Les toilettes : pas pour tout le monde

Pour une hygiène collective, l’utilisation des toilettes est indiscutable. Le droit d’accès aux toilettes est un des droits fondamentaux de l’être humain. Une toilette pour deux personnes, c’est sans bien mais une toilette pour une famille, c’est déjà mieux. Dans le monde, 600 000 personnes n’ont pas accès aux « toilettes » propres et hygiéniques comme on l’entend. Que l’on parle de toilettes de type turc ou européen, l’important est de développer chez chacun d’entre nous l’importance de l’utilisation de ces cabines et de ses avantages…

En Afrique ou en Inde, les toilettes sont des plus rudimentaires, une cheminée creusée et dégagée de son contenu chaque après midi. Tour à tour, le caveau est dégagé des excréments couverts de cendres puis ramassés par des femmes (dans les sociétés qui ne valorisent pas l’image de la femme) pour être remis dans leurs destinations finales.

Les dirigeants d’entreprise doivent le connaître : une société doit avoir le maximum de toilettes possible pour ses salariés et les visiteurs occasionnels, une queue pour aller aux toilettes est le premier signe d’une mauvaise organisation. De même que dans les lieux publics, les parcs d’attraction, les lieux touristiques, café-restaurant, il ne devrait pas y avoir dehors une longue liste d’attente, c’est le moins qu’on puisse faire. Les papiers toilettes sont également inconnus dans d’autres contrées. On se sert de feuille de papaye comme au préhistoire ou d’un morceau de bois, des papiers journaux qui présente le risque d’infection de l’anus au plomb surtout si la feuille se trouve être en couleur.

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