Daho Ould Kablia, ministre algérien de l'Intérieur et président des anciens du MALG. PH/Dr
Pour justifier le recours à l’achat de page publicitaire, le ministre s’en défend et précise « qu’il est regrettable que nos arguments ne soient pas rapportés. Ils sont le fruits de plusieurs années de travail », a-t-il dit avant d’ajouter qu’il a « fallu acheter des pages publicitaires dans des journaux pour expliquer notre démarche ».
Le ministre algérien a expliqué, sans beaucoup de convictions, qu’il « mené un rude combat pour arracher des acquis pour les gardes communaux ». Ils accusent, par ailleurs, « de faire la sourde oreille et dans la prétention insensée ».
Le ministre, actuel président de l’association des anciens du MALG, affirme (sic) que « ce sont les ministère de l’Intérieur et le Premier ministère qui ont forcé toutes les portes pour arracher ce qu’on leur a donné ! ».
Le ministre a omis de souligner que sa réponse à travers des pages de publicité est ressentie, par les gardes communaux « comme une insulte payée avec l’argent du contribuable et une fermeture des porte de dialogue ».
A propos du corps des gardes communaux, le ministre algérien a souligné qu’il ne sera jamais dissous.
Les autorités algériennes ont décidé, selon lui, à transférer une partie vers l’ANP, une autre vers des entreprises publiques et la dernière sera admise à la retraite.
aai
SIWEL 4 1704 Août12
Le ministre algérien a expliqué, sans beaucoup de convictions, qu’il « mené un rude combat pour arracher des acquis pour les gardes communaux ». Ils accusent, par ailleurs, « de faire la sourde oreille et dans la prétention insensée ».
Le ministre, actuel président de l’association des anciens du MALG, affirme (sic) que « ce sont les ministère de l’Intérieur et le Premier ministère qui ont forcé toutes les portes pour arracher ce qu’on leur a donné ! ».
Le ministre a omis de souligner que sa réponse à travers des pages de publicité est ressentie, par les gardes communaux « comme une insulte payée avec l’argent du contribuable et une fermeture des porte de dialogue ».
A propos du corps des gardes communaux, le ministre algérien a souligné qu’il ne sera jamais dissous.
Les autorités algériennes ont décidé, selon lui, à transférer une partie vers l’ANP, une autre vers des entreprises publiques et la dernière sera admise à la retraite.
aai
SIWEL 4 1704 Août12