Anis Rahmani, le directeur du torchon Ennahar. PH/DR
Dans un entretien accordé à son propre journal Hichem Aboud s’en est pris avec une rare violence au directeur du journal arabophone Ennahar, Anis Rahmani. Au-delà des révélations selon lesquelles Anis Rahmani travaille pour le compte de Saïd Bouteflika, ce qui est connu de tous, et que le père de ce triste personnage était un harki originaire d’El Bayadh, une réalité aussi connue du grand public, Hichem Aboud révèle qu’Anis Rahmani est un enfant né hors mariage. Selon lui, il refuse de porter son vrai nom, car, il est associé à une histoire d’adultère que son « père », Mokadem Sliamne avait commise avec la mère d’Anis Rahmani.
« Anis Rahmani s’appele en fait Mokadem Mohamed. Dans son dossier d’agent où il servait, autant d’indicateur et délateur pour les services secrets, il reconnaît en écrivant de sa propre main qu’il refuse de porter le nom qui lui a été donné par l’homme qui a épousé sa mère pour couvrir son adultère. C’est son ancien officier qui m’a révélé ce pan de l’histoire de celui qui passe, aujourd’hui, pour le champion des prostitués de la plume », déclare Hichem Aboud, et d’ajouter qu’Anis Rahmani « explique son refus de porter le nom de Mokadem par le fait que cet homme qui s’appelle Mokadem Slimane est un harki qui a échappé au lynchage à El-Bayadh grâce à sa mère ».
Il a ajouté, par ailleurs, que, cet individu né d’un adultère commis par sa mère a fait la même chose avec une femme mariée et mère d’enfants. Après une longue période de vie secrète il a monté une cabale contre le mari de la bonne femme pour l’obliger, par le chantage, à la divorcer. Cruel comme il est, il l’oblige à abandonner ses enfants comme il l’a fait de son côté avec les siens. Tout ça pour réaliser un mariage d’affaires avec celle qui est devenue son associé dans le torchon qu’il dirige, la nommée Saïda Azzouz ».
A propos des accointances entre Anis Rahmani et le DRS, Hichem Aboud révèle que « je vous l’ai dit auparavant : la vermine s’abrite toujours derrière les hommes puissants ; c’était un délateur du DRS avant d’aller s’abriter à l’ombre de M’hamed M’gueddem qui est pratiquement son homonyme et qui était, conseiller à la présidence afin de l’inclure dans la sphère des proches de Bouteflika ». « A partir de là, ajoute-t-il, il se met à plat ventre devant Said Bouteflika, pour se faire pardonner ses positions véhémentes prises à l’encontre Président Bouteflika en 2004 sur Khalifa TV, avec la même férocité qu’on lui connait. Alors, ne soyez pas étonnés de le voir après avril 2014 en train de me cirer les pompes, cependant je ne lui en donnerais pas l’occasion ».
Par ailleurs, Huichem Aboud a révélé que Saïd Bouteflika est un homosexuel et un drogué. Graves révélations lorsque l’on sait qu’Anis Rahmani fait de l’antikabylisme l’identité de son journal. Cette guerre révèle aussi l’ampleur du désastre que fait peser Bouteflika et le DRS sur le pouvoir.
dm
SIWEL 4 1122 SEP13
« Anis Rahmani s’appele en fait Mokadem Mohamed. Dans son dossier d’agent où il servait, autant d’indicateur et délateur pour les services secrets, il reconnaît en écrivant de sa propre main qu’il refuse de porter le nom qui lui a été donné par l’homme qui a épousé sa mère pour couvrir son adultère. C’est son ancien officier qui m’a révélé ce pan de l’histoire de celui qui passe, aujourd’hui, pour le champion des prostitués de la plume », déclare Hichem Aboud, et d’ajouter qu’Anis Rahmani « explique son refus de porter le nom de Mokadem par le fait que cet homme qui s’appelle Mokadem Slimane est un harki qui a échappé au lynchage à El-Bayadh grâce à sa mère ».
Il a ajouté, par ailleurs, que, cet individu né d’un adultère commis par sa mère a fait la même chose avec une femme mariée et mère d’enfants. Après une longue période de vie secrète il a monté une cabale contre le mari de la bonne femme pour l’obliger, par le chantage, à la divorcer. Cruel comme il est, il l’oblige à abandonner ses enfants comme il l’a fait de son côté avec les siens. Tout ça pour réaliser un mariage d’affaires avec celle qui est devenue son associé dans le torchon qu’il dirige, la nommée Saïda Azzouz ».
A propos des accointances entre Anis Rahmani et le DRS, Hichem Aboud révèle que « je vous l’ai dit auparavant : la vermine s’abrite toujours derrière les hommes puissants ; c’était un délateur du DRS avant d’aller s’abriter à l’ombre de M’hamed M’gueddem qui est pratiquement son homonyme et qui était, conseiller à la présidence afin de l’inclure dans la sphère des proches de Bouteflika ». « A partir de là, ajoute-t-il, il se met à plat ventre devant Said Bouteflika, pour se faire pardonner ses positions véhémentes prises à l’encontre Président Bouteflika en 2004 sur Khalifa TV, avec la même férocité qu’on lui connait. Alors, ne soyez pas étonnés de le voir après avril 2014 en train de me cirer les pompes, cependant je ne lui en donnerais pas l’occasion ».
Par ailleurs, Huichem Aboud a révélé que Saïd Bouteflika est un homosexuel et un drogué. Graves révélations lorsque l’on sait qu’Anis Rahmani fait de l’antikabylisme l’identité de son journal. Cette guerre révèle aussi l’ampleur du désastre que fait peser Bouteflika et le DRS sur le pouvoir.
dm
SIWEL 4 1122 SEP13