Plus de 80 % des rapellés sont des jeunes kabyles. PH/Siwel
Les anciens rappelés ne veulent pas baisser les bras. Ils comptent mener leur combat avec la même détermination lorsqu’ils ont été appelés par l’armée pour combattre les groupes armés. Par la suite, les anciens rappelés qui étaient présents hier à la capitale du Djurdjura ont sillonné l’artère principale de la ville, en brondissant des banderoles qui dénonçaient la défaillance voir la trahison d l’Etat.
La pluie et le froid glacial qui ont sévit ce matin n’ont pas empêchés les protestataires à mener leur action. C’est la troisième fois en espace d’une semaine que ces protestataires, qui ont entamé leur combat depuis trois ans, manifestent. Ils ont d’abord marché à Tuviret au début de la semaine, avant-hier à Boumedès et aujourd’hui à la ville de Tizi Wezu. Les villes de la Kabylie sont le bastion de la protestation. Normale, lorsqu’on sait qu’entre 1994 et 1998, sur les 250 000 jeunes rappelés par les autorités militaires plus de 200 000 sont des Kabyles. Bref, les anciens rappelés réclament un statut, des postes de travail, des logements, droit aux soins au niveau des structures hospitalières militaires, etc.
En 1999, jute après son arrivée, Bouteflika a tourné le dos aux jeunes rappelés qu’il a complètement ignoré et a ouvert ses bras aux terroristes qui sont considérés comme des « héros ». Les terroristes bénéficient des privilèges au même titre que les anciens combattants de la guerre de libération nationale de 1954 et 1962.
fm
SIWEL 19 1438 NOV 13
La pluie et le froid glacial qui ont sévit ce matin n’ont pas empêchés les protestataires à mener leur action. C’est la troisième fois en espace d’une semaine que ces protestataires, qui ont entamé leur combat depuis trois ans, manifestent. Ils ont d’abord marché à Tuviret au début de la semaine, avant-hier à Boumedès et aujourd’hui à la ville de Tizi Wezu. Les villes de la Kabylie sont le bastion de la protestation. Normale, lorsqu’on sait qu’entre 1994 et 1998, sur les 250 000 jeunes rappelés par les autorités militaires plus de 200 000 sont des Kabyles. Bref, les anciens rappelés réclament un statut, des postes de travail, des logements, droit aux soins au niveau des structures hospitalières militaires, etc.
En 1999, jute après son arrivée, Bouteflika a tourné le dos aux jeunes rappelés qu’il a complètement ignoré et a ouvert ses bras aux terroristes qui sont considérés comme des « héros ». Les terroristes bénéficient des privilèges au même titre que les anciens combattants de la guerre de libération nationale de 1954 et 1962.
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SIWEL 19 1438 NOV 13