Jusqu’au milieu des années 90, on ne connaissait essentiellement que le quotient intellectuel, le fameux QI, qui permet de savoir si un individu est intelligent ou non. Suite à différents tests de logique, vous est attribué un chiffre : 80, 110, 120. Plus il est élevé et plus vous êtes intelligent. Les surdoués, par exemple, ont un QI généralement supérieur à 130.
Mais, le QI, donc votre intelligence, augure-t-il de votre capacité à exercer telle ou telle profession, à vous adapter dans n’importe quelle entreprise, à bien vivre en société, à réussir votre vie ? Si je vous pose la question, c’est, évidemment, que la réponse est négative. Vous pouvez parfaitement avoir un QI supérieur à 110 sans pour autant être capable de vous adapter à la vie en entreprise ou en société.
Mais, le QI, donc votre intelligence, augure-t-il de votre capacité à exercer telle ou telle profession, à vous adapter dans n’importe quelle entreprise, à bien vivre en société, à réussir votre vie ? Si je vous pose la question, c’est, évidemment, que la réponse est négative. Vous pouvez parfaitement avoir un QI supérieur à 110 sans pour autant être capable de vous adapter à la vie en entreprise ou en société.
Les inventeurs du QE
Il semblerait, d’ailleurs, que le QI n’entre que pour 20 % dans votre réussite professionnelle.
Pourquoi un si faible pourcentage ? Tout simplement parce que dans la vie, il n’y a pas que les capacités intellectuelles qui comptent. Entrent en jeu, vos capacités d’adaptation, votre façon de réagir face à telle ou telle situation, votre socialisation, votre rapport avec les autres, bref, vos émotions.
C’est pour cette raison qu’est apparu et s’est développé depuis le milieu des années 90 le concept de quotient émotionnel (QE) ou intelligence émotionnelle.
Bien qu’ayant été mis en lumière en 1900 par deux universitaires américains, spécialistes en psychologie (John Mayer et Peter Salovey), il n’est devenu réellement à la mode qu’en 1995, suite à la publication de l’ouvrage : « L’intelligence émotionnelle. Accepter ses émotions pour développer une intelligence nouvelle », écrit par un psychologue américain Daniel Goleman.
Pourquoi un si faible pourcentage ? Tout simplement parce que dans la vie, il n’y a pas que les capacités intellectuelles qui comptent. Entrent en jeu, vos capacités d’adaptation, votre façon de réagir face à telle ou telle situation, votre socialisation, votre rapport avec les autres, bref, vos émotions.
C’est pour cette raison qu’est apparu et s’est développé depuis le milieu des années 90 le concept de quotient émotionnel (QE) ou intelligence émotionnelle.
Bien qu’ayant été mis en lumière en 1900 par deux universitaires américains, spécialistes en psychologie (John Mayer et Peter Salovey), il n’est devenu réellement à la mode qu’en 1995, suite à la publication de l’ouvrage : « L’intelligence émotionnelle. Accepter ses émotions pour développer une intelligence nouvelle », écrit par un psychologue américain Daniel Goleman.
En quoi consiste le QE ?
C’est l’aptitude à discerner ses émotions et celles des autres. En effectuant une série de tests, dont les recruteurs sont très friands de nos jours, doivent se dévoiler votre façon de réagir face à telle situation, votre comportement vis-à-vis de vos collègues ou de votre patron, votre degré de motivation ou d’adaptation, votre façon de communiquer avec les autres… Les entreprises se sont précipitées sur le QE. Cela constitue pour elles un moyen de sélectionner leurs employés.
Ainsi, à la fin du test, se dessine un tableau précis de vos émotions, de votre caractère, de votre comportement.
Mais, contrairement au QI, plutôt rigide et qui n’évolue pas au fil des années, le QE n’est pas un simple constat à un moment donné de votre vie. Il peut évoluer à condition que vous l’entreteniez, que vous le contrôliez régulièrement. Ainsi, par exemple, si votre QE révèle chez vous un manque de motivation, cela constituera une sorte de sonnette d’alarme vous invitant à changer, à chercher les moyens de vous motiver. S’il révèle des difficultés à communiquer avec les autres, vous devez apprendre à aller davantage vers eux.
Vous apprendrez ainsi à vivre mieux, avec vous et avec les autres. Vous saurez gérer et maîtriser vos émotions et vous pourrez avancer, en toute sérénité dans la vie. Vous pourrez progresser sur la voie de la réussite, sans que vos émotions, vos défauts ne prennent le dessus.
Ainsi, à la fin du test, se dessine un tableau précis de vos émotions, de votre caractère, de votre comportement.
Mais, contrairement au QI, plutôt rigide et qui n’évolue pas au fil des années, le QE n’est pas un simple constat à un moment donné de votre vie. Il peut évoluer à condition que vous l’entreteniez, que vous le contrôliez régulièrement. Ainsi, par exemple, si votre QE révèle chez vous un manque de motivation, cela constituera une sorte de sonnette d’alarme vous invitant à changer, à chercher les moyens de vous motiver. S’il révèle des difficultés à communiquer avec les autres, vous devez apprendre à aller davantage vers eux.
Vous apprendrez ainsi à vivre mieux, avec vous et avec les autres. Vous saurez gérer et maîtriser vos émotions et vous pourrez avancer, en toute sérénité dans la vie. Vous pourrez progresser sur la voie de la réussite, sans que vos émotions, vos défauts ne prennent le dessus.
Première publication sur notre ancien site le Dimanche 8 février 2009, modifié ce jour.