Il fut un temps où les attentes envers l’Équipe de France n’étaient pas aussi grandes qu’aujourd’hui. Les années 90 ont ainsi été particulièrement tristounettes avec aucune participation en Coupe du monde, un Euro 92 décevant et un Euro 96 satisfaisant mais sans génie non plus. Ces années de vache maigre vont prendre fin le 12 juillet 1998 alors que l’équipe de France est sacrée championne du monde, à domicile, en prenant le dessus sur le Brésil 3-0 en finale. Retour sur cette épopée qui a transformé Zinedine Zidane et consorts en héros nationaux.
Qui aurait pu prédire que l’été 1998 allait voir l’équipe de France atteindre le sommet du football mondial ? Et qu’elle allait conquérir le cœur de tous les Français, qui peinaient parfois à s’identifier à cette équipe ? Car du jeune provençal qui passait son bac ES (votre humble serviteur) à l’ingénieur breton en passant par le surfeur de Biarritz ou le chômeur francilien, tout le France va se prendre à rêver. Entre le 10 juin et le 12 juillet, les Zidane, Deschamps, Lizarazzu, Djorkaeff, Petit vont rythmer la vie de l’Hexagone. Que ce soit par les publicités mais aussi par une succession de symboles: Laurent Blanc qui embrasse le crâne chauve de Fabien Barthez avant chaque match, la chanson I will survive devenu hymne des Bleus ou encore le fameux carnet noir dans lequel le sélectionneur Aimé Jacquet inscrivait ses notes.
Bien sûr, la route a été longue et sinueuse, ce qui rend finalement la victoire encore plus douce. Elle a débuté au Stade Vélodrome avec un coup de tête victorieux de Christophe Dugarry le mal-aimé. Elle s’est poursuivie avec l’exclusion stupide de Zidane pour s’être essuyé les crampons sur un joueur saoudien. Puis vint le match sans réel enjeu face au Danemark et s’en était fait d’un premier tour que les Bleus finiront avec neuf points. Le huitième de finale sera une lutte sans merci face au Paraguay. Après 90 minutes sans but, Laurent Blanc inscrit le but le plus important de sa carrière. Inoubliable dans sa conception: Robert Pires centre pour David Trezeguet qui remet de la tête vers Blanc. Le Président crucifie Jose Luis Chilavert et propulse les Bleus en quarts.
Là aussi, la lutte sera serrée. Et se conclura aux tirs au but face à une Italie en manque d’inspiration. Au jeu de roulette russe, la France sortira gagnante 4-3 avec la transversale qui vient sauver Barthez sur une tentative de Luigi Di Biagio. En demi-finale, les affaires sont mal engagées pour les Bleus qui sont menés 1-0 face à la Croatie après 46 minutes de jeu. Lilian Thuram va sortir une performance d’anthologie en inscrivant deux buts sur des tirs lointains. La France est, avec beaucoup de chance avouons-le, en finale de SA Coupe du monde. Et quoi de mieux que le Brésil pour conclure ce parcours de rêve ?
Oui, le Brésil du grand Ronaldo, le meilleur joueur du monde avec l’Inter. Sauf qu’avant la finale, le numéro 9 est hospitalisé en raison d’étranges malaises. Il ne pèsera d’aucune façon dans cette finale. Ce n’est pas le cas de Zinedine Zidane qui donne rapidement deux buts d’avance à la France grâce à deux coups de tête. Pour conclure le feu d’artifice à deux jours de la fête nationale, Emmanuel Petit crucifie Taffarel en inscrivant le troisième but de la finale. Rapidement, des millions de Français descendent dans la rue pour fêter ce titre. Les Champs-Élysées, notamment, ou toutes les couches de la société dansent, chantent, scandent des «Zizou président» et s’amusent comme si plus rien d’autre ne comptait. La fête se prolongera pendant plusieurs mois. Durant chaque match des Bleus, la foule se plaît à crier «Et un, et deux, et trois zéro». Comme si elle ne voulait pas oublier cet été magique de 1998. Et dire que la fête a repris de plus belle en 2000 avec une incroyable victoire à l’Euro grâce à un but en or de David Trezeguet.
