Le pouvoir algérien est l'unique coupable et commanditaire des assassinats de jeunes kabyles. PH/DR
Suite aux négociations entre le régime algérien et une aile du mouvement des archs, le pouvoir s’est engagé à indemniser les victimes et assurer les soins aux blessés.
A ce jour, des victimes de ces événements tragiques et meurtriers restent ignorées et non reconnues par le pouvoir, au moment où des gens qui n’ont rien à voir avec le Printemps noir se sont faits indemnisés.
Beneddine Youcef ,Ghebraoui Amar, Bournani Djillali, trois victimes des événements tragiques sont à la recherche d’une reconnaissance. Ils étaient blessés par balles à Larbaâ Nat Yiraten, le 28 avril 2001, ensuite elles ont été transférés en France pour des soins vu la gravité de leur blessure. A ce jour, leurs dossiers restent sans suite malgré l’engagement du médiateur du wali en 2010 quant à la résolution de leur problème.
Selon notre source, d’autres blessés lésés dans leurs droits, ont eu gain de cause en 2009, par voix de justice à l’image de Moder Kamel d’Azazga et Sedouki Mohammed des Ouassif.
Notre source ajoute aussi qu’un fonctionnaire au niveau du service des victimes à la wilaya de Tizi Ouzou s’est fait passer pour un blessé du Printemps noir et il a été indemnisé alors que de vrais blessés continuent à subir le déni des autorités algériennes.
aai
SIWEL 19 1301 NOV 13
A ce jour, des victimes de ces événements tragiques et meurtriers restent ignorées et non reconnues par le pouvoir, au moment où des gens qui n’ont rien à voir avec le Printemps noir se sont faits indemnisés.
Beneddine Youcef ,Ghebraoui Amar, Bournani Djillali, trois victimes des événements tragiques sont à la recherche d’une reconnaissance. Ils étaient blessés par balles à Larbaâ Nat Yiraten, le 28 avril 2001, ensuite elles ont été transférés en France pour des soins vu la gravité de leur blessure. A ce jour, leurs dossiers restent sans suite malgré l’engagement du médiateur du wali en 2010 quant à la résolution de leur problème.
Selon notre source, d’autres blessés lésés dans leurs droits, ont eu gain de cause en 2009, par voix de justice à l’image de Moder Kamel d’Azazga et Sedouki Mohammed des Ouassif.
Notre source ajoute aussi qu’un fonctionnaire au niveau du service des victimes à la wilaya de Tizi Ouzou s’est fait passer pour un blessé du Printemps noir et il a été indemnisé alors que de vrais blessés continuent à subir le déni des autorités algériennes.
aai
SIWEL 19 1301 NOV 13