Considérant la tuberculose comme une maladie chronique, épuisante : de ce fait, les ressources de l’organisme se trouvent déjà activement mobilisées pour la défense contre l’infection et elles peuvent difficilement faire face en même temps à une arrivée massive d’éléments nutritifs ; ainsi donc, le tuberculeux a besoin d’une alimentation riche, naturelle, et surtout mesurée.
On a beaucoup discuté du régime idéal du tuberculeux, certains conseillaient un régime riche en hydrates de carbones, les uns préconisaient un régime carné, d’autre un régime végétarien. Les sels minéraux étaient considérés par les uns comme indispensables, par les autres comme nuisibles. On a longtemps hésité devant des directives précises, quelques points tendent cependant à rallier l’opinion de la majorité des milieux médicaux. Sans chercher à généraliser, on peut en voir le précieux appoint dans le traitement des tuberculeux. Il leur faut des antibactériens naturels.
Le fer : sa présence est indispensable dans l’alimentation du tuberculeux. Dans l’infection bacillaire comme dans toutes les infections, la consommation de fer augmente en raison de l’activité accrue du tissu réticulo-endothélial. La teneur de sang en fer indique, dans une certaine mesure, le degré de l’infection et l’évolution de la maladie. On apportera aux tuberculeux du fer naturel contenu notamment dans les aliments suivant : pomme, fraise, raisin, prune, ortie, laitue, asperge, orge, avoine, seigle, maïs, carotte.
Le miel possède une action bactériostatique expérimentale envers le bacille de Koch. Certains conseillent notamment du lait sucré au miel. En cas d’intolérance ou d’aversion, on peut remplacer le lait par du lait d’amande.
Les méthodes naturelles dans le traitement d’une maladie sont non négligeables, et c’est là, la force incontestable de la nature sur l’être humain. Il est évident, on ne saurait contester les résultats obtenus par la médecine moderne, les antibiotiques et la chimiothérapie antituberculeuse. Mais ces produits, ainsi que le traitement aux ultraviolets, la cure sanatoriale, la cure de repos, ne peuvent trouver leur véritable efficacité que si l’organisme utilise normalement ses défenses naturelles. Un régime riche et raisonnable contribue grandement à restituer l’intégralité de ces défenses naturelles et constitue un adjuvant précieux à toute thérapeutique antituberculeuse.
On a beaucoup discuté du régime idéal du tuberculeux, certains conseillaient un régime riche en hydrates de carbones, les uns préconisaient un régime carné, d’autre un régime végétarien. Les sels minéraux étaient considérés par les uns comme indispensables, par les autres comme nuisibles. On a longtemps hésité devant des directives précises, quelques points tendent cependant à rallier l’opinion de la majorité des milieux médicaux. Sans chercher à généraliser, on peut en voir le précieux appoint dans le traitement des tuberculeux. Il leur faut des antibactériens naturels.
Le fer : sa présence est indispensable dans l’alimentation du tuberculeux. Dans l’infection bacillaire comme dans toutes les infections, la consommation de fer augmente en raison de l’activité accrue du tissu réticulo-endothélial. La teneur de sang en fer indique, dans une certaine mesure, le degré de l’infection et l’évolution de la maladie. On apportera aux tuberculeux du fer naturel contenu notamment dans les aliments suivant : pomme, fraise, raisin, prune, ortie, laitue, asperge, orge, avoine, seigle, maïs, carotte.
Le miel possède une action bactériostatique expérimentale envers le bacille de Koch. Certains conseillent notamment du lait sucré au miel. En cas d’intolérance ou d’aversion, on peut remplacer le lait par du lait d’amande.
Les méthodes naturelles dans le traitement d’une maladie sont non négligeables, et c’est là, la force incontestable de la nature sur l’être humain. Il est évident, on ne saurait contester les résultats obtenus par la médecine moderne, les antibiotiques et la chimiothérapie antituberculeuse. Mais ces produits, ainsi que le traitement aux ultraviolets, la cure sanatoriale, la cure de repos, ne peuvent trouver leur véritable efficacité que si l’organisme utilise normalement ses défenses naturelles. Un régime riche et raisonnable contribue grandement à restituer l’intégralité de ces défenses naturelles et constitue un adjuvant précieux à toute thérapeutique antituberculeuse.
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