Le chef de l’État algérien Abdelaziz Bouteflika (PH/ RIO)
« La chute de Kadhafi établit désormais un continuum géopolitique proto-démocratique, fragile mais prometteur, allant de l'Egypte au Maroc, à l'exception de l'Algérie, grande perdante de la chute du régime libyen », écrit le chercheur, vendredi, dans une tribune au quotidien économique français "Les Echos".
Cet auteur notamment de "Le monde selon Obama" (2010) et "La norme sans la force" (2008), soutient que « la Libye (de Kadhafi) a toujours été un allié de premier plan du régime algérien, dont l'obsession est de contenir le Maroc ».
« En 1969, le régime algérien fut le premier à reconnaître le régime de Kadhafi », rappelle le politologue.
Dans sa tribune intitulée « La Libye, révélateur des fractures diplomatiques mondiales », l'auteur soutient que « le dénouement provisoirement heureux de la crise libyenne a confirmé qu'une intervention étrangère couplée à une dynamique locale pouvait faire la différence sur le terrain ».
uz
SIWEL 151100 SEPT 11
Cet auteur notamment de "Le monde selon Obama" (2010) et "La norme sans la force" (2008), soutient que « la Libye (de Kadhafi) a toujours été un allié de premier plan du régime algérien, dont l'obsession est de contenir le Maroc ».
« En 1969, le régime algérien fut le premier à reconnaître le régime de Kadhafi », rappelle le politologue.
Dans sa tribune intitulée « La Libye, révélateur des fractures diplomatiques mondiales », l'auteur soutient que « le dénouement provisoirement heureux de la crise libyenne a confirmé qu'une intervention étrangère couplée à une dynamique locale pouvait faire la différence sur le terrain ».
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