La rétention d’urine est due à l’impossibilité de la contraction de la vessie, la surdistention de la vessie lorsqu’on a résisté longtemps au besoin d’uriner ou la diminution de la contractilité de la vessie chez les accouchées par compression de la vessie et lassitude générale. Comme toute maladie de la voie urinaire, elle provient de la présence de calcul dans la vessie et dans de nombreux cas, le rétrécissement de l’urètre au cours d’une blennorragie après le gonflement inflammatoire.
Les signes de la rétention d’urine :
Il y a rétention complète quand les besoins d’uriner continuels persistent malgré des efforts assez violents pour provoquer l’évacuation de matières fécales et même des hernies qui ne sont pas suivis d’effet. Le malade éprouve une sensation de plénitude au périnée, des douleurs sourdes dans le bas ventre qui augmentent en marchant ou en étant debout. Dans de nombreux cas, l’obstacle est forcé par l’urine qui s’écoule goutte à goutte.
La rétention incomplète est spéciale aux vieillards. Les troubles se réduisent le plus souvent à des envies d’uriner plus fréquentes, surtout la nuit avec difficulté d’obtenir un résultat ; mais, cette difficulté devient une impossibilité après une fatigue, un excès vénérien ou un refroidissement avec tous les signes de la rétention complète. Le vieillard urine sans avoir la sensation d’être soulagé de l’évacuation urinaire, après l’utilisation de la sonde, il peut encore en évacuer de 2 à 3 litres d’urine.
Quel traitement ?
La rétention d’origine nerveuse exige une vie au grand air avec hydrothérapie, bains chauds prolongés. Percussion très légère de la vessie avec la main droite chez l’enfant qui n’a pas uriné depuis 12 heures.
La rétention par obstacle mécanique : le sondage doit être effectué d’une façon absolument aseptique et toujours par un médecin. Le malade peut se faire sonder lui-même après de vives instructions médicales au risque d’une fausse route d’où blessure de l’urètre pouvant avoir des plus graves conséquences par elle-même. La ponction de la vessie peut être nécessaire dans ces conditions.
Les signes de la rétention d’urine :
Il y a rétention complète quand les besoins d’uriner continuels persistent malgré des efforts assez violents pour provoquer l’évacuation de matières fécales et même des hernies qui ne sont pas suivis d’effet. Le malade éprouve une sensation de plénitude au périnée, des douleurs sourdes dans le bas ventre qui augmentent en marchant ou en étant debout. Dans de nombreux cas, l’obstacle est forcé par l’urine qui s’écoule goutte à goutte.
La rétention incomplète est spéciale aux vieillards. Les troubles se réduisent le plus souvent à des envies d’uriner plus fréquentes, surtout la nuit avec difficulté d’obtenir un résultat ; mais, cette difficulté devient une impossibilité après une fatigue, un excès vénérien ou un refroidissement avec tous les signes de la rétention complète. Le vieillard urine sans avoir la sensation d’être soulagé de l’évacuation urinaire, après l’utilisation de la sonde, il peut encore en évacuer de 2 à 3 litres d’urine.
Quel traitement ?
La rétention d’origine nerveuse exige une vie au grand air avec hydrothérapie, bains chauds prolongés. Percussion très légère de la vessie avec la main droite chez l’enfant qui n’a pas uriné depuis 12 heures.
La rétention par obstacle mécanique : le sondage doit être effectué d’une façon absolument aseptique et toujours par un médecin. Le malade peut se faire sonder lui-même après de vives instructions médicales au risque d’une fausse route d’où blessure de l’urètre pouvant avoir des plus graves conséquences par elle-même. La ponction de la vessie peut être nécessaire dans ces conditions.
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