La découverte de Pluton presque par hasard après l'observation de photos dans son secteur.
C'est Clyde Tombaugh qui découvre cette planète en 1930 alors qu'il n'est qu'assistant à l'observatoire de Lowell en Arizona. Son satellite « Charon » est lui découvert par Walter Christy et Robert Harrington en 1978. Ces deux corps célestes sont uniques dans leur genre dans notre système solaire pour leur rotation et leur révolution qui sont simultanées. Pluton a un diamètre approximatif de 2306 km et une température de -238° en moyenne, elle possède trois satellites, Charon, Nix et Hydra. Son nom vient du dieu Hadès, celui des enfers, certainement en rapport de son éloignement du soleil qui la plonge dans l'obscurité.
Cette planète a longtemps été considérée comme la dernière planète du système solaire, elle a été déclassée en 2006 par l'Union Astronomique Internationale vu son diamètre qui est inférieur à sept satellites du système solaire, le nôtre pour commencer, la Lune, puis Io et Europe , Ganymède , Callisto, les quatre satellites de Jupiter, Triton, le plus gros satellite de Neptune et enfin Titan qui est le plus gros satellite de Saturne. Sa révolution autour du soleil s'effectue en 248 ans et sa rotation s'effectue dans le sens inverse de la plupart des planètes.
Cette planète a longtemps été considérée comme la dernière planète du système solaire, elle a été déclassée en 2006 par l'Union Astronomique Internationale vu son diamètre qui est inférieur à sept satellites du système solaire, le nôtre pour commencer, la Lune, puis Io et Europe , Ganymède , Callisto, les quatre satellites de Jupiter, Triton, le plus gros satellite de Neptune et enfin Titan qui est le plus gros satellite de Saturne. Sa révolution autour du soleil s'effectue en 248 ans et sa rotation s'effectue dans le sens inverse de la plupart des planètes.
Une planète presque insondable qui n'a pas encore dévoilé tous ses mystères.
Aucune sonde spatiale n'a pour l'instant visité Pluton et sa surface reste encore un mystère pour les chercheurs car même le télescope Hubble est incapable de distinguer parfaitement tous les reliefs de sa surface. Pluton Express qui devrait atteindre Pluton en 2012 a trois objectifs majeurs, définir la géologie de Pluton et de son satellite Charon, faire la cartographie de la planète naine et analyser la composition de son atmosphère. Voyager 1 et 2 avaient, à leur époque, explorer ses satellites grâce à un alignement opportun des planètes gazeuses, mais Pluton n'avait la position idéale à ce moment là et son étude n'a pu être réalisée.
La sonde de « Pluto Kuiper express » s'approchera à 15 000 km pour finaliser la cartographie de Pluton et l'étude de son atmosphère déterminera les quantités d'azote, de monoxyde de carbone et de méthane qui la constituent. Peut-être qu'il pourra alors être statué si Pluton est effectivement une planète ou comme certains le pensent un astéroïde ou encore le plus gros objet céleste de la Ceinture de Kuiper, zone du système solaire en forme d'anneau se situant après Neptune mais qui est bien plus large et plus massif que la ceinture d'astéroïdes.
La sonde de « Pluto Kuiper express » s'approchera à 15 000 km pour finaliser la cartographie de Pluton et l'étude de son atmosphère déterminera les quantités d'azote, de monoxyde de carbone et de méthane qui la constituent. Peut-être qu'il pourra alors être statué si Pluton est effectivement une planète ou comme certains le pensent un astéroïde ou encore le plus gros objet céleste de la Ceinture de Kuiper, zone du système solaire en forme d'anneau se situant après Neptune mais qui est bien plus large et plus massif que la ceinture d'astéroïdes.
Des hypothèses en attendant les confimations de la sonde Pluton Kuiper Express.
Bien que la composition de cette planète naine reste pour le moment inconnue, sa densité parle pourtant à sa place et grâce à l'observation de ses satellites par Voyager 1 et surtout Voyager 2,il est possible d'émettre des hypothèses qui devraient se confirmer lors de l'observation prochaine de cette planète. On la pense composée de 70% de roches et d'eau glacée. Les surfaces observables révèleraient de l'azote liquide et du méthane solide ainsi que du monoxyde de carbone. Une autre hypothèse à vérifier sur Charon, elle pourrait être le résultat, tout comme notre lune, d'une collision entre un corps céleste et Pluton. Liée à la recherche de la planète « X » qui pertube les orbites d'Uranus et de Neptune, la découverte de Pluton en 1930 apparaît d'abord comme un fait du hasard, mais suite aux mesures ultérieurement faites sur son satellite Charon, et les masses de Neptune et Uranus, il pourrait s'avérer que Pluton était en fait bien la planète « X » rechechée à l'époque par Percival Lowell.
Un changement d'aspect observé par les scientifiques au cours des dernières décennies.
Les astronomes ont remarqué depuis plusieurs décennies que Pluton a changé d'aspect. La planète naine a pris un aspect plus rouge et après des observations faites avec le télescope Hubble, on remarque une modification de sa calotte glaciaire. Les scientifiques jugent ce changement considérable en appréciant les images envoyées par le télescope. Au nord, des zones glaciaires plus brillantes apparaissent et au Sud, la glace est assombrie. Ces changements rapides sont pour les astronomes sans précédent et impliquent que les molécules d'hydrogène présentes sur Pluton sont balayées par les vents solaires faisant se libérer le carbone à la surface de cette planète, produisant ainsi des bancs de couleur rouge par endroit et noirâtre à d'autres. La longueur de la rotation de la planète autour du soleil (248 ans) comme sus-mentionnée n'est pas un atout pour aider à comprendre en totalité le changement de cette naine si éloignée du soleil, alors que son satellite le plus important et le plus proche , Charon, ne change, lui, pas d'aspect du tout.
Le programme spatial américain prévoit déjà la colonisation de Pluton.
C'est en 2003 que le programme de la NASA a placé la colonisation de Pluton dans un agenda bien géré sur plusieurs centaines d'années. Son éventuelle colonisation pourrait se faire dans environ 200 ans. Pour l'instant, les moyens de propulsions n'étant pas encore au point mais en étude constante, une mission humaine vers Pluton demanderait un voyage de neuf ans sans compter le voyage retour; mais dans un proche avenir, grâce à la propulsion déjà à l'étude, on pourrait re-considérer les trajets avec un aller-retour qui prendrait tout au plus quatre ans.
D'autres scientifiques pensent qu'avec les recherches en cours sur la propulsion nucléaire, dans le futur, le voyage pourrait se réduire à un mois, améliorant ainsi largement les gênes occasionnées aux astronautes lors de longues périodes en apesanteur au cours des voyages dans l'espace. Mais pour le présent aucune réelle discussion scientifique n'est avancée sur la colonisation de Pluton et il faudra à ceux qui ont constamment la tête dans les étoiles passer par les effets spéciaux des films de Star Trek pour rejoindre les grands colonisateurs de l'Espace .
D'autres scientifiques pensent qu'avec les recherches en cours sur la propulsion nucléaire, dans le futur, le voyage pourrait se réduire à un mois, améliorant ainsi largement les gênes occasionnées aux astronautes lors de longues périodes en apesanteur au cours des voyages dans l'espace. Mais pour le présent aucune réelle discussion scientifique n'est avancée sur la colonisation de Pluton et il faudra à ceux qui ont constamment la tête dans les étoiles passer par les effets spéciaux des films de Star Trek pour rejoindre les grands colonisateurs de l'Espace .
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