La question de la réouverture des frontières avec le voisin marocain n'est pas à l'ordre du jour, a affirmé le premier ministre algérien Ahmed Ouyahia au cours d'une conférence de presse à Alger.
Ce démenti vient à contre-sens des affirmations de certains titres de la presse qui indiquaient que les deux pays sous la pression de Washington avaient entamé des négociations dans la perspective de rouvrir les frontières fermées par Alger depuis 1994.
Ouyahia a soutenu que pour cela arrive « il faut la réunion de certaines conditions ». Or, dit-il, « le Maroc à travers les déclarations des ses responsables fait dans le sens contraire notamment en accusant l'Algérie d'envoyer des mercenaires en Lybie ».
Le premier ministre algérien à nié le fait que le maintien de la fermeture des frontières ait une quelconque relation avec le conflit du Sahara.
L’ Algérie avait fermé sa frontière avec le Maroc en 1994, lorsque les autorités marocaines l’avaient accusée d’être impliquée dans un attentat islamiste contre un hôtel de Marrakech.
uz/mb
SIWEL 291718 MAI 11
Ce démenti vient à contre-sens des affirmations de certains titres de la presse qui indiquaient que les deux pays sous la pression de Washington avaient entamé des négociations dans la perspective de rouvrir les frontières fermées par Alger depuis 1994.
Ouyahia a soutenu que pour cela arrive « il faut la réunion de certaines conditions ». Or, dit-il, « le Maroc à travers les déclarations des ses responsables fait dans le sens contraire notamment en accusant l'Algérie d'envoyer des mercenaires en Lybie ».
Le premier ministre algérien à nié le fait que le maintien de la fermeture des frontières ait une quelconque relation avec le conflit du Sahara.
L’ Algérie avait fermé sa frontière avec le Maroc en 1994, lorsque les autorités marocaines l’avaient accusée d’être impliquée dans un attentat islamiste contre un hôtel de Marrakech.
uz/mb
SIWEL 291718 MAI 11