Arezki Aider, député du RCD (Photo : SIWEL)
« Parmi la foule des contre-marcheurs, il y avait à peine une vingtaine de personnes , tout le reste c'était des flics en civil, que nous connaissons », a insisté Arezki Aider.
« Ce sont des policiers en civil qui nous ont agressés et j’ai personnellement interpellé le commissaire, en vain ! », a-t-il souligné.
« Cette agression des flics contre le président de notre parti est perpétrée devant le responsable de la police », a encore souligné M. Aider et de préciser que ces mêmes policiers, « protégeaient les voyous de Bouteflika, appelés en renfort pour casser la marche ».
M. Aider reste résolu : « ces pratiques de pouvoirs dictatoriaux ne vont pas nous faire fléchir ! »
« Nous serons chaque samedi ici pour marcher jusqu’au départ du régime » a-t-i rappelé.
aai/mau
SIWEL 51634 MAR 11
« Ce sont des policiers en civil qui nous ont agressés et j’ai personnellement interpellé le commissaire, en vain ! », a-t-il souligné.
« Cette agression des flics contre le président de notre parti est perpétrée devant le responsable de la police », a encore souligné M. Aider et de préciser que ces mêmes policiers, « protégeaient les voyous de Bouteflika, appelés en renfort pour casser la marche ».
M. Aider reste résolu : « ces pratiques de pouvoirs dictatoriaux ne vont pas nous faire fléchir ! »
« Nous serons chaque samedi ici pour marcher jusqu’au départ du régime » a-t-i rappelé.
aai/mau
SIWEL 51634 MAR 11