L'islamiste Abdelmadjid Menasra. PH/DR
La sortie de l'islamiste algérien, Menasra, n’est pas un événement en elle-même. Elle renseigne sur les positions extrémistes, racistes, régionalistes et sexistes de la mouvance islamistes.
Mais de loin, elle remet au goût du jour la lancinante question que doivent se poser les quelques démocrates laïcs algériens qui ont fait bloc uni avec les islamo-terroristes algériens.
Menasra a bien dit que l’officialisation de tamazight « profiterait à la langue française », de ce fait « on s’oppose fermement à son officialisation ». Menasra exprime ainsi deux apartheids linguistiques.
Le premier vise la langue amazighe et le second la langue de Molière. Menasra n’est pas non plus pour la parité homme-femme dans le domaine de la politique, comme si la femme algérienne ferait des émules dans le monde civilisé avec la décision de leur octroyer des quotas dans les assemblées élues, tel que décidé par Bouteflika.
Menasra, ancien ministre de l'industrie et de la restructuration, dans le gouvernement algérien d'Ahmed Benbitour entre 1999 et 2000, veut en fait, confiner la femme dans son statut de sexe faible, et ce, dans les rapports en sein même de la famille. Menasra veut imposer une conduite aux familles et lancent un appel à opprimer les femmes chez elles.
Menasra a pris part à la réunion de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique aux cotés de « militants » démocrates algériens , tels que Saïd Sadi et le président du RCD.
Cet islamiste a aussi répondu à l’appel du pouvoir pour réunir les propositions sur la future constitution, mais malgré cet opportunisme, Menasra a le mérite de souligner publiquement qu’il est un anti-amazigh, donc, un anti-kabyle, et contre les femmes, symbole de modernité chez les pseudos démocrates algériens…
aai
SIWEL 22 1323 JUI 14
Mais de loin, elle remet au goût du jour la lancinante question que doivent se poser les quelques démocrates laïcs algériens qui ont fait bloc uni avec les islamo-terroristes algériens.
Menasra a bien dit que l’officialisation de tamazight « profiterait à la langue française », de ce fait « on s’oppose fermement à son officialisation ». Menasra exprime ainsi deux apartheids linguistiques.
Le premier vise la langue amazighe et le second la langue de Molière. Menasra n’est pas non plus pour la parité homme-femme dans le domaine de la politique, comme si la femme algérienne ferait des émules dans le monde civilisé avec la décision de leur octroyer des quotas dans les assemblées élues, tel que décidé par Bouteflika.
Menasra, ancien ministre de l'industrie et de la restructuration, dans le gouvernement algérien d'Ahmed Benbitour entre 1999 et 2000, veut en fait, confiner la femme dans son statut de sexe faible, et ce, dans les rapports en sein même de la famille. Menasra veut imposer une conduite aux familles et lancent un appel à opprimer les femmes chez elles.
Menasra a pris part à la réunion de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique aux cotés de « militants » démocrates algériens , tels que Saïd Sadi et le président du RCD.
Cet islamiste a aussi répondu à l’appel du pouvoir pour réunir les propositions sur la future constitution, mais malgré cet opportunisme, Menasra a le mérite de souligner publiquement qu’il est un anti-amazigh, donc, un anti-kabyle, et contre les femmes, symbole de modernité chez les pseudos démocrates algériens…
aai
SIWEL 22 1323 JUI 14