Qui aurait pu prédire que l’été 1998 allait voir l’équipe de France atteindre le sommet du football mondial ? Et qu’elle allait conquérir le cœur de tous les Français, qui peinaient parfois à s’identifier à cette équipe ? Car du jeune provençal qui passait son bac ES (votre humble serviteur) à l’ingénieur breton en passant par le surfeur de Biarritz ou le chômeur francilien, tout le France va se prendre à rêver. Entre le 10 juin et le 12 juillet, les Zidane, Deschamps, Lizarazzu, Djorkaeff, Petit vont rythmer la vie de l’Hexagone. Que ce soit par les publicités mais aussi par une succession de symboles: Laurent Blanc qui embrasse le crâne chauve de Fabien Barthez avant chaque match, la chanson I will survive devenu hymne des Bleus ou encore le fameux carnet noir dans lequel le sélectionneur Aimé Jacquet inscrivait ses notes.
Bien sûr, la route a été longue et sinueuse, ce qui rend finalement la victoire encore plus douce. Elle a débuté au Stade Vélodrome avec un coup de tête victorieux de Christophe Dugarry le mal-aimé. Elle s’est poursuivie avec l’exclusion stupide de Zidane pour s’être essuyé les crampons sur un joueur saoudien. Puis vint le match sans réel enjeu face au Danemark et s’en était fait d’un premier tour que les Bleus finiront avec neuf points. Le huitième de finale sera une lutte sans merci face au Paraguay. Après 90 minutes sans but, Laurent Blanc inscrit le but le plus important de sa carrière. Inoubliable dans sa conception: Robert Pires centre pour David Trezeguet qui remet de la tête vers Blanc. Le Président crucifie Jose Luis Chilavert et propulse les Bleus en quarts.
Là aussi, la lutte sera serrée. Et se conclura aux tirs au but face à une Italie en manque d’inspiration. Au jeu de roulette russe, la France sortira gagnante 4-3 avec la transversale qui vient sauver Barthez sur une tentative de Luigi Di Biagio. En demi-finale, les affaires sont mal engagées pour les Bleus qui sont menés 1-0 face à la Croatie après 46 minutes de jeu. Lilian Thuram va sortir une performance d’anthologie en inscrivant deux buts sur des tirs lointains. La France est, avec beaucoup de chance avouons-le, en finale de SA Coupe du monde. Et quoi de mieux que le Brésil pour conclure ce parcours de rêve ?
Oui, le Brésil du grand Ronaldo, le meilleur joueur du monde avec l’Inter. Sauf qu’avant la finale, le numéro 9 est hospitalisé en raison d’étranges malaises. Il ne pèsera d’aucune façon dans cette finale. Ce n’est pas le cas de Zinedine Zidane qui donne rapidement deux buts d’avance à la France grâce à deux coups de tête. Pour conclure le feu d’artifice à deux jours de la fête nationale, Emmanuel Petit crucifie Taffarel en inscrivant le troisième but de la finale. Rapidement, des millions de Français descendent dans la rue pour fêter ce titre. Les Champs-Élysées, notamment, ou toutes les couches de la société dansent, chantent, scandent des «Zizou président» et s’amusent comme si plus rien d’autre ne comptait. La fête se prolongera pendant plusieurs mois. Durant chaque match des Bleus, la foule se plaît à crier «Et un, et deux, et trois zéro». Comme si elle ne voulait pas oublier cet été magique de 1998. Et dire que la fête a repris de plus belle en 2000 avec une incroyable victoire à l’Euro grâce à un but en or de David Trezeguet.
