Petit test :
Quand quelqu’un vous fait une queue de poisson sur la route, comment réagissez-vous ?
1 Vous vous mettez immédiatement en colère prêt à lui rendre la pareille
2 Vous râlez sur le coup mais vous finissez par vous dire que vous avez affaire à un malotru
3 Vous restez zen en vous disant que ce bonhomme ne doit pas être bien dans sa tête pour faire des choses pareilles
Quand un de vos enfants renverse son verre d’eau
1 Vous rentrez dans une rage folle en disant qu’il le fait exprès
2 Vous le disputez mais très vite vous épongez l’eau
3 Vous lui dites tout simplement que cela arrive à tout le monde et que ce n’est pas grave
Quand quelqu’un vous fait une queue de poisson sur la route, comment réagissez-vous ?
1 Vous vous mettez immédiatement en colère prêt à lui rendre la pareille
2 Vous râlez sur le coup mais vous finissez par vous dire que vous avez affaire à un malotru
3 Vous restez zen en vous disant que ce bonhomme ne doit pas être bien dans sa tête pour faire des choses pareilles
Quand un de vos enfants renverse son verre d’eau
1 Vous rentrez dans une rage folle en disant qu’il le fait exprès
2 Vous le disputez mais très vite vous épongez l’eau
3 Vous lui dites tout simplement que cela arrive à tout le monde et que ce n’est pas grave
Vous vous mettez facilement en colère ?
Arrêtons-là ce petit test très court mais suffisant pour savoir si vous vous mettez facilement en colère.
Si vous avez répondu 1 aux deux questions, il est indéniable que vous réagissez au quart de tour. Le moindre petit évènement, même le plus anodin, vous plonge dans une colère noire. Il est évident qu’un tel comportement est excessif et peut vous amener à dire ou à faire des choses que vous regretterez par la suite. Dans ces moments-là, vous ne semblez plus maître de vous-même. Vous sortez des énormités. Vous pouvez même devenir violent. Vous sortez littéralement de vos gongs. Vous donnez l’impression de ne plus être la même personne.
Mais c’est plus fort que vous et bien souvent, vous dites pour vous justifier que ce n’est pas votre faute, que vous êtes comme ça, que vous ne pouvez pas vous empêcher de réagir de cette façon.
Si vous avez répondu 1 aux deux questions, il est indéniable que vous réagissez au quart de tour. Le moindre petit évènement, même le plus anodin, vous plonge dans une colère noire. Il est évident qu’un tel comportement est excessif et peut vous amener à dire ou à faire des choses que vous regretterez par la suite. Dans ces moments-là, vous ne semblez plus maître de vous-même. Vous sortez des énormités. Vous pouvez même devenir violent. Vous sortez littéralement de vos gongs. Vous donnez l’impression de ne plus être la même personne.
Mais c’est plus fort que vous et bien souvent, vous dites pour vous justifier que ce n’est pas votre faute, que vous êtes comme ça, que vous ne pouvez pas vous empêcher de réagir de cette façon.
La colère systématique, cela se soigne
Eh bien, vous avez tort. Se mettre ainsi en colère pour un oui ou pour un non peut être dangereux pour les autres mais également pour vous. Vous finirez par vous couper des autres car ils ne voudront plus vous côtoyer. N’oubliez pas non plus qu’un tempérament colérique est mauvais pour la santé.
Vous ne devez pas penser que c’est comme ça, que vous ne pourrez jamais changer. Détrompez-vous.
Ne renoncez pas ! Maîtriser sa colère, cela s’apprend. Et, tout le monde peut y parvenir s’il s’en donne vraiment la peine.
La recette est assez simple. D’abord, vous devez analyser les circonstances dans lesquelles vous vous mettez en colère. Généralement, il y a toujours un élément déclencheur, pratiquement le même à chaque fois. Peut-être le fait de faire tomber quelque chose, une parole, un mot particulier, la sensation que l’on ne vous écoute pas, que l’on ne veut pas faire ce que vous voulez, une frustration, l’impression de ne pas avoir une totale maîtrise sur les événements…
En repérant vos déclencheurs, vous saurez dans l’avenir que dès que ces derniers se manifestent, vous vous mettrez automatiquement en colère. Donc, à vous d’anticiper votre colère. Dès les premiers signes annonciateurs de cette dernière, vous devez réagir.
