Claude François, un artiste adulé
Plus de trente années après son décès, Claude François garde une place toute spéciale dans le cœur de ses fans. Chaque année, le jour de l’anniversaire du décès de Claude François, mort électrocuté dans sa salle de bains, ses nombreux fans se réunissent sur les lieux où le chanteur vécut avec sa femme et ses deux fils pendant plus de dix ans. Le Moulin de Dannemois accueille ainsi tous les 11 mars une centaine de personnes venues rendre hommage à leur idole, Claude François.
En provenance des quatre coins de la France, de Suisse ou de Belgique, les fans de Claude François viennent se recueillir sur la tombe du chanteur, déposant gerbes de fleurs, mots ou encore quelques poèmes.
Idolâtré du temps de son vivant, Claude François continue cependant à vendre même trente ans après sa mort. Plus de 26 millions de disques ont ainsi été vendus depuis sa mort en 1978. Depuis 1962, année de son premier succès avec Belles, Belles, Belles, Claude François a bâti un empire autour de son image et de ses succès qui génère chaque année un peu plus de 10 millions d’euros de recettes.
Après son décès le 11 mars 1978 à l’âge de 39 ans, ce sont ces fils, Claude Junior et Marc qui ont repris les rênes de la société Flèche Productions, aidé par Fabien Lecoeuvre chargé du développement et de la communication de la carrière posthume de l’artiste.
Une entreprise réussie, donc, pour Claude François qui se rêvait aussi dans la peau d’un homme d’affaires talentueux.
En provenance des quatre coins de la France, de Suisse ou de Belgique, les fans de Claude François viennent se recueillir sur la tombe du chanteur, déposant gerbes de fleurs, mots ou encore quelques poèmes.
Idolâtré du temps de son vivant, Claude François continue cependant à vendre même trente ans après sa mort. Plus de 26 millions de disques ont ainsi été vendus depuis sa mort en 1978. Depuis 1962, année de son premier succès avec Belles, Belles, Belles, Claude François a bâti un empire autour de son image et de ses succès qui génère chaque année un peu plus de 10 millions d’euros de recettes.
Après son décès le 11 mars 1978 à l’âge de 39 ans, ce sont ces fils, Claude Junior et Marc qui ont repris les rênes de la société Flèche Productions, aidé par Fabien Lecoeuvre chargé du développement et de la communication de la carrière posthume de l’artiste.
Une entreprise réussie, donc, pour Claude François qui se rêvait aussi dans la peau d’un homme d’affaires talentueux.
Claude François, 63 millions de disques vendus
De son vivant, Claude François connut de nombreux succès commerciaux. Entre 1962, date de sortie de son premier succès en 45T jusqu’à sa mort, Claude François a vendu 35 millions de disques.
En homme d’affaires avisé, il fonde sa propre maison de production musicale en 1967, le label Flèche, dans laquelle quelques noms deviendront célèbres comme par exemple Alain Chamfort ou Patrick Topaloff. C’est également sous ce label que sortira son tube Comme d’habitude, écrit et composé après sa rupture avec France Gall en 1967. Claude François cédera finalement le label musical Flèche à Alain Carrère en 1977.
En 1972, il reprend la publication du magazine Podium, et la transforme rapidement en l’une des plus grosses publications à destination des adolescents
Véritable businessman, Claude François a enregistré au cours de sa carrière plus de 350 chansons en français et une bonne centaine en langues étrangères. Idole de toute une génération, le succès de Claude François a largement dépassé les frontières de l’Europe francophone. De la reprise de ses plus grands tubes en anglais (My way ou Comme d’habitude) à l’inauguration d’une rue à son nom en Egypte, Claude François conserve encore 30 ans après son décès toute son aura intacte.
Depuis sa mort en 1978, on estime que le chanteur a vendu plus de 26 millions de disques, générant un revenu annuel de un millions d’euros, réparti entre ses fils et ses sociétés.
