Khaled Nezzar, ancien homme fort de l'ANP. PH/DR
L’affaire Khaled Nezzar prend des tournures avec célérité. L’ancien général algérien et membre du Haut comité d’Etat, (HCE), estime que la levée de toute immunité dans la procédure de poursuites judicaires dont il fait l’objet de la part de TRIAL « n'était qu'une étape dans l'affaire ».
Dans une déclaration à l’AFP, le tout puissant ex-général algérien ajoute que « je n'ai rien à dire. C'est une affaire de procédures. Ce n'est qu'un pas dans l'affaire ».
Poursuivi pour suspicion de crimes de guerre durant la période allant de 1992 à 1999, l’ancien général algérien a indiqué qu’un groupe d’avocats travaille sur cette affaire. « J'ai des avocats suisses et algériens. J'ai des avocats algériens, qui sont bénévoles, dont Ali Haroun », a-t-il déclaré pour l’AFP.
aai
SIWEL 11559 Août12
Dans une déclaration à l’AFP, le tout puissant ex-général algérien ajoute que « je n'ai rien à dire. C'est une affaire de procédures. Ce n'est qu'un pas dans l'affaire ».
Poursuivi pour suspicion de crimes de guerre durant la période allant de 1992 à 1999, l’ancien général algérien a indiqué qu’un groupe d’avocats travaille sur cette affaire. « J'ai des avocats suisses et algériens. J'ai des avocats algériens, qui sont bénévoles, dont Ali Haroun », a-t-il déclaré pour l’AFP.
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SIWEL 11559 Août12