FriendsClear un exemple dans le domaine de la levée de fond participative
Pour réaliser notre reportage sur le financement participatif, nous avons pris comme premier exemple le site FriendsClear créer récemment par Jean-Christophe Capelli qui en est Co-fondateur et Président. FriendsClear Pro est un nouveau service de microcrédit aux entrepreneurs. Pour la première fois en France, un site internet met en relation des porteurs de projet professionnel avec des internautes qui leur prêtent de l'argent.
Le fonctionnement de FriendsClear Pro, plateforme de financement participatif est très simple : l'entrepreneur présente son projet professionnel et expose les informations nécessaires pour convaincre de la pertinence de son projet. Les internautes-investisseurs évaluent ensuite les projets et prêtent de l'argent aux projets qu'ils sont sélectionnés et/ou à leur porteurs de projets préférés. Seuls les projets qui ont retenu l'attention de suffisamment de prêteurs sont financés (les crédits accordés aux entrepreneurs sont d'un montant maximum de 25 000 euros sur 3 ans). Le Financement Participatif , devient une solution capable de remplacer les banques, les établissements de crédit mérite d’être promue. Ce mode de financement est de plus en plus utilisé et sa simplicité en fait une arme redoutable pour relancer l’économie.
Véritable alternative à l'emprunt bancaire, le financement participatif de FriendsClear Pro permet aux entrepreneurs (commerçants, artisans, indépendants, auto-entrepreneurs) d'accéder plus facilement au crédit ainsi qu'au financement de leur projet. L'entrepreneur paye son crédit 6,25% ce qui permet d'offrir une très intéressante rémunération de 5% à ses prêteurs.
Créée par une équipe expérimentée d'anciens dirigeants du cabinet de conseil Andersen, le capital de FriendsClear est détenu par ses 5 fondateurs. Le site FriendsClear Pro bénéficie du soutien opérationnel du Crédit Agricole et est ouvert en "beta publique" depuis le 1er février 2010.
Le fonctionnement de FriendsClear Pro, plateforme de financement participatif est très simple : l'entrepreneur présente son projet professionnel et expose les informations nécessaires pour convaincre de la pertinence de son projet. Les internautes-investisseurs évaluent ensuite les projets et prêtent de l'argent aux projets qu'ils sont sélectionnés et/ou à leur porteurs de projets préférés. Seuls les projets qui ont retenu l'attention de suffisamment de prêteurs sont financés (les crédits accordés aux entrepreneurs sont d'un montant maximum de 25 000 euros sur 3 ans). Le Financement Participatif , devient une solution capable de remplacer les banques, les établissements de crédit mérite d’être promue. Ce mode de financement est de plus en plus utilisé et sa simplicité en fait une arme redoutable pour relancer l’économie.
Véritable alternative à l'emprunt bancaire, le financement participatif de FriendsClear Pro permet aux entrepreneurs (commerçants, artisans, indépendants, auto-entrepreneurs) d'accéder plus facilement au crédit ainsi qu'au financement de leur projet. L'entrepreneur paye son crédit 6,25% ce qui permet d'offrir une très intéressante rémunération de 5% à ses prêteurs.
Créée par une équipe expérimentée d'anciens dirigeants du cabinet de conseil Andersen, le capital de FriendsClear est détenu par ses 5 fondateurs. Le site FriendsClear Pro bénéficie du soutien opérationnel du Crédit Agricole et est ouvert en "beta publique" depuis le 1er février 2010.
Le Financement participatif, le Prêt communautaire
D'autres pistes dans le domaine de la levée de fond et du financement participatif sont explorées actuellement qui pourraient se révéler encore plus lucratives. A commencer par le financement d'amorçage. L'idée étant d'inciter les créateurs d'entreprise à délaisser les canaux habituels de la levée de fonds ( les banques et les business-angels, entre autre ) pour se tourner vers des investisseurs particuliers. Certes, des sites de mise en relation d'entrepreneurs et d'investisseurs existaient déjà : Faisonsaffaire.com, par exemple, ou la plate-forme "Financer sa boîte" qui associe en Ile-de-France Oséo, la Caisse des dépôts, la Région, la Drire et la CRCI.
