La politique imprévisible d'un président contesté de toute part. PH/DR
Même des titres de la presse nationale, réputés êtres proches du régime on donné l’information quant à l’annonce du nouvel Exécutif pour le week-end passé.
« Plusieurs raisons ont fait que l’annonce est ajournée », explique notre source. Pour elle, hormis le caractère imprévisible de Bouteflika, « beaucoup de tractations ont eu lieu avant l’annonce », a-t-elle encore expliqué.
« Même le cas d’Ouyahia pose problème ». Plus explicite, elle a ajouté que « l’actuel Premier ministre est assis sur un siège éjectable. Il peut partir à tout moment, mais pour le moment Bouteflika a besoin de lui pour assurer quelques besognes ».
Sur le plan politique, même si on aborde une prédominance du clan du RND, avec une probable introduction de Seddik Chihab, le FLN de Belkhadem mène une pression « énorme ».
« Belkhadem veut arracher plus de sièges », informe-t-elle encore. Fort d'un score astronomique lors des dernières élections législatives, le FLN veut se placer même à l'intérieur de l'Exécutif comme la première force.
Même Amar Ghoul, ministre islamiste des Travaux publics, démissionnaire du MSP, a été pris « à contre-pied ». Sur ce point, notre source a expliqué que l’actuel chef du parti TAJ, un parti sorti tout droit des laboratoires du régime, veut se placer à la place du RND.
Son fondateur a tenu, hier, la première réunion des assises de son parti, en vue, explique-t-on « avoir les coudées franches pour intégrer le gouvernement ».
Notre source explique que la réunion prochaine du gouvernement, qui se tiendra le mercredi « adoptera les derniers dossiers engagés par l’équipe Ouyahia », et l’annonce du nouvel Exécutif se fera avant le mois prochain, en prévision de la convocation du corps électoral pour les prochaines élections locales.
On aura compris que le ministère de l’Intérieur sera chapeauté par un ancien malgache, en l’occurrence Daho Ould Kablia.
aai
Siwel 261312 août12
« Plusieurs raisons ont fait que l’annonce est ajournée », explique notre source. Pour elle, hormis le caractère imprévisible de Bouteflika, « beaucoup de tractations ont eu lieu avant l’annonce », a-t-elle encore expliqué.
« Même le cas d’Ouyahia pose problème ». Plus explicite, elle a ajouté que « l’actuel Premier ministre est assis sur un siège éjectable. Il peut partir à tout moment, mais pour le moment Bouteflika a besoin de lui pour assurer quelques besognes ».
Sur le plan politique, même si on aborde une prédominance du clan du RND, avec une probable introduction de Seddik Chihab, le FLN de Belkhadem mène une pression « énorme ».
« Belkhadem veut arracher plus de sièges », informe-t-elle encore. Fort d'un score astronomique lors des dernières élections législatives, le FLN veut se placer même à l'intérieur de l'Exécutif comme la première force.
Même Amar Ghoul, ministre islamiste des Travaux publics, démissionnaire du MSP, a été pris « à contre-pied ». Sur ce point, notre source a expliqué que l’actuel chef du parti TAJ, un parti sorti tout droit des laboratoires du régime, veut se placer à la place du RND.
Son fondateur a tenu, hier, la première réunion des assises de son parti, en vue, explique-t-on « avoir les coudées franches pour intégrer le gouvernement ».
Notre source explique que la réunion prochaine du gouvernement, qui se tiendra le mercredi « adoptera les derniers dossiers engagés par l’équipe Ouyahia », et l’annonce du nouvel Exécutif se fera avant le mois prochain, en prévision de la convocation du corps électoral pour les prochaines élections locales.
On aura compris que le ministère de l’Intérieur sera chapeauté par un ancien malgache, en l’occurrence Daho Ould Kablia.
aai
Siwel 261312 août12