Marche empêchée de la CNCD à Alger le 19 février 2011 (Ph/ SIWEL)
La réunion de mardi 22 février a consacré l’implosion de la CNCD tombée dans une impasse à cause de profondes divergences.
Après deux actions organisées à Alger pour provoquer un changement du régime; la CNCD se sépare avec d’un côté les partis politiques (RCD, MDS et PLD) et de l’autre les syndicats autonomes (SNAPAP, CLA, SATEF, CNES) et la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH), qui ont décidé de créer la « Coordination de la société civile. »
L’aile des syndicalistes et militants des droits de l’homme a refusé de s’allier sur la proposition des représentants des partis politiques d’organiser une autre marche pour samedi prochain.
Dans les faits, ces derniers reprochent l’influence grandissante des politiques sur l’action de la CNCD. L'impuissance à mobiliser les Algériens pour le changement de régime est dû à la présence « trop affichée des partis, particulièrement du RCD ». « Une présence d’ailleurs instrumentalisée par le régime pour contenir la tentative de changement à un seul parti politique », a affirmé un syndicaliste à Siwel.
Les 12 et 19 février, le gouvernement algérien avait successivement avorté les deux marches programmées à Alger par la CNCD.
ysn
SIWEL 222315 FEV 11
Après deux actions organisées à Alger pour provoquer un changement du régime; la CNCD se sépare avec d’un côté les partis politiques (RCD, MDS et PLD) et de l’autre les syndicats autonomes (SNAPAP, CLA, SATEF, CNES) et la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH), qui ont décidé de créer la « Coordination de la société civile. »
L’aile des syndicalistes et militants des droits de l’homme a refusé de s’allier sur la proposition des représentants des partis politiques d’organiser une autre marche pour samedi prochain.
Dans les faits, ces derniers reprochent l’influence grandissante des politiques sur l’action de la CNCD. L'impuissance à mobiliser les Algériens pour le changement de régime est dû à la présence « trop affichée des partis, particulièrement du RCD ». « Une présence d’ailleurs instrumentalisée par le régime pour contenir la tentative de changement à un seul parti politique », a affirmé un syndicaliste à Siwel.
Les 12 et 19 février, le gouvernement algérien avait successivement avorté les deux marches programmées à Alger par la CNCD.
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SIWEL 222315 FEV 11