Si le muscle contracté dans ces conditions est éloigné de la poitrine, tous les muscles qui l’en séparent se contractent, ainsi une contraction énergétique de la main fait contracter les groupes musculaires de l’avant bras, du bras, de l’épaule et enfin de la poitrine.
L’effort est produit par une inspiration profonde qui en gonflant l’air de poumon dilate la poitrine au maximum, ensuite par la contraction de l’ouverture du larynx, de la glotte afin d’empêcher la sortie de l’air, enfin par la contraction énergétique des muscles abdominaux, qui tendent à attirer le thorax.
Par cet effort de plusieurs muscles et organes, pendant toute sa durée, le poumon sert de point d’appui aux côtes, les vésicules pulmonaires subissent donc une pression très fortes, qu’elles transmettent aux gros vaisseaux contenus dans la poitrine. Aussi, en cas d’effort exagéré ou trop prolongé, il peut se produire une rupture des cloisons des vésicules, une pression excessives des vaisseaux entraînant des apoplexies pulmonaires et cérébrales, des palpitations… Des mouvements habituels comme l’acte de se chausser, de s’asseoir brusquement dans le lit, les contractions nécessitées par la défécation provoquent une action énergique des muscles abdominaux et par suite un effort, ils peuvent donc devenir dangereux chez un cardiaque.
Pendant que la poitrine est immobilisée, le diaphragme presse avec force sur les viscères, qui transmettent la pression à toute la paroi abdominale, dont les points faibles peuvent céder d’où la production d’une hernie, à laquelle on donne parfois le nom d’ « effort », confondant la cause de l’effet.
Par ailleurs, on donne aussi le nom d’effort à la douleur qui se produit au niveau d’un muscle contracté trop violemment, d’une façon trop prolongé ou maladroite ; effort dans les reins se produisant quand se relève trop brusquement ou en levant de terre un lourd fardeau. Un certain nombre de fibres musculaires peuvent être rompues par suite de cet effort
L’effort est produit par une inspiration profonde qui en gonflant l’air de poumon dilate la poitrine au maximum, ensuite par la contraction de l’ouverture du larynx, de la glotte afin d’empêcher la sortie de l’air, enfin par la contraction énergétique des muscles abdominaux, qui tendent à attirer le thorax.
Par cet effort de plusieurs muscles et organes, pendant toute sa durée, le poumon sert de point d’appui aux côtes, les vésicules pulmonaires subissent donc une pression très fortes, qu’elles transmettent aux gros vaisseaux contenus dans la poitrine. Aussi, en cas d’effort exagéré ou trop prolongé, il peut se produire une rupture des cloisons des vésicules, une pression excessives des vaisseaux entraînant des apoplexies pulmonaires et cérébrales, des palpitations… Des mouvements habituels comme l’acte de se chausser, de s’asseoir brusquement dans le lit, les contractions nécessitées par la défécation provoquent une action énergique des muscles abdominaux et par suite un effort, ils peuvent donc devenir dangereux chez un cardiaque.
Pendant que la poitrine est immobilisée, le diaphragme presse avec force sur les viscères, qui transmettent la pression à toute la paroi abdominale, dont les points faibles peuvent céder d’où la production d’une hernie, à laquelle on donne parfois le nom d’ « effort », confondant la cause de l’effet.
Par ailleurs, on donne aussi le nom d’effort à la douleur qui se produit au niveau d’un muscle contracté trop violemment, d’une façon trop prolongé ou maladroite ; effort dans les reins se produisant quand se relève trop brusquement ou en levant de terre un lourd fardeau. Un certain nombre de fibres musculaires peuvent être rompues par suite de cet effort
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