En homme d’affaires avisé, il fonde sa propre maison de production musicale en 1967, le label Flèche, dans laquelle quelques noms deviendront célèbres comme par exemple Alain Chamfort ou Patrick Topaloff. C’est également sous ce label que sortira son tube Comme d’habitude, écrit et composé après sa rupture avec France Gall en 1967. Claude François cédera finalement le label musical Flèche à Alain Carrère en 1977.
En 1972, il reprend la publication du magazine Podium, et la transforme rapidement en l’une des plus grosses publications à destination des adolescents
Véritable businessman, Claude François a enregistré au cours de sa carrière plus de 350 chansons en français et une bonne centaine en langues étrangères. Idole de toute une génération, le succès de Claude François a largement dépassé les frontières de l’Europe francophone. De la reprise de ses plus grands tubes en anglais (My way ou Comme d’habitude) à l’inauguration d’une rue à son nom en Egypte, Claude François conserve encore 30 ans après son décès toute son aura intacte.
Depuis sa mort en 1978, on estime que le chanteur a vendu plus de 26 millions de disques, générant un revenu annuel de un millions d’euros, réparti entre ses fils et ses sociétés.
Claude François, une légende vivante
Au-delà de ses rengaines accrocheuses, de ses brushings impeccables, de ses Clodettes et de ses tenues à paillettes qui ont l’air kitsch et has been aujourd'hui, Claude François a été un homme d’affaires à la démarche totalement inédite pour son époque.
Cet acharné de travail, auquel ont souvent été reprochés son despotisme, ses sautes d'humeur et son orgueil, a bâti un véritable empire grâce à son acharnement: le label Flèche en 1967, le magazine pour adolescents Podium au service de sa folie des grandeurs, la revue Absolu, l'agence Girl's Models et le parfum, "Eau Noire".
Si aujourd’hui, la plupart des sociétés de Claude François ont été démantelées, partagées ou revendues, il n’en reste pas moins que les bénéfices annuels générés par sa carrière et ses compositions atteignent 8 à 10 millions d’euros. Ses ventes réalisent encore des scores importants plus de 30 ans après sa mort: de 180.000 à 200.000 albums vendus chaque année, entre 80.000 et 100.000 DVD.
Claude François reste présent malgré le temps qui passe dans le cœur de ses fans. Il passe encore une centaine de fois par an à la télévision, a fait la Une de 190 magazines depuis 1978 et a été l’objet de 73 livres.
En véritable phénomène de société, Claude François, après avoir conquis le public des années 60 et 70, a séduit les jeunes des années 90 et 2000, grâce notamment à des remixes de ses plus grands succès diffusés dans les discothèques.
Bien que ses enfants s’attendent à ce que le succès s’arrête prochainement, Claude François devrait encore rester de longues années dans la mémoire de ses fans.
Cet acharné de travail, auquel ont souvent été reprochés son despotisme, ses sautes d'humeur et son orgueil, a bâti un véritable empire grâce à son acharnement: le label Flèche en 1967, le magazine pour adolescents Podium au service de sa folie des grandeurs, la revue Absolu, l'agence Girl's Models et le parfum, "Eau Noire".
Si aujourd’hui, la plupart des sociétés de Claude François ont été démantelées, partagées ou revendues, il n’en reste pas moins que les bénéfices annuels générés par sa carrière et ses compositions atteignent 8 à 10 millions d’euros. Ses ventes réalisent encore des scores importants plus de 30 ans après sa mort: de 180.000 à 200.000 albums vendus chaque année, entre 80.000 et 100.000 DVD.
Claude François reste présent malgré le temps qui passe dans le cœur de ses fans. Il passe encore une centaine de fois par an à la télévision, a fait la Une de 190 magazines depuis 1978 et a été l’objet de 73 livres.
En véritable phénomène de société, Claude François, après avoir conquis le public des années 60 et 70, a séduit les jeunes des années 90 et 2000, grâce notamment à des remixes de ses plus grands succès diffusés dans les discothèques.
Bien que ses enfants s’attendent à ce que le succès s’arrête prochainement, Claude François devrait encore rester de longues années dans la mémoire de ses fans.