DE G. à D. Fateh Rebaï, Bouguerra Soltani, Hamlaoui Akouchi. © AFP
Une décision qui se veut en conformité avec la ligne des trois partis de l'AAV (Nahda, MSP et El Islah) qui contestent toute l'opération de vote des législatives du 10 mai 2012.
Les trois chefs de partis, Bouguerra Soltani, Fatah Rebaï et Hamlaoui Akouchi ont fustigé les décideurs et ont dénié toute crédibilité à l'APN issue du vote qu'ils ont considéré comme une « supercherie ».
Ils ont exprimé leur opposition de fait à toute réforme de la Constitution qui sera avalisée par l'APN qui ne reflète « en aucun cas la volonté populaire », a déclaré Bouguerra Soltani.
L'AAV, qui s'est réunie mercredi pour faire son bilan depuis sa création il y a de cela trois mois a annoncé par ailleurs qu'elle relancera le projet de loi sur la criminalisation de la colonisation ainsi que la revendication d'une commission d'enquête sur la fraude électorale et la révision de la grille des salaires des députés.
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SIWEL 131750 JUIN 12
Les trois chefs de partis, Bouguerra Soltani, Fatah Rebaï et Hamlaoui Akouchi ont fustigé les décideurs et ont dénié toute crédibilité à l'APN issue du vote qu'ils ont considéré comme une « supercherie ».
Ils ont exprimé leur opposition de fait à toute réforme de la Constitution qui sera avalisée par l'APN qui ne reflète « en aucun cas la volonté populaire », a déclaré Bouguerra Soltani.
L'AAV, qui s'est réunie mercredi pour faire son bilan depuis sa création il y a de cela trois mois a annoncé par ailleurs qu'elle relancera le projet de loi sur la criminalisation de la colonisation ainsi que la revendication d'une commission d'enquête sur la fraude électorale et la révision de la grille des salaires des députés.
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