Les investisseurs ont mis le paquet, le marché de l’Internet est rentable dans les pays pauvres. Mais ils ne sont pas les seuls à en profiter, les jeunes femmes africaines en tirent profit des sites de rencontre qui sont innombrables sur le Web. Selon les statistiques, 80% des internautes qui vont dans ces Cybercafé sont des femmes et leurs points communs est le fait d’être célibataire. Et parmi ces 80%, 70% sont connectés sur un chat ou un site de rencontre en pleine discussion avec un « blanc » peu importe sa nationalité.
L’objectif est de fuir la pauvreté du pays, c’est pourquoi on voit des jeunes filles de 18 ans qui sortent avec un français de 60 ans. Les potes du quartier n’ont aucune chance de draguer les filles de leurs villages après l’apparition des cybercafés en ville. Au Cameroun, ne nombre des mariages franco-camerounais ont augmenté de façon géométrique. Or des jeunes femmes qui, arrivés en France sont délaissées par leur mari et sont obligées d’avoir recours à la prostitution pour survivre, le retour au pays ne leur est pas envisageable : c’est la honte qui les attend. Et même si certaines ont le courage de rentre chez eux en servant de témoin, cela n’empêche pas les jeunes africaines de s’empresser à se marier avec un étranger. Avec la différence d’âge entre les mariés, il est difficile de déterminer s’il s’agit bien d’un mariage d’amour ou un mariage par intérêt.
Du côté professionnel, le marché du pétrole ou la délocalisation des entreprises européens et asiatiques en Afrique favorise toujours l’accès à Internet qui devient maintenant un véritable outil de travail.
L’objectif est de fuir la pauvreté du pays, c’est pourquoi on voit des jeunes filles de 18 ans qui sortent avec un français de 60 ans. Les potes du quartier n’ont aucune chance de draguer les filles de leurs villages après l’apparition des cybercafés en ville. Au Cameroun, ne nombre des mariages franco-camerounais ont augmenté de façon géométrique. Or des jeunes femmes qui, arrivés en France sont délaissées par leur mari et sont obligées d’avoir recours à la prostitution pour survivre, le retour au pays ne leur est pas envisageable : c’est la honte qui les attend. Et même si certaines ont le courage de rentre chez eux en servant de témoin, cela n’empêche pas les jeunes africaines de s’empresser à se marier avec un étranger. Avec la différence d’âge entre les mariés, il est difficile de déterminer s’il s’agit bien d’un mariage d’amour ou un mariage par intérêt.
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