Cancer, des causes variées mais jamais uniques
Le cancer est le fléau du siècle et touche plus de 10 millions d'individus dans le monde. Le cancer est la cause de près de 7 millions de morts chaque année dans le monde. De nombreuses causes ont été citées ces dernières années pour tenter d'expliquer cette recrudescence de cas de cancer. Malgré l'existence de facteurs aggravants, les chercheurs ont tout de même réussi à démontrer que le cancer ne résulte pas d'une cause unique mais de la combinaison de différents facteurs.
Au premier rang des accusés: le tabagisme (actif ou passif) et l'alimentation sont responsables à eux seuls de 30% des cancers (en particulier les cancers pulmonaires, oraux et des voies digestives supérieures). Viennent ensuite l'hérédité pour 15% des cas, l'exposition à des matières cancérigènes (5%) et les causes virales (papillomavirus, hépatite...) à hauteur de 5%. Les différentes études menées ont ainsi déterminées que 2/3 des cancers avec des causes sur lesquelles nous pouvions agir au moins en partie.
Ces études sont d'ailleurs entérinées par les statistiques de l'organisation mondiale de la santé (OMS) qui mettent en évidence des pays à fort taux de cancer (pays occidentaux industrialisés, les États-Unis en tête) et des pays où le taux de cancer est faible (Asie principalement). D'autre part, les publications de l'OMS montrent que ce ne sont pas les mêmes types de cancer qui touchent les populations d'un bout à l'autre de la Terre: par exemple, le cancer du sein est presque absent chez les femmes asiatiques.
Au premier rang des accusés: le tabagisme (actif ou passif) et l'alimentation sont responsables à eux seuls de 30% des cancers (en particulier les cancers pulmonaires, oraux et des voies digestives supérieures). Viennent ensuite l'hérédité pour 15% des cas, l'exposition à des matières cancérigènes (5%) et les causes virales (papillomavirus, hépatite...) à hauteur de 5%. Les différentes études menées ont ainsi déterminées que 2/3 des cancers avec des causes sur lesquelles nous pouvions agir au moins en partie.
Ces études sont d'ailleurs entérinées par les statistiques de l'organisation mondiale de la santé (OMS) qui mettent en évidence des pays à fort taux de cancer (pays occidentaux industrialisés, les États-Unis en tête) et des pays où le taux de cancer est faible (Asie principalement). D'autre part, les publications de l'OMS montrent que ce ne sont pas les mêmes types de cancer qui touchent les populations d'un bout à l'autre de la Terre: par exemple, le cancer du sein est presque absent chez les femmes asiatiques.
Le cancer et le rôle de l'alimentation
Il semblerait au vue des différentes études menées à ce jour aux États-Unis et en Europe que l'alimentation joue un rôle déterminant dans le développement de différentes sortes de cancer. Cette influence de l'alimentation sur le cancer se fait de deux manières différentes : l'une est liée au régime alimentaire proprement dit, l'autre concerne la qualité des aliments.
L'observation du taux de cancer par régions du monde montre que certains pays sont plus touchés que d'autres. Par exemple, le Japon ou la Chine recensent peu de cas de cancer, tandis que les États-Unis ou la France ont des taux d'atteinte de la population en constante augmentation. A industrialisation et développement économique presque égaux, la différence ne peut donc provenir que du régime alimentaire. Les populations asiatiques ont plus tendance à consommer des poissons, des fruits et des légumes alors que les populations occidentales ont une alimentation très riche en graisses et protéines. Les cancérologues savent aujourd'hui que les graisses animales, les laitages et tous les aliments trop riches en sucre, outre le fait qu'ils provoquent obésité et diabète, sont également responsables d'une inflammation chronique des tissus et cellules. Or le cancer se développe à partir d'une inflammation chronique de cellules.
L'industrialisation massive de l'alimentation depuis une trentaine d'années avec l'utilisation de produits toxiques ou cancérigènes est aussi responsable de la recrudescence actuelle de cancer selon les études menées au sein de différents laboratoires: additifs, conservateurs, sucre raffiné, huiles hydrogénées....
L'observation du taux de cancer par régions du monde montre que certains pays sont plus touchés que d'autres. Par exemple, le Japon ou la Chine recensent peu de cas de cancer, tandis que les États-Unis ou la France ont des taux d'atteinte de la population en constante augmentation. A industrialisation et développement économique presque égaux, la différence ne peut donc provenir que du régime alimentaire. Les populations asiatiques ont plus tendance à consommer des poissons, des fruits et des légumes alors que les populations occidentales ont une alimentation très riche en graisses et protéines. Les cancérologues savent aujourd'hui que les graisses animales, les laitages et tous les aliments trop riches en sucre, outre le fait qu'ils provoquent obésité et diabète, sont également responsables d'une inflammation chronique des tissus et cellules. Or le cancer se développe à partir d'une inflammation chronique de cellules.
L'industrialisation massive de l'alimentation depuis une trentaine d'années avec l'utilisation de produits toxiques ou cancérigènes est aussi responsable de la recrudescence actuelle de cancer selon les études menées au sein de différents laboratoires: additifs, conservateurs, sucre raffiné, huiles hydrogénées....
Cancer et traitements
A l'heure actuelle, les trois traitements principaux du cancer restent la chimiothérapie, la chirurgie et la radiothérapie, bien que de nombreux essais soient réalisés chaque année avec d'autres méthodes. En général, ces 3 méthodes de soin sont utilisées de manière complémentaire, et le traitement est établi par le cancérologue en fonction du type de cancer, de son stade de développement...etc.
L'intervention chirurgicale pour ôter une tumeur cancéreuse est couramment employée, mais suivie la plupart du temps de radio- ou chimiothérapie. Cependant, certains types de cancer en fonction de leurs localisations et de leurs stades de développement ne sont pas opérables. Dans ces cas-là, la chimiothérapie et la radiothérapie prennent le relais pour endiguer la progression du cancer. La radiothérapie permet de détruire les cellules cancéreuses en les "brûlant" avec des rayons X. La chimiothérapie est une injection de différents médicaments qui ont pour but de détruire ou de limiter la multiplication des cellules cancéreuses.
D'autres méthodes de traitements du cancer sont étudiées. La recherche contre le cancer s'intéresse en particulier aux thérapies géniques qui permettraient de traiter le cancer à la source en modifiant les informations de la cellule défectueuse. De grandes avancées ont également eu lieu au cours des deux dernières années dans les traitements du cancer du poumon et du mélanome, deux des cancers les plus meurtriers.
L'intervention chirurgicale pour ôter une tumeur cancéreuse est couramment employée, mais suivie la plupart du temps de radio- ou chimiothérapie. Cependant, certains types de cancer en fonction de leurs localisations et de leurs stades de développement ne sont pas opérables. Dans ces cas-là, la chimiothérapie et la radiothérapie prennent le relais pour endiguer la progression du cancer. La radiothérapie permet de détruire les cellules cancéreuses en les "brûlant" avec des rayons X. La chimiothérapie est une injection de différents médicaments qui ont pour but de détruire ou de limiter la multiplication des cellules cancéreuses.
D'autres méthodes de traitements du cancer sont étudiées. La recherche contre le cancer s'intéresse en particulier aux thérapies géniques qui permettraient de traiter le cancer à la source en modifiant les informations de la cellule défectueuse. De grandes avancées ont également eu lieu au cours des deux dernières années dans les traitements du cancer du poumon et du mélanome, deux des cancers les plus meurtriers.
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