Les patriotes lors de leur sit-in à Alger. PH/Siwel
Ils ont combattu le terrorisme islamiste depuis le début des années 90. Eux, ce sont des citoyens patriotes engagés dans la défense du pays contre les terroristes.
Le premier groupe des Groupes de légitime défense, GLD a vu le jour un certain été de l’année 1994 à Igoujdal, village relevant de la région de Azeffoun. Et depuis, l’initiative engagée par la Kabylie pour contrer le projet terroriste islamiste est devenu une réalité nationale algérienne avec la constitution de groupe du même genre à travers tout le pays.
Aujourd’hui, ces éléments appelés « Les hommes debout », réclament « du respect et de la considération ».
Selon Mohamed, patriote venu de Boufarik, région relavant de la wilaya de Blida, ancien fief des terroristes, « il est anormal que la politique de réconciliation nationale prônée par Bouteflika procure des avantages aux ennemis de l’Algérie au moment où elle nous met en marge ». Un autre patriote de Relizane a déclaré à Siwel que l’Etat algérien est « coupable de crimes qui sont synonyme de ceux commis par les islamistes ». Et d’ajouter plus loin que « comment expliquer donc le fait que cette loi hisse à un rang de victime le bourreau et efface les victimes ? ».
Les éléments des Groupes de légitime défense, GLD, réclament, une hausse significative des indemnités liées au service rendu au pays. Ils réclament plus de considération de la part des autorités et appellent Bouteflika à trouver une solution à leurs doléances.
Ces éléments revendiquent aussi, a coté des revendications sociales, le statut d’ayant droit pour les « martyrs », au même titre que ceux de la guerre de libération.
A leurs cotés, des Patriotes venus de 48 wilayas que compte l’Algérie pour demander plus d’avantages à un Etat qu’ils ont sauvé.
Ces éléments qui se sont engagés aux cotés de l’Armée algérienne et de la Gendarmerie pour combattre les terroristes, estiment que la politique de la réconciliation nationale a crée un « fossé entre les victimes et l’Etat ».
Pour eux, cette politique « est criminelle », dans la mesure où elle rend hommage aux terroristes islamistes en déniant les droits de ceux qui ont combattu « ces barbares ».
aai
SIWEL 10 1707 AVR 11
Le premier groupe des Groupes de légitime défense, GLD a vu le jour un certain été de l’année 1994 à Igoujdal, village relevant de la région de Azeffoun. Et depuis, l’initiative engagée par la Kabylie pour contrer le projet terroriste islamiste est devenu une réalité nationale algérienne avec la constitution de groupe du même genre à travers tout le pays.
Aujourd’hui, ces éléments appelés « Les hommes debout », réclament « du respect et de la considération ».
Selon Mohamed, patriote venu de Boufarik, région relavant de la wilaya de Blida, ancien fief des terroristes, « il est anormal que la politique de réconciliation nationale prônée par Bouteflika procure des avantages aux ennemis de l’Algérie au moment où elle nous met en marge ». Un autre patriote de Relizane a déclaré à Siwel que l’Etat algérien est « coupable de crimes qui sont synonyme de ceux commis par les islamistes ». Et d’ajouter plus loin que « comment expliquer donc le fait que cette loi hisse à un rang de victime le bourreau et efface les victimes ? ».
Les éléments des Groupes de légitime défense, GLD, réclament, une hausse significative des indemnités liées au service rendu au pays. Ils réclament plus de considération de la part des autorités et appellent Bouteflika à trouver une solution à leurs doléances.
Ces éléments revendiquent aussi, a coté des revendications sociales, le statut d’ayant droit pour les « martyrs », au même titre que ceux de la guerre de libération.
A leurs cotés, des Patriotes venus de 48 wilayas que compte l’Algérie pour demander plus d’avantages à un Etat qu’ils ont sauvé.
Ces éléments qui se sont engagés aux cotés de l’Armée algérienne et de la Gendarmerie pour combattre les terroristes, estiment que la politique de la réconciliation nationale a crée un « fossé entre les victimes et l’Etat ».
Pour eux, cette politique « est criminelle », dans la mesure où elle rend hommage aux terroristes islamistes en déniant les droits de ceux qui ont combattu « ces barbares ».
aai
SIWEL 10 1707 AVR 11