Après 10 années de terrorisme et 200 000 victimes, le chef spirituel du terrorisme algérien est libre de prêcher la haine et l'appel au meutre des kabyles qui ne se plient pas au dictât islamiste.
Dans une vidéo d'Ennahar TV filmant le prêche du terroriste sanguinaire, Ali Benhadj, qui a le sang de 200 000 morts sur les mains, s’en prend violemment à la « passivité » des services de sécurité de l'état algérien face aux quelques centaines de « non-jeûneurs » ayant tenu samedi 3 août un déjeuner public en plein Ramadan au carrefour Matoub Lounès à Tizi-Ouzou en Kabylie.
C'est après ce prêche, que Ali Belhadj accompagné de l'un des fils, était venu dimanche soir à Tizi-Ouzou, sur la place même où avait eu lieu le déjeûner laïque des Kabyles, pour, dit-il, laver l'affront kabyle et "effacer le sacrilège commis par les ennemis de Dieu".Pour rappel, Ali Benhadj est né à Tunis en 1956 au sein d'une famille de réfugiés algériens d'origine mauritanienne. Il est le cofondateur, avec Abassi Madani, du Front islamique du salut à l'origine de 10 années de terrorisme sanglant.
Selon lui, le châtiment à infliger à toute personne qui porte atteinte en public à l'un des piliers de l’Islam est la mort, s'appuyant sur les jugements établis par le rite Malékite, rite officiel de l'islam sunnite admis comme religion d'état en Algérie.
un « Etat musulman » n’a pas à tolérer les provocations des « non-jeûneurs ». Il revient à l’Etat de les « emprisonner ou de les exécuter », a-t-il ajouté.
Le succès tonitruant ayant des répercussions internationales car c'était une première dans le monde "musulman" et surtout l'adhésion citoyenne aux rassemblements de Tizi-Ouzou et d'Aokas tenus le 03 août dernier pour la défense de la liberté de conscience en Kabylie et contre l'inquisistion de l'état algérien, avait fait réagir les islamistes algériens qui demandent à l'Etat algérien de réprimer les initiateurs.
Dans le même sillage que l'appel au meurtre contre les non-jeûneurs Kabyles, émis par Ali Belhadj, le parti du Mouvement de la société de la paix (MSP), ex-Hamas, dont on rappelle que l'ancien président, Mahfoud Nahnah, avait salué le meurtre de Lounès Matoub en 1998, estime lui aussi que « les Algériens doivent faire face à ces provocations ». Et dire que des partis dit démocratiques et laïcs considèrent que ce mouvement est non seulement fréquentable mais il est également susceptibles de constituer des alliés électoraux...
wbw
SIWEL 071633 AOU 13
Dans une vidéo d'Ennahar TV filmant le prêche du terroriste sanguinaire, Ali Benhadj, qui a le sang de 200 000 morts sur les mains, s’en prend violemment à la « passivité » des services de sécurité de l'état algérien face aux quelques centaines de « non-jeûneurs » ayant tenu samedi 3 août un déjeuner public en plein Ramadan au carrefour Matoub Lounès à Tizi-Ouzou en Kabylie.
C'est après ce prêche, que Ali Belhadj accompagné de l'un des fils, était venu dimanche soir à Tizi-Ouzou, sur la place même où avait eu lieu le déjeûner laïque des Kabyles, pour, dit-il, laver l'affront kabyle et "effacer le sacrilège commis par les ennemis de Dieu".Pour rappel, Ali Benhadj est né à Tunis en 1956 au sein d'une famille de réfugiés algériens d'origine mauritanienne. Il est le cofondateur, avec Abassi Madani, du Front islamique du salut à l'origine de 10 années de terrorisme sanglant.
Selon lui, le châtiment à infliger à toute personne qui porte atteinte en public à l'un des piliers de l’Islam est la mort, s'appuyant sur les jugements établis par le rite Malékite, rite officiel de l'islam sunnite admis comme religion d'état en Algérie.
un « Etat musulman » n’a pas à tolérer les provocations des « non-jeûneurs ». Il revient à l’Etat de les « emprisonner ou de les exécuter », a-t-il ajouté.
Le succès tonitruant ayant des répercussions internationales car c'était une première dans le monde "musulman" et surtout l'adhésion citoyenne aux rassemblements de Tizi-Ouzou et d'Aokas tenus le 03 août dernier pour la défense de la liberté de conscience en Kabylie et contre l'inquisistion de l'état algérien, avait fait réagir les islamistes algériens qui demandent à l'Etat algérien de réprimer les initiateurs.
Dans le même sillage que l'appel au meurtre contre les non-jeûneurs Kabyles, émis par Ali Belhadj, le parti du Mouvement de la société de la paix (MSP), ex-Hamas, dont on rappelle que l'ancien président, Mahfoud Nahnah, avait salué le meurtre de Lounès Matoub en 1998, estime lui aussi que « les Algériens doivent faire face à ces provocations ». Et dire que des partis dit démocratiques et laïcs considèrent que ce mouvement est non seulement fréquentable mais il est également susceptibles de constituer des alliés électoraux...
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SIWEL 071633 AOU 13