"Mais il n’est plus chez nous !" Cette petite phrase innocemment lâchée par la standardiste de l’hôpital du Val-de-Grâce, à Paris, aurait pu être anodine si elle ne concernait Bouteflika, le président algérien.
"Nous ne communiquons jamais sur nos éventuels patients", expliquait ainsi le service de presse du ministère français de la Défense. Le Quai d’Orsay, lui non plus, ne souhaitait pas s’exprimer sur la question.
Quant à la communication algérienne caractérisée par son opacité, qu'elle soit officielle ou même officieuse, est quasiment absente, si ce n'est pour tenter, maladroitement, de "rassurer" sur l'état de Bouteflika.
wbw
SIWEL 072352 MAI 13
"Nous ne communiquons jamais sur nos éventuels patients", expliquait ainsi le service de presse du ministère français de la Défense. Le Quai d’Orsay, lui non plus, ne souhaitait pas s’exprimer sur la question.
Quant à la communication algérienne caractérisée par son opacité, qu'elle soit officielle ou même officieuse, est quasiment absente, si ce n'est pour tenter, maladroitement, de "rassurer" sur l'état de Bouteflika.
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SIWEL 072352 MAI 13