Ils vous ont fait rêver. Vous les avez adulé, crié leurs noms, affiché leur posters, mangé leurs hamburgers, mais vous les avez perdu de vue, 10 ans après voici ce que sont devenus, les joueurs de l’équipe de France 98 :
Aimé Jacquet
A tout seigneur tout honneur, le fameux entrtaineur qui a mené les bleux au sacre suprème est aujourd'hui directeur technique national au sein de la fédération française de football et consultant vedette pour canal+.
Thierry Henry
Il joue toujours à Barcelone . En équipe de France, il a passé le cap des 100 sélections et il a récemment battu le record du nombre de buts marqués sous le maillot bleu détenu par Michel Platini (45 contre 41)
Robert Pires
En froid avec Domenech, qui ne l'a plus rappelé depuis près de quatre ans, Pires joue toujours à Villarreal en Espagne, terminant deuxième de la Liga 2008 derrière le Real Madrid, et s'aprête à retrouver la Ligue des champions.
Lilian Thuram
Le plus capé de l'histoire a quitté les Bleus sur une fausse note, coincé sur le banc lors de l'élimination contre l'Italie à l'Euro-2008, et pourrait bien être contraint d'arrêter sa carrière en raison de soucis cardiaques, malgré l'intérêt du Paris SG. Mais il a porté très loin le record de sélections en équipe de France.
David Trezeguet
"Trezegol" reste le deuxième meilleur buteur en activité des Bleus, mais n'a plus été appelé depuis un match contre l'Angleterre, en mars, où il n'a guère eu de ballons, comme lors de ces précédentes sélections. Il a annoncé mercredi qu'il renonçait à sa carrière internationale, en raison du maintien de Domenech à la tête de l’équipe de France.
Patrick Vieira
Le capitaine des Bleus reste sur deux saisons gâchées par les blessures. Il a demandé un temps de réflexion après son éprouvant Euro-2008, où il n’a pas joué une seule minute mais devrait être une des bases de la reconquête.
Laurent Blanc «
Le président » a réussi ses débuts d'entraîneur, terminant deuxième de L1 avec Bordeaux après avoir titillé le champion Lyon jusqu'au bout.
Alain Boghossian
Un des boute-en-train du groupe France a dû arrêter sa carrière sur une énième blessure. Il a passé ses diplômes d'entraîneur mais s'est plutôt reconverti dans... le golf. Il dispute quelques tournois professionnels et a même été nommé capitaine de l'équipe de France des moins de 18 ans.
Vincent Candela
Candela a fini sa carrière à Messine (Italie) . L'arrière gauche qui a introduit l'hymne des Bleus ( "I will survive") est désormais agent de joueurs.
Lionel Charbonnier
Celui qui assurait la liaison entre Barthez et Lama au Mondial-1998 se consacre désormais à ses chevaux et à sa carrière d'entraîneur. Après Poitiers et le FC Sens, en CFA2, il est devenu en 2007 directeur technique de l'équipe de Tahiti.
Marcel Desailly
Après une dernière pige au Qatar Club, Marcel Desailly est revenu en France où il est consultant vedette (Canal +, Europe 1...). Il se verrait bien manager de l'équipe de France
Didier Deschamps
L'homme qui a soulevé en tant que capitaine les deux trophées majeurs du football international est devenu un entraîneur respecté (Monaco, Juventus) et le principal candidat à la succession de Domenech. En attendant il est consultant radio à RMC info
Fabien Barthez
Le gardien le plus titré du football français a terminé sa riche carrière de manière peu glorieuse à Nantes, sur une relégation en L2 juin 2007. Il occupe sa retraite près de Toulouse par la course automobile.
Bernard Diomède
Après un passage raté à Liverpool, il a joué dans de modestes formations françaises (Ajaccio, Créteil, Clermont) avant d'arrêter sa carrière faute de proposition. Il a depuis ouvert une école de football, la DioPro.
Aimé Jacquet
A tout seigneur tout honneur, le fameux entrtaineur qui a mené les bleux au sacre suprème est aujourd'hui directeur technique national au sein de la fédération française de football et consultant vedette pour canal+.
