A ne pas mettre un chien devant l'urne
Une journée à ne pas mettre un chien dehors ! Des bureaux de vote déserts...
Vous avez dit : «Hamon ?»
L'aval ou l'amont ?
Même prévenu, même lorsqu’on sait d’avance que la participation sera très mauvaise, il est bien rude de vivre pareille déroute.
Le froid glacial du gymnase mal chauffé m’a fait évoquer une Bérésina pour la gauche, mais il faut raison garder : il n’y a pas mort d’homme et le petit Benoit n’a rien du Petit Caporal.
Je me flatte d’avoir fait partie des 15% qui ont toujours soutenu leur Président de gauche, toujours défendu le bilan de François Hollande, sans peur des démagogues qui l’ont trahi dès le lendemain de son élection.
Hollande a fait ce qu’il était possible de faire, rien de moins. On lui a fait payer ses innocentes maladresses et l’impossible promesse du retour au plein emploi.
Par loyauté, par cohérence, j’appellerai - sans illusion - à voter dimanche pour la gauche raisonnable, pour un ex-premier ministre qui n’a pas failli, qui a tenu bon dans la tourmente.
Mais nous savons tous que le PS se précipite droit dans le précipice où les jeunes apparatchiks nourrissent les vieux dragons de la gauche… gauchisante et irréaliste.
J'exècre la posture des héros doctrinaux ( celle qui ne fait jamais rien pour les gens, car pour agir, il faut d’abord être élu et ensuite se salir les mains )
Wait and see… Commençons par voter Valls… ensuite la question sera Macron or not Macron. Ceux qui veulent vraiment changer la vie ne suivront pas les illusionnistes qui promettent le revenu sans le travail. Dans le fleuve des idéaux, je préfère dévaler vers le futur que remonter… vers l’amont.
Le froid glacial du gymnase mal chauffé m’a fait évoquer une Bérésina pour la gauche, mais il faut raison garder : il n’y a pas mort d’homme et le petit Benoit n’a rien du Petit Caporal.
Je me flatte d’avoir fait partie des 15% qui ont toujours soutenu leur Président de gauche, toujours défendu le bilan de François Hollande, sans peur des démagogues qui l’ont trahi dès le lendemain de son élection.
Hollande a fait ce qu’il était possible de faire, rien de moins. On lui a fait payer ses innocentes maladresses et l’impossible promesse du retour au plein emploi.
Par loyauté, par cohérence, j’appellerai - sans illusion - à voter dimanche pour la gauche raisonnable, pour un ex-premier ministre qui n’a pas failli, qui a tenu bon dans la tourmente.
Mais nous savons tous que le PS se précipite droit dans le précipice où les jeunes apparatchiks nourrissent les vieux dragons de la gauche… gauchisante et irréaliste.
J'exècre la posture des héros doctrinaux ( celle qui ne fait jamais rien pour les gens, car pour agir, il faut d’abord être élu et ensuite se salir les mains )
Wait and see… Commençons par voter Valls… ensuite la question sera Macron or not Macron. Ceux qui veulent vraiment changer la vie ne suivront pas les illusionnistes qui promettent le revenu sans le travail. Dans le fleuve des idéaux, je préfère dévaler vers le futur que remonter… vers l’amont.
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