A plusieurs reprises durant les dix dernières années et à l’unanimité, les élus de l’agglomération Seine-Eure ont exprimé officiellement leur total soutien à la création d’un barreau autoroutier reliant l’A 28 et l’A13, en rappelant que les emprises foncières pour un ouvrage d’art au droit des communes de Léry Le Manoir ont été réservées par l’Etablissement Public de la Basse Seine lors de la création de Val de Reuil .
Outre l’incontestable intérêt national et régional d’une telle réalisation, la communauté Seine Eure y voit les enjeux suivants.
Outre l’incontestable intérêt national et régional d’une telle réalisation, la communauté Seine Eure y voit les enjeux suivants.
Pont de l'Arche : confort et sécurité des usagers
Le déblocage, par la création d’un nouveau point de franchissement de la Seine des bouchons accidentogènes se formant dans la forêt de Bord en amont de Pont de l’Arche, dans Igoville sur la rive nord et à la sortie de Criquebeuf sur Seine sur l’A 13 est un enjeu de sécurité majeur : des accidents se produisent lors de la formation de files de retenue, parfois jusque dans la côte du Val à Loup...
Un enjeu économique considérable
En débloquant la circulation entre le Nord et le Sud de l’agglomération, le pont sur la Seine sera un élément déterminant du désenclavement de la Vallée de l’Andelle
Durant la décennie, la Case a su créer 350 emplois nets par an sur le plateau de Madrie et à Val de Reuil...
La prochaine phase d’investissement pour le développement de l’activité économique locale est prévue au Nord de la Seine, sur la commune de Pitres.
De plus la CASE a mené des études pour la création d’un pole multi modal d’échanges fer-fleuve route en cours d’études entre Pitres et Alizay.
Enfin, la CASE est prête à s’engager pour la revitalisation du site papetier de MReal, aujourd’hui en vente.
Il va de soi que le franchissement de la Seine et la création d’un échangeur à Pitres-LeManoir sera un atout majeur pour la réussite des efforts de revitalisation de la vallée de l’Andelle.
Durant la décennie, la Case a su créer 350 emplois nets par an sur le plateau de Madrie et à Val de Reuil...
La prochaine phase d’investissement pour le développement de l’activité économique locale est prévue au Nord de la Seine, sur la commune de Pitres.
De plus la CASE a mené des études pour la création d’un pole multi modal d’échanges fer-fleuve route en cours d’études entre Pitres et Alizay.
Enfin, la CASE est prête à s’engager pour la revitalisation du site papetier de MReal, aujourd’hui en vente.
Il va de soi que le franchissement de la Seine et la création d’un échangeur à Pitres-LeManoir sera un atout majeur pour la réussite des efforts de revitalisation de la vallée de l’Andelle.
Au plan de la cohésion sociale, la CASE a créé directement ou indirectement des services publics ou para-publics. Or, ces services et ces emplois se situent au Sud de la Seine et les habitants des communes de la rive Nord et plus largement de la vallée de l’Andelle, communes en graves difficultés sociales en bénéficient peu.
Attention : péage mal placé !
Or, la question du péage peut remettre en cause ce désenclavement attendu, en bloquant la circulation locale et les échanges Nord Sud à l’intérieur de la CASE.
Les élus de la CASE ne remettent nullement en cause la nature concessive du projet et acceptent qu’un péage soit créé sur leur territoire ou à proximité.
Mais ils demandent instamment que ce péage soit situé à la limite Nord du département de l’Eure et non sur le futur pont.
Les élus de la CASE ne remettent nullement en cause la nature concessive du projet et acceptent qu’un péage soit créé sur leur territoire ou à proximité.
Mais ils demandent instamment que ce péage soit situé à la limite Nord du département de l’Eure et non sur le futur pont.