Enfin ! La relance du projet Thorel
Le projet qui sera présenté au conseil municipal correspond en gros, au projet de la municipalité précédente et mis au point par la CASE et l'Etablissement public foncier de Normandie. A l'exception de la dimension culturelle absente du projet Priollaud.
Pour réaliser un tel projet, la municipalité Martin avait acheté, via la CASE et l'EPFN, la totalité des ruines de l'ex-garage Renault pour un projet d'urbanisme décliné en deux tranches : la construction du siège social de Pôle Emploi et de la CASE et de l'autre côté de la place Thorel, la restructuration des bâtiments datant de l'essor de l'industrie textile
A noter : le maire abandonne sa promesse électorale : il voulait installer le marché de Louviers dans cet îlot Thorel !
Pour réaliser un tel projet, la municipalité Martin avait acheté, via la CASE et l'EPFN, la totalité des ruines de l'ex-garage Renault pour un projet d'urbanisme décliné en deux tranches : la construction du siège social de Pôle Emploi et de la CASE et de l'autre côté de la place Thorel, la restructuration des bâtiments datant de l'essor de l'industrie textile
A noter : le maire abandonne sa promesse électorale : il voulait installer le marché de Louviers dans cet îlot Thorel !
Gaspillage et temps perdu
Combien de temps encore avant le premier coup de pioche ?
Il aura fallu presque trois ans à la municipalité actuelle pour comprendre que le projet antérieur était le bon !
Entretemps, par sectarisme et rage politicienne, le maire a déchiré et jeté aux oubliettes la longue et coûteuse étude technique et financière réalisée par ses prédécesseurs, qui attendait d'être mise en oeuvre par la CASE.
Du coup, il a du en commander une autre, recommencer l'étude, toute aussi longue et coûteuse... pour aboutir aux mêmes conclusions et un projet à peu près semblable. Mais il se passera longtemps avant le premier coup de pioche !
Temps perdu et argent gaspillé, marque de fabrique de l'actuelle municipalité !
Entretemps, par sectarisme et rage politicienne, le maire a déchiré et jeté aux oubliettes la longue et coûteuse étude technique et financière réalisée par ses prédécesseurs, qui attendait d'être mise en oeuvre par la CASE.
Du coup, il a du en commander une autre, recommencer l'étude, toute aussi longue et coûteuse... pour aboutir aux mêmes conclusions et un projet à peu près semblable. Mais il se passera longtemps avant le premier coup de pioche !
Temps perdu et argent gaspillé, marque de fabrique de l'actuelle municipalité !