Photo M.M (Siwel)
En effet, après des années de tension et de boycott du corps, les gendarmeries ont mené une politique de rapprochement envers les Kabyles principalement dans les deux départements de Vgayet et de Tizi-Ouzou.
Dernier acte, c'est le placement de plusieurs panneaux dans les principales voies automobiles notamment les routes nationales donnant un numéro vert pour rejoindre les services du corps en cas de besoin 24/24H.
Les relations entre les populations de Kabylie et les forces de la gendarmerie algérienne se sont détériorées depuis les tragiques événements du « Printemps noir » 2001-2003. Des éléments de ce corps d'armée avaient été responsables de dizaines de morts en Kabylie tel qu'établi par le rapport final de la commission du Professeur Issad, installée par le président Bouteflika.
Plusieurs brigades avaient quitté la Kabylie en mars 2002 sous la pression des citoyens notamment les jeunes émeutiers. Aucun responsable de ce corps, impliqué dans les répressions du printemps noir qui a couté la vie à 128 personnes, n'a été jugé à ce jour.
Le Gouvernement provisoire kabyle a institué une plainte auprès de la Cour pénale internationale pour crimes contre l'humanité en avril 2011.
mm/bbi
SIWEL 051717 MAR 12
Dernier acte, c'est le placement de plusieurs panneaux dans les principales voies automobiles notamment les routes nationales donnant un numéro vert pour rejoindre les services du corps en cas de besoin 24/24H.
Les relations entre les populations de Kabylie et les forces de la gendarmerie algérienne se sont détériorées depuis les tragiques événements du « Printemps noir » 2001-2003. Des éléments de ce corps d'armée avaient été responsables de dizaines de morts en Kabylie tel qu'établi par le rapport final de la commission du Professeur Issad, installée par le président Bouteflika.
Plusieurs brigades avaient quitté la Kabylie en mars 2002 sous la pression des citoyens notamment les jeunes émeutiers. Aucun responsable de ce corps, impliqué dans les répressions du printemps noir qui a couté la vie à 128 personnes, n'a été jugé à ce jour.
Le Gouvernement provisoire kabyle a institué une plainte auprès de la Cour pénale internationale pour crimes contre l'humanité en avril 2011.
mm/bbi
SIWEL 051717 MAR 12