La mort est leur objectif, il leur faut donc l'approcher, se familiariser avec elle, l'apprivoiser, l'aimer, savoir partir à sa rencontre dans l'exaltation du sentiment religieux pour mériter son indulgence.
Cette mort qu’ils ne peuvent adopter que par la violence est la porte qui s'ouvre sur des jardins et palais que l'architecture des mortels ne peut concevoir et dans lesquels abondent de jeunes vierges que la beauté en ce monde ne peut disposer.
Un commandement divin les somme de mourir et de faire mourir, "Le paradis est à l’ombre des épées". Ils ont quitté tout raisonnement humain et dans leur construction mentale la vie humaine n'a plus aucune espèce d'importance : l'espoir, la confiance, l'assurance et les certitudes n'ont de sens que dans la mort.
Ni le tragique ni l’émouvant n'éveillent les consciences fermées par la religion. Face à eux, tout discours est creux, toutes les prières sont vaines, toute action pacifique à leur égard est signe de faiblesse, voire synonyme de veulerie à égale distance de la lâcheté. Ils agissent en soldats et dans ce cas, lla réponse ne peut être autre que militaire.
Ma colère brouillonne des clochers et des sérénades d'enfers pour y jeter le cul et l’orgueil des monarques et présidents arabes dont l’esprit est aiguisé en bretelles de soutien au terrorisme.
Il leur faut un enfer spécifique, horriblement typique, conforme à leurs cruels mérites. Et si, parce que musulmans, ils ont la bénédiction de Dieu, alors ma sympathie va pour le diable.
Djaffar Benmesbah,
SIWEL 130156 JAN 16
Cette mort qu’ils ne peuvent adopter que par la violence est la porte qui s'ouvre sur des jardins et palais que l'architecture des mortels ne peut concevoir et dans lesquels abondent de jeunes vierges que la beauté en ce monde ne peut disposer.
Un commandement divin les somme de mourir et de faire mourir, "Le paradis est à l’ombre des épées". Ils ont quitté tout raisonnement humain et dans leur construction mentale la vie humaine n'a plus aucune espèce d'importance : l'espoir, la confiance, l'assurance et les certitudes n'ont de sens que dans la mort.
Ni le tragique ni l’émouvant n'éveillent les consciences fermées par la religion. Face à eux, tout discours est creux, toutes les prières sont vaines, toute action pacifique à leur égard est signe de faiblesse, voire synonyme de veulerie à égale distance de la lâcheté. Ils agissent en soldats et dans ce cas, lla réponse ne peut être autre que militaire.
Ma colère brouillonne des clochers et des sérénades d'enfers pour y jeter le cul et l’orgueil des monarques et présidents arabes dont l’esprit est aiguisé en bretelles de soutien au terrorisme.
Il leur faut un enfer spécifique, horriblement typique, conforme à leurs cruels mérites. Et si, parce que musulmans, ils ont la bénédiction de Dieu, alors ma sympathie va pour le diable.
Djaffar Benmesbah,
SIWEL 130156 JAN 16