AGAINST POLICE REPRESSION" PH/DR)
Hier matin, c'est à peine s'ils ont eu le temps d'arriver devant la grande poste d'Alger que les travailleurs du pré-emploi à Alger ont été sommés de se disperser, gourdin à l'appui... La police a de suite réprimé les protestataires qui n'ont pas eu le temps de déplier leurs banderoles: répression, bousculades, insultes puis, selon les organisateurs, 50 personnes ont été violemment embarqués par les services de répressions algériennes.
La porte-parole du syndicat a dénoncé des "arrestations d'une rare violence, trainants et poussant les contestataires avant d'en embarquer une cinquantaine". Les organisateurs ont par ailleurs dénoncé l'attitude de la police algérienne vis à vis des femmes qui participaient au rassemblement qui " ont été insultées et traitées de tous les noms".
Le MAK qui subi régulièrement la répression du régime raciste et despotique d'Alger en Kabylie a condamné "le régime militaire algérien qui redouble de violence contre des citoyens pacifiques victimes de sa gestion colonialiste". Le MAK qui avait été violemment réprimé une semaine plus tôt à Tizi-Ouzou a condamné "avec force l'usage de la violence dans le traitement des problèmes politiques"; des problèmes qu'il considère comme étant la conséquence d'une "gouvernance despotique et raciste".
La déclaration signée du président du MAK, Bouaziz Ait-Chebib considère que "la violation des droits de l'homme et des libertés fondamentales, la diffamation, la confiscation des espaces publics et l'usage de la répression dénotent l'agonie d'un système qui n'a que trop duré".
zp,
SIWEL 181411 MARS 13
En pièce jointe la déclaration du MAK
La porte-parole du syndicat a dénoncé des "arrestations d'une rare violence, trainants et poussant les contestataires avant d'en embarquer une cinquantaine". Les organisateurs ont par ailleurs dénoncé l'attitude de la police algérienne vis à vis des femmes qui participaient au rassemblement qui " ont été insultées et traitées de tous les noms".
Le MAK qui subi régulièrement la répression du régime raciste et despotique d'Alger en Kabylie a condamné "le régime militaire algérien qui redouble de violence contre des citoyens pacifiques victimes de sa gestion colonialiste". Le MAK qui avait été violemment réprimé une semaine plus tôt à Tizi-Ouzou a condamné "avec force l'usage de la violence dans le traitement des problèmes politiques"; des problèmes qu'il considère comme étant la conséquence d'une "gouvernance despotique et raciste".
La déclaration signée du président du MAK, Bouaziz Ait-Chebib considère que "la violation des droits de l'homme et des libertés fondamentales, la diffamation, la confiscation des espaces publics et l'usage de la répression dénotent l'agonie d'un système qui n'a que trop duré".
zp,
SIWEL 181411 MARS 13
En pièce jointe la déclaration du MAK