Vous ne devez pas penser que c’est comme ça, que vous ne pourrez jamais changer. Détrompez-vous.
Ne renoncez pas ! Maîtriser sa colère, cela s’apprend. Et, tout le monde peut y parvenir s’il s’en donne vraiment la peine.
La recette est assez simple. D’abord, vous devez analyser les circonstances dans lesquelles vous vous mettez en colère. Généralement, il y a toujours un élément déclencheur, pratiquement le même à chaque fois. Peut-être le fait de faire tomber quelque chose, une parole, un mot particulier, la sensation que l’on ne vous écoute pas, que l’on ne veut pas faire ce que vous voulez, une frustration, l’impression de ne pas avoir une totale maîtrise sur les événements…
En repérant vos déclencheurs, vous saurez dans l’avenir que dès que ces derniers se manifestent, vous vous mettrez automatiquement en colère. Donc, à vous d’anticiper votre colère. Dès les premiers signes annonciateurs de cette dernière, vous devez réagir.
De quelle façon, me direz-vous ?
En prenant sur vous, en vous contrôlant. Vous devez vous concentrer au maximum, réfléchir à tous vos faits et gestes. Surtout, vous devez apprendre à garder votre calme dans ce type de situations. Il s’agit, en fait, de vous maîtriser, de prendre le dessus sur votre colère, avant même qu’elle ne se déclenche.
Si vous éprouvez des difficultés pour y parvenir, vous pouvez vous tourner vers la respiration profonde, la relaxation, le Qi gong, la sophrologie, le yoga afin d’apprendre à garder votre calme en toutes circonstances. C’est à vous de vous prendre en main.
Bien entendu, ces conseils ne valent que si vous vous mettez en colère de manière intempestive, excessive, pour un oui ou pour un non. Dans ce cas, il s’agit davantage d’un trouble du comportement nuisible que vous devez absolument guérir car il ne peut que gâcher votre vie et celle de votre entourage.
Si vous éprouvez des difficultés pour y parvenir, vous pouvez vous tourner vers la respiration profonde, la relaxation, le Qi gong, la sophrologie, le yoga afin d’apprendre à garder votre calme en toutes circonstances. C’est à vous de vous prendre en main.
Bien entendu, ces conseils ne valent que si vous vous mettez en colère de manière intempestive, excessive, pour un oui ou pour un non. Dans ce cas, il s’agit davantage d’un trouble du comportement nuisible que vous devez absolument guérir car il ne peut que gâcher votre vie et celle de votre entourage.
Parfois, la colère exceptionnelle a du bon
A côté de cela, se mettre en colère de temps en temps et surtout pour des raisons bien précises n’est pas forcément une tare, un défaut rédhibitoire. Cela montre que vous êtes vivant, que vous n’êtes pas indifférent au monde, à ceux qui vous entourent. D’ailleurs de grandes causes nationales sont nées ou de grands problèmes ont été résolus parce que des personnes se sont mises en colère, se sont indignées et ont dit « j’en ai assez » ou « plus jamais ça ».
D’ailleurs, si vous connaissez des personnes qui ne se mettent pas en colère, demandez-vous s’il s’agit tout simplement de détachement, d’apathie ou si elles ne sont pas en dépression, plus touchées par rien.
De plus, se mettre en colère peut aider à relâcher la pression, peut soulager, après un moment de stress. Cela permet parfois de mettre les choses à plat une bonne fois pour toute et de repartir sur de bonnes bases. Mais il faut que cela demeure exceptionnel.
En fait, la colère peut être saine à condition qu’elle ne soit pas systématique, abusive et exagérée. Si c’est le cas, apprenez à vous maîtriser. Vous vivrez mieux, plus harmonieusement et votre entourage vous en saura gré.
D’ailleurs, si vous connaissez des personnes qui ne se mettent pas en colère, demandez-vous s’il s’agit tout simplement de détachement, d’apathie ou si elles ne sont pas en dépression, plus touchées par rien.
De plus, se mettre en colère peut aider à relâcher la pression, peut soulager, après un moment de stress. Cela permet parfois de mettre les choses à plat une bonne fois pour toute et de repartir sur de bonnes bases. Mais il faut que cela demeure exceptionnel.
En fait, la colère peut être saine à condition qu’elle ne soit pas systématique, abusive et exagérée. Si c’est le cas, apprenez à vous maîtriser. Vous vivrez mieux, plus harmonieusement et votre entourage vous en saura gré.