Si par le passé les activités du Mouvement pour l’Autodétermination de la Kabylie (MAK), n’étaient jamais médiatisées par la presse algérienne, y compris celle qualifiée à tort ou à raison d’indépendante, les services de la police politique viennent d’informer toutes les rédactions, surtout celles de la presse écrite, de ne pas mentionner le sigle du MAK, ni même faire allusion à ce mouvement qui milite pour l’autodétermination du peuple Kabyle.
« Nous avons reçu des ordres de la tour de Bouzaréah, du bureau de la gestion de la presse du DRS, de ne pas citer le MAK ni ses cadres durant cette période de la campagne électorale. On nous demandé de ne pas les citer non plus pour les critiquer », nous confié un directeur de publication d’un journal francophone à grand tirage. Une information qui a été confirmé par des journalistes qui sont chargés de la campagne présidentielle.
La montée en puissance du MAK fait peur au régime d’Alger. C’est le seul mouvement politique qui s’oppose frontalement au régime raciste d’Alger. L’exclusion du MAK n’est pas un fait nouveau, mais cette fois le ton se durcit. Une attitude qui prouve que le MAK est la première force politique ne Kabylie.
Le mouvement a toujours prôné, pas seulement le boycott des élections organisées par le régime d’Algérie, mais surtout un rejet total de tous les scrutins.
Un rejet qui est largement suivi par le peuple Kabyle et qui atteste de la non reconnaissance du pouvoir par la Kabylie ni de ses institutions. Seuls les services de sécurité et quelques opportunistes votent en Kabylie.
Des centres de vote d’importants centres urbains enregistrent deux ou trois bulletins, mais les scores affichés le soir par le ministère de l’intérieur sont toujours gonflés.
« Cette fois le boycott sera massif en Kabylie, ce qui distinguera cette région de toute l’Algérie », nous confié un militant du MAK.
« On n’a pas besoin de mener une campagne anti-vote, le peuple Kabyle, toutes tendances confondues, a décidé de ne pas voter », ajouta un cadre du MAK à Tizi Wezzu.
Siwel avec Tamurt
« Nous avons reçu des ordres de la tour de Bouzaréah, du bureau de la gestion de la presse du DRS, de ne pas citer le MAK ni ses cadres durant cette période de la campagne électorale. On nous demandé de ne pas les citer non plus pour les critiquer », nous confié un directeur de publication d’un journal francophone à grand tirage. Une information qui a été confirmé par des journalistes qui sont chargés de la campagne présidentielle.
La montée en puissance du MAK fait peur au régime d’Alger. C’est le seul mouvement politique qui s’oppose frontalement au régime raciste d’Alger. L’exclusion du MAK n’est pas un fait nouveau, mais cette fois le ton se durcit. Une attitude qui prouve que le MAK est la première force politique ne Kabylie.
Le mouvement a toujours prôné, pas seulement le boycott des élections organisées par le régime d’Algérie, mais surtout un rejet total de tous les scrutins.
Un rejet qui est largement suivi par le peuple Kabyle et qui atteste de la non reconnaissance du pouvoir par la Kabylie ni de ses institutions. Seuls les services de sécurité et quelques opportunistes votent en Kabylie.
Des centres de vote d’importants centres urbains enregistrent deux ou trois bulletins, mais les scores affichés le soir par le ministère de l’intérieur sont toujours gonflés.
« Cette fois le boycott sera massif en Kabylie, ce qui distinguera cette région de toute l’Algérie », nous confié un militant du MAK.
« On n’a pas besoin de mener une campagne anti-vote, le peuple Kabyle, toutes tendances confondues, a décidé de ne pas voter », ajouta un cadre du MAK à Tizi Wezzu.
Siwel avec Tamurt