Mohamed Seddiki, président de la CNISEL
L’information a été confirmée, hier, par des cadres du ministère algérien de l'Intérieur, à des journalistes. Selon ces cadres, Mohamed Seddiki, enseignant à la retraite, avait formulé sa demande de terrain, avant sa désignation à la tête de la CNISEL. Ils ont ajouté que depuis sa nomination à la tête de la Commission, le ministère de l’Intérieur avait « travaillé avec lui », sur des dossiers liés au scrutin législatif du 10 mai.
Questionné sur le rapport de la Commission qui ne fait aucune illusion à la fraude pourtant dénoncée par presque tous les partis, hormis, le FFS de Hocine Ait Ahmed, le FLN, le RND et le MPA d’Amara Benyounès, ces cadres ont précisé que « Mohamed Seddiki savait que son rôle sera d’un grand apport pour le pouvoir ». « Il a utilisé son poste de président pour faire voter un rapport qui épargnera Bouteflika des attaques frontales en échange d’un terrain à Alger », ont-ils ajouté.
Ces mêmes cadres, qui ont préféré garder l’anonymat de peur de représailles, ont indiqué que, « le pouvoir algérien a tous les moyens pour corrompre ses vis-à-vis ».
Pour rappel, Mohamed Seddiki est représentant du parti AHD 54 de Ali Fawzi Rebaïne.
aai
SIWEL 111805 JUIN 12
Questionné sur le rapport de la Commission qui ne fait aucune illusion à la fraude pourtant dénoncée par presque tous les partis, hormis, le FFS de Hocine Ait Ahmed, le FLN, le RND et le MPA d’Amara Benyounès, ces cadres ont précisé que « Mohamed Seddiki savait que son rôle sera d’un grand apport pour le pouvoir ». « Il a utilisé son poste de président pour faire voter un rapport qui épargnera Bouteflika des attaques frontales en échange d’un terrain à Alger », ont-ils ajouté.
Ces mêmes cadres, qui ont préféré garder l’anonymat de peur de représailles, ont indiqué que, « le pouvoir algérien a tous les moyens pour corrompre ses vis-à-vis ».
Pour rappel, Mohamed Seddiki est représentant du parti AHD 54 de Ali Fawzi Rebaïne.
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SIWEL 111805 JUIN 12