La candidate PRG espère capter les électeurs de gauche déçus par la Nupes.
Furieux de l’accord du PS dans le cadre de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes), qui a imposé à Villeurbanne la candidature de Gabriel Amard (LFI), « atterré par l’absence de candidature socialiste pour la première fois dans l’histoire politique de Villeurbanne », M. Bret estime que le PRG est désormais seul en mesure d’incarner une candidature « républicaine, attachée à la laïcité ». « Je reste un homme de gauche et socialiste, je ne me suis jamais abstenu de ma vie, le vote blanc ne sert à rien » a exposé l’ancien élu, au cours d’une conférence de presse spécialement organisée.
« Mon petit parti n’a jamais dévié sur les questions de république, de laïcité, d’Europe, il se retrouve engagé pour faire de la politique sur des valeurs. Le rassemblement ne se fait pas par un rouleau compresseur », a dit Katia Buisson. « Je ne suis pas dissidente, je suis PRG, je suis légitime », a ajouté la conseillère municipale déléguée à la mémoire de Villeurbanne, dans l’exécutif du maire Cédric Van Styvendael (PS), lequel soutient l’accord signé par la direction du PS. La candidate PRG espère capter les électeurs de gauche déçus par la Nupes.