Kalida Toumi (Photo DR)
Le message de la ministre de la culture, Khalida Toumi, retransmis en direct sur la télévision d'Etat a ajouté que « Bouteflika, l’homme de paix, a su redonner à l’Algérie sa place dans le concert des nations ».
Mme Toumi a souligné, par ailleurs, que la manifestation, « Tlemcen capitale de la culture islamique » permettra au monde entier de comprendre que « cette culture islamique est basée sur la paix et la fraternité ».
Lors de la cérémonie d'ouverture organisée sur le plateau de Lalla Setti sur les hauteurs de Tlemcen, dans un chapiteau qui a coûté 4.6 million d’euro au trésor public, on a vu la participation de toutes les représentations diplomatiques agrées en Algérie, des artistes, des chefs de zaouïas, des hommes de lettres, des chorégraphes, notamment du Liban.
Les activités s'étaleront tout au long de l'année en cours alors que le service technique a été assuré par des Italiens et des Libanais.
Vers la fin de la cérémonie, une chorégraphie reproduisant l'histoire de l'Algérie depuis la période ante islamique a été présentée. Le chorégraphe n’est autre que le libanais, Caracalla. La chorégraphie représente des étapes dans l’histoire d’Algérie depuis l’ère numide à nos jours. Plusieurs périodes ont été cependant occultées.
La langue utilisée pour illustrer les personnages, même berbères, était l’arabe avec un accent libanais. « La décapitation de la Kahina a été sautée par le chorégraphe qui a sûrement reçu des pressions pour politiser et surtout falsifier l’Histoire à des fins bassement politiciennes », estime un artiste venu d’Alger.
aai
SIWEL 171217 AVR 11
Mme Toumi a souligné, par ailleurs, que la manifestation, « Tlemcen capitale de la culture islamique » permettra au monde entier de comprendre que « cette culture islamique est basée sur la paix et la fraternité ».
Lors de la cérémonie d'ouverture organisée sur le plateau de Lalla Setti sur les hauteurs de Tlemcen, dans un chapiteau qui a coûté 4.6 million d’euro au trésor public, on a vu la participation de toutes les représentations diplomatiques agrées en Algérie, des artistes, des chefs de zaouïas, des hommes de lettres, des chorégraphes, notamment du Liban.
Les activités s'étaleront tout au long de l'année en cours alors que le service technique a été assuré par des Italiens et des Libanais.
Vers la fin de la cérémonie, une chorégraphie reproduisant l'histoire de l'Algérie depuis la période ante islamique a été présentée. Le chorégraphe n’est autre que le libanais, Caracalla. La chorégraphie représente des étapes dans l’histoire d’Algérie depuis l’ère numide à nos jours. Plusieurs périodes ont été cependant occultées.
La langue utilisée pour illustrer les personnages, même berbères, était l’arabe avec un accent libanais. « La décapitation de la Kahina a été sautée par le chorégraphe qui a sûrement reçu des pressions pour politiser et surtout falsifier l’Histoire à des fins bassement politiciennes », estime un artiste venu d’Alger.
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