Thierry Henry
Il joue toujours à Barcelone . En équipe de France, il a passé le cap des 100 sélections et il a récemment battu le record du nombre de buts marqués sous le maillot bleu détenu par Michel Platini (45 contre 41)
Robert Pires
En froid avec Domenech, qui ne l'a plus rappelé depuis près de quatre ans, Pires joue toujours à Villarreal en Espagne, terminant deuxième de la Liga 2008 derrière le Real Madrid, et s'aprête à retrouver la Ligue des champions.
Lilian Thuram
Le plus capé de l'histoire a quitté les Bleus sur une fausse note, coincé sur le banc lors de l'élimination contre l'Italie à l'Euro-2008, et pourrait bien être contraint d'arrêter sa carrière en raison de soucis cardiaques, malgré l'intérêt du Paris SG. Mais il a porté très loin le record de sélections en équipe de France.
David Trezeguet
"Trezegol" reste le deuxième meilleur buteur en activité des Bleus, mais n'a plus été appelé depuis un match contre l'Angleterre, en mars, où il n'a guère eu de ballons, comme lors de ces précédentes sélections. Il a annoncé mercredi qu'il renonçait à sa carrière internationale, en raison du maintien de Domenech à la tête de l’équipe de France.
Patrick Vieira
Le capitaine des Bleus reste sur deux saisons gâchées par les blessures. Il a demandé un temps de réflexion après son éprouvant Euro-2008, où il n’a pas joué une seule minute mais devrait être une des bases de la reconquête.
Laurent Blanc «
Le président » a réussi ses débuts d'entraîneur, terminant deuxième de L1 avec Bordeaux après avoir titillé le champion Lyon jusqu'au bout.
Alain Boghossian
Un des boute-en-train du groupe France a dû arrêter sa carrière sur une énième blessure. Il a passé ses diplômes d'entraîneur mais s'est plutôt reconverti dans... le golf. Il dispute quelques tournois professionnels et a même été nommé capitaine de l'équipe de France des moins de 18 ans.
Vincent Candela
Candela a fini sa carrière à Messine (Italie) . L'arrière gauche qui a introduit l'hymne des Bleus ( "I will survive") est désormais agent de joueurs.
Lionel Charbonnier
Celui qui assurait la liaison entre Barthez et Lama au Mondial-1998 se consacre désormais à ses chevaux et à sa carrière d'entraîneur. Après Poitiers et le FC Sens, en CFA2, il est devenu en 2007 directeur technique de l'équipe de Tahiti.
Marcel Desailly
Après une dernière pige au Qatar Club, Marcel Desailly est revenu en France où il est consultant vedette (Canal +, Europe 1...). Il se verrait bien manager de l'équipe de France
Didier Deschamps
L'homme qui a soulevé en tant que capitaine les deux trophées majeurs du football international est devenu un entraîneur respecté (Monaco, Juventus) et le principal candidat à la succession de Domenech. En attendant il est consultant radio à RMC info
Fabien Barthez
Le gardien le plus titré du football français a terminé sa riche carrière de manière peu glorieuse à Nantes, sur une relégation en L2 juin 2007. Il occupe sa retraite près de Toulouse par la course automobile.
Bernard Diomède
Après un passage raté à Liverpool, il a joué dans de modestes formations françaises (Ajaccio, Créteil, Clermont) avant d'arrêter sa carrière faute de proposition. Il a depuis ouvert une école de football, la DioPro.
Youri Djorkaeff
Le "Snake" a terminé sa carrière à New York, en septembre 2006, et a pris en avril 2007 la présidence de l'UGA Décines, club de la communauté arménienne de la banlieue de Lyon.
Christophe Dugarry
Après lui aussi un dernier tour de piste au Qatar Club, l’ami de Zidane est devenu un des consultants les plus appréciés de Canal
Stéphane Guivarc’h
Le buteur malheureux des bleux (0 but pendant la coupe du monde 98) vend aujourd'hui des piscines en Bretagne. Il a également commencé une carrière d'entraîneur à l'US Trégunc, en Promotion d'honneur.