Grace à la démocratisation du financement participatif, de nouveaux entrepreneurs du web 2.0, proposent aujourd'hui à des particuliers d'investir directement dans leur projet. Depuis février dernier, FriendsClear joue ainsi les intermédiaires entre des porteurs de projets - professionnels ou personnels - et les internautes qui acceptent de leur prêter de l'argent. Par projet, les emprunts sont limités à 25 000 euros, remboursables sur trois ans au maximum. Le prêteur bénéficie d'un taux d'intérêt de 5 %, et le porteur de projet d'un taux d'emprunt de 6,25 %. La start-up, créée par cinq anciens dirigeants du cabinet de conseil Andersen, avec le soutien de business angels, a noué un partenariat avec le Crédit agricole. Un concept testé aux Etats-Unis par des avant-gardistes tels que le site du LendingClub, lancé en 2007, qui affiche carrément 60 millions de dollars de prêts pour 2009.
Grace à la démocratisation du financement participatif, de nouveaux entrepreneurs du web 2.0, proposent aujourd'hui à des particuliers d'investir directement dans leur projet. Depuis février dernier, FriendsClear joue ainsi les intermédiaires entre des porteurs de projets - professionnels ou personnels - et les internautes qui acceptent de leur prêter de l'argent. Par projet, les emprunts sont limités à 25 000 euros, remboursables sur trois ans au maximum. Le prêteur bénéficie d'un taux d'intérêt de 5 %, et le porteur de projet d'un taux d'emprunt de 6,25 %. La start-up, créée par cinq anciens dirigeants du cabinet de conseil Andersen, avec le soutien de business angels, a noué un partenariat avec le Crédit agricole. Un concept testé aux Etats-Unis par des avant-gardistes tels que le site du LendingClub, lancé en 2007, qui affiche carrément 60 millions de dollars de prêts pour 2009.
Le financement participatif et la Prise de participation
La plate-forme d'intermédiation WiSeed, créée par Thierry Merquiol en juin 2009, propose quant à elle d'investir dans des start-up présélectionnées. C'est en testant Myfootballclub.co.uk, où il s'est improvisé investisseur dans une équipe de foot, puis en étant l'un des 347 producteurs chanceux de Grégoire en 2008 sur My Major Company, que Thierry Merquiol, ancien directeur de l'Incubateur Midi-Pyrénées, en a eu l'idée. Les internautes choisissent dans un panel de start-up celle qu'ils souhaitent soutenir en engageant 100 euros au minimum. Dès que le montant minimal d'investissement (30 000 euros) pour une entreprise est atteint, WiSeed fonde une société holding qui réunit les investisseurs et prend une participation dans la société cible. "Nous diffusons l'appel de fonds auprès de nos 1 300 internautes-investisseurs potentiels", précise Thierry Merquiol. WiSeed se rétribue a posteriori sur les fonds levés, en prélevant des honoraires qui vont de 5 à 10 % des sommes investies.
Pour la start-up, "c'est aussi une manière de tester son marché", ajoute Thierry Merquiol, l'entreprise pouvant par exemple faire découvrir ses produits en avant-première à ses actionnaires. Plusieurs sociétés ont déjà recouru aux services de WiSeed pour lever des fonds, comme la start-up lyonnaise Regioneo (vente de produits régionaux en ligne), qui vise une levée de fonds de 300 000 euros. "WiSeed est notre partenaire juridique et nous apporte des investisseurs", explique Marc Thouvenain, fondateur et directeur général de Regioneo. La société iLabs, à l'origine de vitrines interactives, a pour sa part déjà levé 130 000 euros grâce au site. Avantage non négligeable pour les web-investisseurs : ils bénéficient, comme pour tout investissement dans une jeune pousse, d'une réduction d'impôt égale à 25 % de son apport, plafonnée à 50 000 euros.
Pour la start-up, "c'est aussi une manière de tester son marché", ajoute Thierry Merquiol, l'entreprise pouvant par exemple faire découvrir ses produits en avant-première à ses actionnaires. Plusieurs sociétés ont déjà recouru aux services de WiSeed pour lever des fonds, comme la start-up lyonnaise Regioneo (vente de produits régionaux en ligne), qui vise une levée de fonds de 300 000 euros. "WiSeed est notre partenaire juridique et nous apporte des investisseurs", explique Marc Thouvenain, fondateur et directeur général de Regioneo. La société iLabs, à l'origine de vitrines interactives, a pour sa part déjà levé 130 000 euros grâce au site. Avantage non négligeable pour les web-investisseurs : ils bénéficient, comme pour tout investissement dans une jeune pousse, d'une réduction d'impôt égale à 25 % de son apport, plafonnée à 50 000 euros.
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