Christian Karembeu
Le kanak a terminé sa carrière professionnelle à Bastia, en 2005,Il s'est un temps lancé dans le textile (il était l'équipementier du Servette Genève quand il y jouait) ou dans le rôle de consultant télévisé. Après son jubilé à Nouméa début juin, il aimerait bien revenir dans le circuit comme entraîneur.
Bernard Lama
Après avoir arrêté sa carrière en 2002, Lama partage son temps entre Paris, la Guyane et le Sénégal, où il a ouvert, avec Jimmy Adjovi-Boco et Patrick Vieira un centre de formation et d'éducation,
Frank Leboeuf
Leboeuf habite désormais à Los Angeles où il a finit sa carrière de joueur. Il et s'est aussi commentateur télé pour M6 avec Thierry Rolland, au Mondial-2006 et à l'Euro-2008.
Bixente Lizarazu
Depuis la fin de sa carrière au Bayern Munich en 2006, il est consultant pour canal + et RTL. Il est un adversaire de Domenech à la tête de l’équipe de France.
Emmanuel Petit
Après une fin de carrière gâchée par les blessures, le dernier buteur de la finale 1998 a récemment publié une autobiographie non-conformiste où il marque ses distances avec France-98 et Zidane.
Zinédine Zidane
Parti sur un coup de tête, Zizou peut désormais mesurer sa popularité, toujours intacte, lors de déplacements à l'étranger où il mêle oeuvre humanitaire et contrats publicitaires. Il occupe aussi un poste de consultant de prestige pour Canal +, Il vit toujours à Madrid.
Le "Snake" a terminé sa carrière à New York, en septembre 2006, et a pris en avril 2007 la présidence de l'UGA Décines, club de la communauté arménienne de la banlieue de Lyon.
Christophe Dugarry
Après lui aussi un dernier tour de piste au Qatar Club, l’ami de Zidane est devenu un des consultants les plus appréciés de Canal
Stéphane Guivarc’h
Le buteur malheureux des bleux (0 but pendant la coupe du monde 98) vend aujourd'hui des piscines en Bretagne. Il a également commencé une carrière d'entraîneur à l'US Trégunc, en Promotion d'honneur.
Christian Karembeu
Le kanak a terminé sa carrière professionnelle à Bastia, en 2005,Il s'est un temps lancé dans le textile (il était l'équipementier du Servette Genève quand il y jouait) ou dans le rôle de consultant télévisé. Après son jubilé à Nouméa début juin, il aimerait bien revenir dans le circuit comme entraîneur.
Bernard Lama
Après avoir arrêté sa carrière en 2002, Lama partage son temps entre Paris, la Guyane et le Sénégal, où il a ouvert, avec Jimmy Adjovi-Boco et Patrick Vieira un centre de formation et d'éducation,
Frank Leboeuf
Leboeuf habite désormais à Los Angeles où il a finit sa carrière de joueur. Il et s'est aussi commentateur télé pour M6 avec Thierry Rolland, au Mondial-2006 et à l'Euro-2008.
Bixente Lizarazu
Depuis la fin de sa carrière au Bayern Munich en 2006, il est consultant pour canal + et RTL. Il est un adversaire de Domenech à la tête de l’équipe de France.
Emmanuel Petit
Après une fin de carrière gâchée par les blessures, le dernier buteur de la finale 1998 a récemment publié une autobiographie non-conformiste où il marque ses distances avec France-98 et Zidane.
Zinédine Zidane
Parti sur un coup de tête, Zizou peut désormais mesurer sa popularité, toujours intacte, lors de déplacements à l'étranger où il mêle oeuvre humanitaire et contrats publicitaires. Il occupe aussi un poste de consultant de prestige pour Canal +, Il vit toujours à Madrid.
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